Tous les extraits ajoutés sur les livres

Lorsqu'elle eut achevé son récit, le jeune homme demeura un instant silencieux, comme absorbé par ses pensées. -Ecoutez, dit-il, votre histoire m'intéresse. Je ne vous connais pas mais j'aimerais vous aider.

« Toute énergie empruntée doit être rendue. »

Tu veux rendre la visite de ton île plus agréable ? Ou peut-être afficher le menu de ton stand de pâtisseries ?

- N'est-il pas désagréable pour toi, mon frère, de me voir placer au-dessus de toi ? - Absolument pas, car en réalité je serai toujours plus grand que toi.

Réaction (Bénédiction) Lorsque, fruit du désir d’un beau couple qui s’aime, L’auteur soudain paraît dans un charmant foyer, La Muse qui l’habite, exécrant ce baptême, S’adresse à son bourreau, qui la laisse aboyer : – « Ah ! Pourquoi donc m’avoir invoquée, Baudelaire, Dans cet hôte ennuyeux au cœur sans passion ! Maudite soit l’année de ton bicentenaire Où ma route a croisé ta malédiction ! « Puisque tu l’as choisi entre toutes les âmes Pour être le jouet de tes grossiers paris, Et qu’il fallut donner des voix, hommes et femmes Comme un LGBT, à son genre incompris, « Je lui ferai écrire en rimes exécrables Les ordinaires maux de la modernité, Et j’inspirerai tant ses notes déplorables, Qu’il se sera bientôt de mon poids délesté ! » La Muse rentre ainsi dans cette vie humaine, Et, comme un esprit noir tapi dans son tunnel, Elle observe et attend en ruminant sa haine Le moment de venger cet afront personnel. Pourtant, malgré la voix de ce mauvais archange, L’auteur en grandissant ignore ses conseils, Et dans tout ce qu’il voit, dans le luxe ou la fange, S’imprègne de son temps jusqu’aux creux des orteils. Il vit sur ses écrans, crève d’être au chômage, S’indigne en voulant tout sans rien faire à la fois ; Et la Muse, soufrant d’habiter cette image, Pleure d’être enfermée sous ce vilain minois. Ceux qu’il croit ses amis le restent par contrainte Ou alors, l’invitant pour sa médiocrité, Se plaisent à moquer sa ridicule plainte, Puis se rient de son nom dans leur mondanité. Tous les mots déplaisants qui sortent de sa bouche Mélangent l’ignorance avec le pugilat ; Empreint d’incertitude, il se met sur la touche, Et trébuche en mettant les deux pieds dans le plat. Sa Muse hurle au ciel ainsi qu’une hystérique : « Puisqu’il se trouve assez lâche pour m’ignorer, Je m’envelopperai d’une pure métrique, Comme un parfait esprit, pour le transigurer ;

- Je croyais que tu aimais mon côté héroïque. - Je le hais. Je le méprise. Je te veux vivant et dans mes bras. Je l'ordonne expressément.

« Reginus venait de franchir le Ponte Vecchio pour se rendre à l’Université, où il s’abîmerait dans l’étude jusqu’à la mi-journée. Une voiture attelée s’était avancée vers lui, l’ouverture de sa portière masquée par un rideau. Le conducteur ralentit à sa hauteur et une voix s’échappa de l’intérieur, l’appelant par son nom. — C’est moi, répondit naïvement le garçon. Alors, une paire de bras solides jaillirent pour l’attirer dans l’habitacle, tandis que les rênes claquaient sur la croupe des chevaux soudainement emballés. Fendant la foule, le véhicule gagna les portes de la ville à une allure déraisonnable. Bouleversé, Reginus se débattit en vain. Une paire de gifles le contraignit au calme. Puis son ravisseur daigna se présenter : — Je porte le nom de Sforza, comme le More avant moi, mais j’ai dû l’emprunter car je n’appartiens pas officiellement à cette grande famille. Toutefois j’escompte corriger l’impair commis par Ludovic en ne me reconnaissant pas. On m’a promis un titre et de l’or si je menais à bien une certaine mission… Effrayé et intrigué d’abord, Reginus l’écouta ensuite avec fascination tout le long du trajet jusqu’au coin de campagne où il avait établi son campement. Sans décroître son attention, le garçon jetait[…] »

Je fixai la fausse reine. Il y avait deux reines sur le champ de bataille. Et une seule en repartirait vivante.

Jack ne répondit pas, se contenta de suivre son nouveau mari en haut de l’escalier, puis il le retint par la manche. Riley, irrité, se retourna brusquement et Jack l’attrapa pour l’attirer à lui, se pencha afin de guider son baiser. — Pour les apparences, murmura-t-il simplement avant que leurs lèvres se rencontrent et Jack glissa une main dans ses cheveux, afin de maintenir sa tête immobile et proche de la sienne. Finalement, il le relâcha et Riley recula si lentement qu’il put sentir le souffle de Jack s’attarder sur sa peau. Sa bouche tremblait toujours de la pression du baiser, son sang s’échauffait et il savait que ses lèvres étaient entrouvertes, le faisant ressembler à un parfait idiot. Jack prit sa main avec confiance et s’avança vers la première marche. 

— Comment allons-nous faire pour supporter d’être dans le même lit, sans avoir de relations sexuelles pendant toute une année ? 

Ma musique défend le juste. Si tu es noir et que tu as tort, tu as tort. Si tu es blanc et que tu as tort, tu as tort. C'est universel.

