James Joyce
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Note moyenne : 6.92/10Nombre d'évaluations : 74
1 Citations 40 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Complètement déjanté et n'ayant ni queue, ni tête. Lu il y a 5 ans, j'ai tout oublié sauf ce sentiment d'écrasement qu'à du subir le pauvre Joyce et la merditude ambiante des personnages, des lieux et des dialogues.
J'ai jamais trouvé le moindre parallèle avec l'histoire d'Ulysse.
Certainement pour l'apprécier, ce livre doit être lu en anglais moyennement un sacrée culture anglophone.
Afficher en entierBeaucoup de personnes ont ce livre dans leur pile à lire mais peu l’ont critiqué et ça se comprend vu le pavé que c’est, mais j’ai décidé d’enfin changer de camp et de faire parti de ceux qui l’ont lu.
Première difficulté, le style de l’écriture est un peu vieillot, et quand on n’entre pas dès le début dans le livre, il est très difficile de vouloir le finir. Ensuite, le texte en lui-même, j’ai tellement décroché à chaque fois que je l’ai lu que je me souviens à peine des pages précédentes, je l’ai lu sans vraiment le lire au final. Très compliqué pour moi de l’apprécier, il y a de très nombreuses longueurs, on passe d’un sujet à un autre sans prévenir, un peu de théâtre, un peu de musique, un peu de tout sans vraiment démarquer un style.
J’ai envie d’écrire une critique rapide pour ne plus jamais revoir ce livre mais sans vous découragez de le lire. Principalement je suis un lecteur de policier et j’ai encore du mal à en sortir, ce roman n’était pas du tout de ce genre, ça lui fait un point non positif à mes yeux. Le style de l’auteur étant quand même pointu, j’ai aussi des difficultés pour intégrer ce que je viens de lire. Ma précédente lecture était trop facile, celle-ci trop compliquée, je n’ai même pas envie de continuer ma critique tellement ça m’a pris la tête. J’ai oublié de préciser mais je ne l’ai pas terminé, je n’ai pas eu ce courage. Trois mois de lecture, c’est trop.
C’est un livre correct mais pas à mettre entre toutes les mains.
Afficher en entierLu en VO ("The Dead", qui se traduirait plutôt par les morts" que "la mort").
Une pièce délicate, dans sa description minutieuse d'une réception au moment de Noël dans un milieu bourgeois de Dublin: deux personnages en particulier sont saisis dans leur vérité complexe, sur fond d'une galerie de personnages plus conventionnels (les tantes musiciennes, l'ivrogne gaffeur...). Ce qui commence comme une soirée convenue, avec ses codes sans surprise, devient, lorsque le couple se retrouve seul, un moment de délicates émotions, à mesure que la femme livre un épisode de son passé, inconnu de son mari: un moment rare de vérité dans une vie.
J'ai eu envie de (re)lire cette nouvelle après avoir (re)vu le film "Gens de Dublin": l'adaptation cinématographique est tout à fait fidèle à l'esprit de la nouvelle.
Afficher en entierUne lecture intéressante, un peu déprimante avec certaines nouvelles, et franchement intrigante. Les fins des nouvelles sont souvent très ouvertes, et donc, il y a énormément d'interprétation à faire, de sous-entendus à comprendre... Cela m'a un peu perturbé, je ne comprenais pas forcément tout mais c'est aussi ce qui a rendu la lecture tout de même intense.
Afficher en entierLu en anglais, et malheureusement, je crains être passée à côté de nombreuses subtilités d'écriture. Ces scènes de vies décrivent la vie des gens de Dublin. On ressent l'atmosphère de la ville et la mentalité des habitants au travers de ces nouvelles.
Afficher en entierLu en 2020. J'avais depuis longtemps envie de lire cet auteur. Je l'ai abordé avec ce recueil de nouvelles. Il s'agit de quinze récits qui dépeignent la société de Dublin, au début du XXe siècle, à travers les mentalités de l'époque et les relations humaines : le mariage, l'amitié, les rencontres et mondanités, les questions religieuses et politiques, les bonheurs et les drames, les souvenirs et les regrets.
L'écriture est plutôt dense, d'une qualité absolument littéraire, d'un style désuet mais pas précieux. J'avoue cependant avoir perdu parfois le fil de mon attention, tant il y a de personnages et de descriptions poussées (ambiances, caractères, liens), pour finalement n'apprécier réellement que la moitié du nombre de ces nouvelles.
