Tous les extraits ajoutés sur les livres

« Je m’y suis résignée depuis un moment. On dit que l’amour, c’est dix pour cent tomber et quatre-vingt-dix pour cent se relever. Ce qu’on ne dit jamais, c’est à quelle vitesse ces dix pour cent passent et combien de temps durent les quatre-vingt-dix autres pour cent. À en juger par la vitesse à laquelle je suis tombée amoureuse de Tate Marchetti, d’ici à ce qu’on atteigne la fin de notre vie terrestre, je serai totalement, complètement foutue. » Charlie

« — […] Tu es sûre que ça t’intéresse vraiment de le savoir ? ajoute-t-il, un sourcil haussé. – Absolument. Te concernant, je veux tout savoir. »

« – Je n’ai pas pu sauver ton frère, mais je te sauverai, Tate. Même si je dois me perdre dans le processus. » Charlie à Tate.

« Plus j’y pense, plus je prends conscience que je ne veux pas mourir avant de tomber amoureuse. Avant de perdre ma virginité. Avant de me réconcilier avec Leah. Au fait, j’ai pleuré quand l’araignée est morte. Encore, s’il te plaît. – C. » Charlie/Charlotte

« – Quand je dors, je rêve. Quand je me réveille, le cauchemar commence. » Kellan

« – Je vais te rendre heureuse, Charlie. Et vous savez quoi ? Il l’a déjà fait. »

Certaines années, il arrive que l'hiver soit plus difficile à chasser, mais cela n'empêsse jamais le printemps de revenir !

" Je crois beaucoup à cela. Ce qui doit arriver arrive. Parfois, dans les ratés de la vie, les coups durs, on ne décode pas le message, on ne donne pas de sens. Et puis un jour, avec le recul, on parvient à voir un peu de lumière dans le noir, on sait pourquoi on devait traverser cette épreuve, on apprend, on grandit. Ce sont aussi les expériences, toutes nos expériences qui nous façonnent et finalement nous aident… Au moins à y voir plus clair, en nous, en les autres, en l'existence."

" Je sentais déjà ce truc assez inexplicable qui fait que lorsque quelqu'un entre dans votre vie, il se niche au fond de votre esprit, il est en vous, il est toujours un peu là, quelque part. Il n'y était pas il y a dix jours, il y a trois heures, il y était à présent.

« Tu vois ? C’est moche ! — Euh, je suis censé voir quoi, exactement ? — Ça ! fulmina Nick sans se relever. Quand tu te penches en avant dans ton costume d’Extraordinaire, ton ventre est plat. Quand je le fais, on ne voit même pas mes potentiels abdos, peu importe si je n’en avais pas ce matin. Je pensais qu’en devenant un Extraordinaire, j’aurais automatiquement des tablettes de chocolat! — Oh là ! Ce n’est pas du tout comme ça que ça marche, le détrompa Seth. — C’est toi qui le dis, répliqua Nick en fixant d’un regard furieux le petit pneu que formait son ventre, comme s’il l’avait trahi. En devenant un Extraordinaire, tu t’es transformé en dieu du sexe. Moi, j’ai juste développé des complexes. Oui, j’ai mangé des nachos au dîner hier soir, et oui, il n’y avait pas assez de fromage donc j’en ai rajouté, mais quand même ! J’ai couru la semaine dernière, Seth. Presque la moitié d’un kilomètre. Et je n’ai dû m’arrêter que deux fois pour reprendre mon souffle. — Je sais. J’étais là, tu te souviens ? Tu t’es plaint tout du long. »

"Il est beaucoup plus facile de laisser sortir les choses de la boîte, me suis-je dit en reprenant le tunnel à quatre pattes pour aller chercher le bonnet, que de les y faire rentrer ensuite."

Leroux réfléchit avant de répondre. Les Indiens n’étaient pas si différents des Espagnols, des Français et des Anglais qui s’affrontaient régulièrement. De même que ­l’Angleterre et la France – aidée par l’Espagne – s’étaient battues pour leurs territoires américains, les Indiens de part et d’autre du Mississippi cherchaient eux aussi à étendre leurs terres. Il souhaitait développer ses activités commerciales, ce qui signifiait qu’il devait traiter avec les Osage, des hommes rusés et turbulents, dont les femmes étaient expertes dans le tannage et le rasage des peaux de bison et de cerf. S’il parvenait à commercer avec eux dans le Nord, ils cesseraient peut-être d’importuner leurs voisins du Sud.

