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Elle était sans force. Incapable de se relever. Personne ne se souciait d'elle alors qu'elle criait chaque fois que quelqu'un la piétinait.

J'ai trouvé un petit paquet kraft dans ma boîte aux lettres. A l'intérieur, la culotte Petit Bateau laissée chez toi, lavée, pliée, et un petit mot. Tiens, je te rends, ce je t'aime que tu as laissé sur le plancher

Baissant les yeux, Michelle aperçut une jeune femme mince de type latino couchée sur le flanc dans sa robe noir et rouge. La terreur et la souffrance se lisaient sur son visage. Son bras droit était brisé et formait derrière elle un angle anormal avec son corps.

Il avait le front haut et bombé, des yeux verts-argent aux coins tombants et un nez court qui semblait vouloir s’élancer vers le ciel avant de se briser net en un mouvement aquilin. Deux pommettes slaves éclataient son visage pour lui imprimer une forme de losange, si proéminentes que la peau trop tendue sur les os creusait ses joues de longs sillons. Son menton carré encadrait des lèvres en forme de W marquées par une tache de naissance. Ses expressions étaient tour à tour drôles, naïves, étonnées, pour tout dire un peu ridicules, comme elles pouvaient être d’une surprenante beauté, d’une incroyable noblesse. Une chair d’albâtre mâtinée d’étranges reflets bruns recouvrait ce corps musculeux d’1 mètre 86 dont l’énergie épuisait la plupart de ceux qui l’entourait. Il était harmonieux et électrique, quoique je souhaitai parfois qu’il se tienne un peu plus droit et ne semble pas porter le poids du monde sur ses épaules.

Et tout en lui montrant le chemin, elle se dit: "je suis terriblement... terriblement heureuse. Le fiancé de Jackie me plaît... il me plaît énormément...." Elle eut un soudain pincement au cœur: "Quelle veinarde, cette Jackie..."

- J'ai étudié son jeu - Vraiment ? ... - Oui. Je ne pouvais pas me résoudre à étudier les tiens. - Trop ennuyeux, hein. - Non, je ... Allez. Tu sais, quoi. ... - Oui. Je sais.

« Nous ne le ferons pas ? » « Non. Nous allons dormir. Tu as eu une longue et étrange journée. Tu as besoin de te reposer. » Elle posa sa tête sur l’oreiller avec un bourdonnement. « J’ai aussi besoin que tu arrêtes de me taquiner pendant les rapports sexuels. Mais je ne pense pas que tu le feras, n’est-ce pas ? » Il sentit ses lèvres se contracter. « C’est très peu probable. » Elle souffla. « Ouais, c’est ce que je pensais. »

Quoi qu'il en soit, tout va bien se passer! Détendez-vous, prenez du Tiorfan (parce que vous allez certainement en avoir besoin, vous aussi) et respirez par la bouche (pour éviter les odeurs).

- BLEUES, parce que, sérieux, si vous avez un enfant qui pond des selles bleues, il faut absolument qu'on voie ça, et pas seulement parce que la couleur est jolie! Que les selles soient vertes, marron clair, safran ou saumon, ON S'EN FOUT.

Ou troubles de la Coloration : Votre enfant est pâle (il se marie à la perfection avec la couleur de vos murs) ou il a les lèvres ou extrémités bleues (c'est joli, mais ce n'est pas sain, même si on aime tous les Schtroumpfs).

Bientôt, ma main se referma autour de sa gorge, et il me donnera tout. De son plein gré.

Donc que faire quand votre enfant chauffe? Faut-il l'immerger dans un bac de glace comme en URSS? Faut-il courir immédiatement aux urgences en criant à tue-tête? Doit-on l'utiliser comme bouillotte?

Je ne l'envoie pas. Mais je ne l'efface pas non plus.

Du coup, comme on s'emmerde joyeusement en l'écoutant, on ne retient rien... surtout qu'il utilise des termes super compliqués pour faire style qu'il est hyper balèze.

- Je veux des vrais blessés ! - Il lui faut des boyaux qui saignent ! - Des jambes coupées ! Des cerveaux qui explosent ! - Aidez-moi ? Vite ! S’il vous plaît..... - Du ..du....sang.....du ...vrai !? - Le pauvre ! Il a tourné de l’œil !! - C est ta faute papa !!

... tu as tendance à considérer que quand on fait une connerie, c'est fini. On n'a pas droit à une seconde chance. Parfois, c'est vrai, mais il y a aussi des exceptions.

... tu sais ce que je pense des mecs qui veulent nous expliquer la vie, mais j'avoue que sur ce coup-là, il n' pas entièrement tort.

- Peut-être, mais ce n'est pas la même chose. S'arranger

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pour que tu te fasses virer, c'est te faire perdre quelque chose. [/spoiler] La bourse, [spoiler]c'est quelque chose qu'il t'a donné. ça n'a rien de comparable.

- ... La fac, c'est pas facile. Et pas toujours marrant non plus. Et on se sent plutôt seul. Et j'ai pris trois kilos. L'élastique de mes soutifs me saucissonne. - Aïe.

- Je ne me souviens pas t'avoir jamais dit une chose pareille. - Tu n'avais pas besoin de me le dire. - Tu lis dans mes pensées ? - Je lis ton Instagram. - Ah oui... Instagram, ce puits de vérité où je dévoile les secrets de mon âme.

« Les apparences sont trompeuses, la trahison à un goût de cendre et l’amour, le parfum de la folie. »

- Mmm tu sais, grande ? Blonde ? Pubère ? Assez pénible ? - Je sais qui est Sabrina, merci.

« Même si je ne connais pas tous les tenants et les aboutissants de mon passé, j’ai bien conscience que je ne suis qu’un pion dans un jeu dont j’ignore tout. »

- Il y a le wifi à bord de cet avion. Tu ne peux pas chercher ça sur Bing ou je ne sais quoi ? - Ma mère refuse qu j'aie un smartphone avant mes quatorze ans. - Madame Greenleaf ..., j'offrirai moi-même un smartphone à ce jeune animal. - Oh, ne vous donnez pas cette peine. - J'insiste... - Maman..., si

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Oz[/spoiler] fait un cadeau à [spoiler]Darcy, j'en veux un aussi ! - A condition que tu te taises c'est promis.

- Ah ... Mentir. Cette vilaine chose à laquelle tu ne t'abaisserais jamais.

- Merci d'avoir tenu ta langue, au fait. - Techniquement,

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j'ai tenu ma langue auprès de toi sur le faite que je ne l'avais pas tenue auprès de maman. ... Pas faux