Afficher en entierVoilà un pavé que j'ai eu dur à finir. Vraiment pas une lecture agréable. L'auteur m'a semblé d'une prétention sans nom, on dirait qu'il veut nous impressionner par ses références multiples et sa structure macro et micro de l'œuvre. Pour moi, c'est râpé. J'ai préféré de loin Virginia Woolf pour son écriture du flux continu des pensées. Si quelqu'un se lance dans cette lecture, accompagnez-la en plus de toutes les notes de bas de page, d'une lecture d'analyses du texte (après chaque chapitre), ne serait-ce que pour savoir si votre lecture se dirigeait au niveau du sens plus ou moins dans la même direction... car il y aura des chapitres juste illisibles.
Afficher en entierVingt quatre heures d’errance dans Dublin de deux personnages sensés évoquer Ulysse et Télémaque... il ne se passe pas grand-chose pour soutenir l’attention. Un exercice de style, chaque chapitre étant l’occasion d’expérimenter une technique d’écriture différente, certaines traditionnelles comme le théâtre ou le récit, d’autres directement puisées dans le parler populaire, certaines enfin totalement avant-gardistes et annonçant bien des expérimentations à venir (comme le dernier chapitre, Pénélope, totalement dépourvu de ponctuation). Pour compliquer encore les choses, on est souvent dans l’esprit des personnages, le texte étant alors le tissu décousu de leurs pensées... Et ça sur des centaines de page.
A réserver aux lecteurs aguerris, ou bien à ceux qui auront le temps de se plonger dedans et de lire méticuleusement ce monument.Pour moi bon lecteur c'est un peu une épreuve enrichissante mais difficile.
Afficher en entierEnnuyeux, triste, les sous-entendus sont macabres. Rien ne se réalise jamais, comme le veut l'auteur - l'effet paralytique, engourdi, est plus que réussi. Rien à gratter, que des miettes, on reste toujours sur notre faim.
"The Sisters", est peut-être la plus bizarre.
Spoiler(cliquez pour révéler)En même temps, avec un vieux croulant de prêtre viole un gamin, franchement, que dire de plus que "bizarre" et "macabre" ?
Je n'avais compris aucun sous-entendu moi-même tellement qu'ils sont énigmatiques, mais par des explications et critiques.
Afficher en entierSi je reconnais le génie de Joyce, je dois pourtant avouer n'avoir éprouvé aucun plaisir de lecture durant les semaines passées avec ce livre. J'ai dû me forcer à le lire pour en venir à bout, et ce fut éprouvant.
Afficher en entierOn parle de James Joyce ici :
2020-08-09T15:42:45+02:00
2019-12-06T11:03:40+01:00
2019-06-18T15:31:13+02:00
2019-04-12T19:19:16+02:00
2018-11-11T20:34:53+01:00
2018-06-21T19:34:53+02:00
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Dédicaces de James Joyce
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Gallimard : 10 livres
Simon & Schuster : 2 livres
Rivages : 2 livres
Penguin Books Ltd : 2 livres
Pocket : 2 livres
Gallimard Jeunesse : 1 livre
Penguin Classics : 1 livre
Biographie
'Perdez-le dans le désert, il en dessinera le plan.' C'est ainsi que le père de James Joyce voyait son fils, qui deviendra une référence pour l'avant-garde. Maître du réalisme psychologique, plus attaché à la description de l'âme humaine qu'aux considérations politiques, Joyce est connu pour le regard profond qu'il porte sur son temps. Pendant plusieurs années, il mène une vie modeste, multiplie les petits emplois alimentaires, écrit de la poésie et s'essaie à la rédaction de pièces de théâtre inspirées par une lecture assidue d'Ibsen. C'est finalement la liberté de la prose qu'il choisit pour créer ses oeuvres majeures. Le recueil de nouvelles 'Les Gens de Dublin', portrait amer de la vie bourgeoise de son époque, est refusé par les éditeurs irlandais qui jugent l'ouvrage trop subversif - ironie de l'histoire, il apparaît aujourd'hui comme le plus sage de ses romans. Si l'Irlande et Dublin sont au coeur de l'ensemble de ses travaux, il fuit ce pays baptisé par ses soins 'error land' et passe sa vie à parcourir l'Europe. Soutenu par des admirateurs et des amis aussi influents que Samuel Beckett, André Gide ou le traducteur Valéry Larbaud, la France devient son principal port d'attache et le lieu de sa reconnaissance. C'est avec 'Ulysse', suite de son autobiographie 'Dédalus' qu'il atteint le sommet de sa gloire. Cette épopée monumentale réunit le drame, l'essai, l'élégie, le pamphlet ou encore la farce, et permet à James Joyce de s'imposer comme l'écrivain de la modernité.
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