Le village de Kappa était situé à trois lieues du fort, non loin du point de rencontre de la White River et du Mississippi, près d’une colline très escarpée d’une quarantaine de pieds d’altitude. Ils y accédèrent à travers une large ouverture dans la palissade qui protégeait le village et furent aussitôt encerclés par une douzaine de guerriers grands et à demi nus, le corps peint. Ils avaient tous un cerf sur la cuisse, les narines et les oreilles percées, les cheveux courts et des plumes sur le sommet du crâne. Étienne sentit un nouvel élancement de peur s’ajouter à son inconfort physique ; il frissonna de plus belle.

Pauline, tu dois me sauver la vie. Hugo, MON PUTAIN DE CRUSH, vient de me proposer un ciné ce soir... mais j'ai un baby-sitting ! Sauve-moi la vie et remplace-moi stppp (et fais-toi 40 euros au passage).

J'ai choisi ce métier pour faire passer un message... Et je tiens à rester fidèle à moi-même !

C'est après tout le but de la paléontologie : partir de ce que nous livre la mort pour remonter à la vie. Je ne doute pas que certaines de mes hypothèses se révèleront erronées ou nécessiteront d'être modifiées. La science continuera à livrer des découvertes, affinant et enrichissant notre compréhension, mais je crois que nous avons atteint un point où nous disposons d'une explication détaillée de ce qui s'est produit à la fin du Cétacé. J'ai en grande partie limitée l'histoire aux alentours de l'antique Hell Creek parce que c'est l'endroit que nous connaissons le mieux, mais j'ai ajouté des épilogues sur d'autres lieux, d'autres écosystème pour rendre compte de la profondeur de cette catastrophe. Mon espoir est que les découvertes fossiles qui se produiront dans les prochaines décennies nous fournirons davantage de détails sur l'extinction K-Pg dans d'autres parties du monde, loin des lieux de prédilection des tyrannosaures.

Quand Ambre emménage près de la rue Marx Dormoy, à Paris, elle ne s’attend pas à découvrir un monde étrange où, la nuit, de dangereuses créatures rôdent à la recherche de proies. Lors de l’une de ses premières nuits, elle est sauvée de justesse par une jeune femme, qui l’abandonne aussitôt en l’implorant de ne pas revenir. Mais la curiosité d’Ambre a été piquée au vif, et les chemins des deux promeneuses nocturnes vont être amenés à se recroiser.

She woke up a few hours later, her back pressed against his chest, his arms circling her. She felt like she was in a snug, warm, masculine cocoon. She had never realized how much that was the ideal place fora her until just that moment. There was just one problem. She had to pee. Okay, Alexa. Just don't think about it. Just lie here and be content in this cozy sleeping bag of pure male goodness and let that lull you back to sleep. She listened to his even breathing, felt his chest move against her back and the prickle of the hair on his legs rubbing against hers, and smiled. She could do this. Her bladder disagreed. It increased the pressure and reminded her of all of that champagne she'd drunk and those bottles of water that hada closed out the night. Oh God, she really had to pee. No, Alexa. Just stay here. Go back to sleep. Don't think about anything liquid. You can do it. Enjoy this perfect moment. She took a deep breath, clenched everything, and tried to relax against him again, reaching back to that voice in her brain for a pep talk. I have to pee I have to pee I have to pee!

Que les choses soient claires... Je maîtrise déjà dix récits... Et je n'ai aucune intention de faire ami-ami avec toi! Seulement, à vaincre sans péril on triomphe sans gloire... La prochaine fois qu'on se croise, je t'en mets plein la vue !

- Allez vous balader, les filles. Gardez les yeux et les oreilles ouverts pour tout ce qui pourrait s'avérer utile.

Désolée... Je suis incapable de me laisser faire sans réagir !

« — J'ai appris à vivre avec ça. Parce que dans ma vie, chaque personne finit par partir. Même celles qui ont juré de rester. Alors, moi, je n'ai plus peur de rien. Je vis tout à fond, parce que je sais que c'est éphémère. »

Elle trônait, telle une évidence, presque arrogante dans ce monde cartésien. En la contemplant une seconde fois, Tom avait su qu'il venait de basculer dans une autre perception de la réalité.

" - … Et tu voulais juste en avoir le cœur net ? - Bah oui ! Je ne vais pas te tuer dans un endroit pareil ! Maintenant, tu es mon horizon. Je vais tout faire pour te surpasser." ~ Shin à Ri Boku ~ [Chapitre 260 - Le Corps d'un Guerrier]

Bien sûr qu'il avait faim. Comme toutes ces misérables créatures réfugiées dans les grottes. Et celles qui survivaient, c'étaient celles qui prenaient soin d'elles-mêmes, pas celles qui s'occupaient de toutes les épaves et de tous les vagabonds qui passaient.