Je pose la boisson énergisante que j’ai préparée sur ses genoux, sans détourner les yeux de la route. - Bois un peu, princesse. T’auras besoin d’un bon carburant pour tenir la matinée. Je sens qu’elle tourne les yeux vers moi. - Ca va être si dur que ça ? - T’as vraiment jamais fait de sport? Jamais jamais ? Même pas un petit footing avant ton petit dej ? - J’ai joué à Just Dance, une fois … Cette fois-ci, je la dévisage carrément. - Just Dance ?! - C’est vachement plus physique que ce que l’on pense , tu sais. Mais bon, à un moment donné, je n’avais plus vraiment la tête à ça.

Inclinez-vous, dans ce cas, si vous ne voulez pas être contraint par la force de vous agenouiller ! Pliez volontairement et vous aurez quelque chance de sauver les restes. Vous vous êtes appuyé sur le métal et la puissance, et ils vous ont accordé un soutien à leur mesure. Vous n’avez pas tenu compte de l’esprit et du moral et ils vous ont trahi. Maintenant, suivez mon conseil.

Doigt en l’air. « Le temps passera ! Tempus fugit ! Le poème d’Owen s’effacera peut-être de votre esprit, auquel cas votre verdict, C’est nul, se sera vérifié. Du moins, pour vous. Mais pour d’autres, il continuera de résonner. Et de résonner. Et de résonner. Et à chaque fois, la marche assurée de votre maturité approfondira sa résonance. À chaque fois que ce poème reviendra se glisser dans votre esprit, il vous semblera un peu moins nul et un peu plus vital. Un peu plus important. Jusqu’à ce qu’il flamboie, mes jeunes dames et messieurs. Jusqu’à ce qu’il flamboie. Ainsi s’achève ma péroraison de rentrée, et maintenant je vous prie de vous reporter à la page seize de ce très excellent ouvrage qu’est Langue et littérature. »

- Qu'en dites-vous ? Quelle arme possédez-vous contre mon esprit, qui est au moins aussi puissant que le vôtre, et contre mes vaisseaux qui sont plus redoutables que tout ce que vous avez jamais rêvé de posséder ? - Ce que j'ai ? Mais... rien, si ce n'est un tout petit renseignement. Trois fois rien, je le répète, mais ce tout petit renseignement de rien du tout, vous-même, avec toute votre superbe, vous ne le possédez pas.

La magie de la star de Walt Disney rayonne à travers les changements culturels et technologiques, années après années, spectacle après spectacle, apportant des rires et des divertissements qui réchauffent le coeur, grâce à la charmante personnalité de Mickey et ses aventures.

Souviens-toi que notre monde est fait d'oppositions: mal et bien, ombre et lumière, douleur et joie... inhumain et humain. Souviens-toi que si tu supprimes un élément d'un couple, tu anéantis le couple entier.

Je ne sais pas, ai-je dit en chassant cette pensée. Je suppose qu'un mot en espagnol aurait du sens. Bollito ? Cuchi cuchi ? Pocholito ? - Bollito ? - C'est une petite brioche. J'ai souri. - Comme ces petits pains moelleux et brillants qui font si envie... - Ok, non.

Bien que le monde de la cultivation brûlait de me voir mourir, il continue d'utiliser mes inventions.

Son discours n’avait aucun sens, mais Suzanne le savait : ce que veut le peuple, c’est un coupable. Quand un coupable est désigné, la paix revient, la peur s’en va et le véritable monstre peut continuer ses affaires dans un autre secteur. Un coupable, c’est tout ce que demandent les gens.

Impossible d'imaginer tous les bleus invisibles dont elle est couverte actuellement et je déteste l'idée que certains proviennent de moi. Clara

Le chagrin fait du mal mais c'est aussi une excellente excuse. Clara

Thus, we do not say goodbye when we part. We say an’la téli saii. » « What’s the mean ? » I groan. « I shall see you in the stars. »

Postface (...) Il n'a jamais été aussi difficile qu'aujourd'hui de vivre simplement, de vivre une vie simple et sincère. La société a de plus en plus tendance à se diviser en groupes, à rechercher des leaders qui parlent d'une voix forte, à exclure ceux qui sont différents. La sincérité de la pensée individuelle est bien souvent raillée, parfois même considérée comme dangereuse. Ce livre (...) qu'il parvienne à ceux qui en ont besoin, hommes ou femmes, jeunes ou vieux, qu'il les accompagne, les soutienne et les encourage du mieux qu'il peut. Nous n'avons pas besoin de parler d'un voix forte, nous pouvons tout à fait parler et communiquer avec une petite voix. Que ce livre leur chuchote ce message. Nashiki Kaho, 2017.

- Tu es une fille intelligente, Mai, tu sais qui tu es. Mais tu peux avoir la certitude que, quelle que soit la blessure, elle ne pourra jamais totalement te détruire. (...) - Peu importe ce qui se passera, il faudra te convaincre que cette blessure ne sera pas mortelle. Ainsi, et même si sur le moment tu es incapable d'y croire, des graines auront été semées, et quelque part dans ton corps germera une nouvelle force de vie. "Cette blessure ne sera pas mortelle." J'ai reçu bien des coups que j'aurais pu considérer comme fatals, mais à chaque fois, je suis restée fidèle à la pensée de ma grand-mère, que je prononçais à la manière d'une formule magique. "Cette blessure ne sera pas mortelle." Même lorsque se succédaient les jours où il me paraissait impossible de me lever, ces mots, pareils à la lumière douce et chaleureuse de cet après-midi d'hiver, continuaient à être absorbés par la terre gelée à coeur. "Cela ne pourra jamais me détruire." "Cela ne pourra jamais me détruire."

Mais on n’est plus des gamins. Je le sais. Je le comprends. Je veux dire, on n’est pas comme des adultes très adultes, mais on en prend définitivement le chemin – bon sang, nom d’un chien, à qui je dis ça ? Je sais qu’on s’est foutus de toi à ce sujet, mais honnêtement, ce que vous avez, Audrey et toi, c’est génial. Vous allez être…