Kazuo Umezu
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Note moyenne : 7.41/10Nombre d'évaluations : 92
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Un dernier tome terrible et parfois même choquant. La série été vraiment chouette à lire même si au bout d'un moment, le fait que les catastrophes qui tombent toutes les 5 minutes devient plus comique qu'autre chose.
Afficher en entierToujours aussi dans la violence. On avance pas mal dans l'intrigue avec encore un conflit entre les élèves et des révélations sur le monde.
Afficher en entierdifficile de classer une telle oeuvre. oui une oeuvre à part . Marquante comme peuvent l'être les mangas.
Afficher en entierLes graphismes ne m'ont pas convaincu du tout, les personnages se ressemblent beaucoup trop entre eux, les petites filles sont un mélange de Heidi et princesse Sarah visuellement; ça se voit que ça date des années 60. En revanche les graphismes de la femme serpent sont très oppressants. Les 3 histoires et les dialogues sont trop brouillon et se répètent. 323 pages pour ça c'est assez long...
Afficher en entierUne fin assez décevante qui est ouverte, ne donne pas d'explication sur le voyage dans temps et des personnages qu'on aura pas vu vieillir. La violence aura toujours été présente dans cette série et l'horreur est très bien retranscrite.
Afficher en entierManga trés horrifique un style très ancien mais qui colle bien avec l'histoire
Afficher en entierJ'ai personnellement bien apprécié ce conte horrifique, Kazuo Umezu sait manier l'horreur ! J'ai ressenti la tension tout au long du récit.
Cependant, je peux comprendre qu'il soit assez difficile de comprendre totalement l'histoire.
Afficher en entierManga pour enfants, comique et parfait pour passer le temps lorsque l'on veut simplement se détendre au soleil dans le jardin. Ne vous attendez pas à une histoire développée ou quoi que ce soit, c'est un humour très enfantin, du genre "pipi caca prout". Comme il n'y a jamais de résumé sur les mangas de Kazuo, je ne pouvais pas m'attendre à cela. Mais reste sympathique dans l'ensemble. Bronze."
Afficher en entierDes larmes. Un chef-d'œuvre avant-gardiste et inclassable. L'histoire du néant au tout et du tout au néant.
Je suis Shingo se termine par les lettres A et I, soit les initiales de l'intelligence artificielle, mais aussi le mot "ai" qui, en japonais, veut dire "amour".
L'arrivée de la nouvelle technologie dans l'industrie des années 80 au Japon, la disparition de métiers, un amour entre deux enfants. Des morts, beaucoup de morts, autant d'enfants que d'adultes. L'histoire d'un petit garçon intéressé par le métier de son père, rapidement remplacé par un "bras" industriel, qui peu à peu, à force de se formater, prendra "conscience". Satoru, l'enfant, tombe éperdument amoureux de Marine, un amour réciproque et transféré à cette machine. Malheureusement, la fillette a un avenir tout tracé dans la haute société, et se voit déménagée afin de se marier à une famille riche. Le petit garçon vit dans la misère, ses parents se séparent, il fugue.
C'est l'histoire d'un bras mécanique, qui prend conscience, se développe à partir de rien pour devenir un tout. Il prend forme psychique, l'univers, les lois et la force des énergies.
Cette machine fera tout ce qui est en son possible pour transférer le message de l'amour à Marine. Traversant mers et océans, paysages et déserts.
La fin est catastrophique. Beaucoup de violence, énormément d'enfants blessés, qui meurent dans d'atroces souffrances. Le monde se meurt, se détruit, la technologie prend l'avance, détruit des métiers, des vies. Tout est horrible, du début à la fin de mon point de vue. Terrible histoire, chef-d'œuvre fantastique, bravo.
Afficher en entierOrochi, une femme mystérieuse qui ne vieillit pas. À travers plusieurs tomes et nouvelles, elle explore la noirceur humaine à travers les époques. J'ai apprécié les dessins, toujours fidèles au style bien à Kazuo, avec de grands yeux stylisés et un visage innocent abritant des pensées macabres. Une morale de vie très poignante, sublimée par des touches d'horreur. Orochi a le pouvoir de changer les événements d'un simple geste. Cependant, au fil des tomes, on observe qu'elle semble avoir des difficultés à se "régénérer". La suite vous appartient pour en découvrir davantage.
Afficher en entierOn parle de Kazuo Umezu ici :
2017-10-31T01:23:30+01:00
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Biographie
Kazuo Umezu est un dessinateur de manga japonais. Il est né le 3 septembre 1936 (1936-09-03) (74 ans) à Kōya dans la préfecture de Wakayama, au Japon. Il est élevé à Gojō dans la préfecture de Nara.
Méconnu en France avant la parution de L'École Emportée, ce grand mangaka inventa le terme de « manga d'horreur » et est d'ailleurs lui-même qualifié comme le dieu ou le père du manga d'horreur.
Son immense talent pour le dessin était déjà évident dès son plus jeune âge, et il dessina ses premières BD âgé de 10 ans, à l'école primaire. En 1955, à l'âge de 19 ans, il débute sa carrière professionnelle avec la publication de deux histoires : Mori no kyōdai puis Bessekai. Durant cette période, il créa principalement ses œuvres pour les kashibonya (librairies de locations de manga, très populaires durant l'après-guerre).
En 1962, il devint un pionnier du genre rabu-kome (comédie romantique) avec Romansu no kusuri. Entre-temps, Umezu publia d'autres œuvres comme Kuchi ga mimi made sakeru toki et Hebi shōjo qui le rendirent célèbre en tant qu'auteur de manga d'horreur.
Le premier de ses deux mangas disponibles en France, L'École emportée, fut prépublié dans le magazine hebdomadaire Shōnen Sunday de 1972 jusqu'en 1974 et en 1975, ce manga remporta le prix du manga Shōgakukan. Dans cette histoire, il dresse un portrait d'enfants forcés de subir des épreuves difficiles lorsque leur école se matérialise mystérieusement dans un monde désertique. Le second, Baptism (Senrei), fut prépublié dans le Sho-comi entre 1974 et 1976. Dans cette courte série, 4 tomes en version bunko, l'auteur met en scène les agissements extrêmes d'une actrice qui veut retrouver sa jeunesse perdue en se faisant transplanter le cerveau dans le crâne de sa fille.
Cependant Umezu surprit beaucoup de monde en prenant une direction radicalement opposée à l'ambiance de L'École emportée avec les gags surréels et grossiers de la comédie Makoto-chan (1976).
Sa créativité s'est aussi exprimée dans le domaine musical. Umezu a monté un groupe et pris une part très active dans la composition et la chorégraphie. En 1975, il sortit un album Yami no album (, Yami no album?, litt. « album des ténèbres »).
Depuis lors, Umezu a publié plusieurs autres œuvres telles que Neko-me kozō, Orochi, Watashi wa Shingo, Kami no hidari-te akuma no migi-te et Fourteen. Certaines de ses histoires furent adaptées à la télévision.
En 1994, il dirigea la maison hantée Kazuo Umez’s Haunted House – La malédiction de la Famille Azuchi dans le parc d'attraction du Tokyo Dome dans le quartier de Koishikawa à Tokyo.
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