Violaine De Charnage
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.03/10Nombre d'évaluations : 32
0 Citations 43 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
N'ayant pas rempli sa part du contrat chez un boulanger, notre chat se retrouve la gueule dehors. Par un concours de circonstance, notre chat se transforme en femme et, vous devez maintenant vous y attendre, ça dérape en viol sans plus attendre.
Ce changement de morphologie apporte néanmoins quelques belles réflexions, noyées dans une débâcle forcée mais loufoque.
Afficher en entierDany, femme obèse, tient une confiserie marchant à plein régime (vous voyez, je sais aussi faire de l'humour). Sauf que voilà qu'elle se fait tirer de la marchandise par une bande de chenapans. Ni une, ni deux, elle se lance à leur poursuite et paf, c’est le drame.
Quelques années plus tard, voilà que la même petite bande décide de revenir déranger Dany d'entre les morts dans une cérémonie à la Bloody Mary et paf, c’est le drame, bis repetita.
Pour le coup, j'ai un petit peu plus trouvé mon compte dans cette nouvelle, même si je l'ai trouvée expéditive. Sans doute parce que l'âge des protagonistes empêchait l'auteure d'user de son remplissage habituel.
Dans tous les cas, on surfe plus sur du fantastique gentillet que sur de l'horreur.
Afficher en entierUn deuxième volet de la Vilainologie présentant cette fois des nouvelles un peu plus engagées, et c’est plutôt bienvenu.
Petite surprise d’ailleurs, avec une nouvelle moins portée sur le cul en la présence de Candygirl (à ne pas confondre avec Candyman). Mais ne rangez pas tout de suite le sopalin, il y en après tout pour les goûts (enfin, du moment que votre goût s’arrête au trash) et Tu ne me brûleras point devrait dans ce cas-là vous satisfaire.
Un volume un peu mieux ordonné, qui a ma préférence pour le moment.
Afficher en entierLa petite vie d'une entreprise informatique avec les yeux plus gros que le ventre.
Au programme du séminaire, la recette habituelle : sexe, humour potache (oh non, “ils ont tué Kenny”, pas de quoi se fendre en deux en somme) et chute tiède.
Je suis passée à côté de celle-ci.
Afficher en entierSi vous n'aviez pas reconnue l'allusion à la petite fille aux allumettes, voilà, je la place. L'auteure se colle ici à une description socio-culturelle du Danemark au XIXe siècle. Pas une mince affaire, et les faiblesses de style se ressentent d'autant plus que Violaine de Charnage s’éloigne de son je-m'en-foutisme détaché habituel.
Pourtant, l'exercice est plutôt rafraîchissant.
Afficher en entierMême si ce troisième volet reste évidemment dans la lignée des deux premiers, il m’a moins emballée par son choix de nouvelles.
Entre l’humour lourdingue de Séminaire de désintégration (qui parvient même à être devancé par F*** I’m a mouche) et Camping Purgatoire qui réutilise une ficelle déjà utilisée par Sang pour sang triangle amoureux, seule La petite fille au cocktail molotov sort pour moi véritablement du lot. Même si le changement de style est imparfait (comme je l’avais commenté sur la fiche dédiée à la nouvelle, je vais éviter de me répéter), il s’agit au moins d’un essai rafraîchissant.
Ah, et youpi, cette fois on a enfin la fin de Mange pas ton gras la bouche pleine. Ça valait la peine d’attendre.
Afficher en entierLes Contes venimeux reprennent Blanche-Neige et les zombies, Le (fetish) chat botté ainsi que La petite fille au cocktail molotov, trois nouvelles qui étaient toutes les trois déjà présentes dans les Vilainologies.
Je ne découvre donc ici que la Toison bleue en nouveauté. Une nouvelle m’ayant plutôt déçue, alors que ces contes revisités faisaient jusque là partie de mes préférés chez Violaine de Charnage.
Il s’agit ici d’une revisite de Barbe bleue, mais quelques siècles plus tard.
Ce petit changement permet en tout cas de justifier une version porno un petit plus d’actualité, mais à la fin peu surprenante à mes yeux (en effet, les productions japonaises sont déjà passées par là. Et ouais, je connais mes classiques.)
Afficher en entierPeu de choses à dire sur cette courte nouvelle absurde.
Un alien, Bob, sans doute inspiré par The Blob, tente de tout venir bouffer sur terre à la, mais tout ne se passe pas comme prévu. Je retrouve l’humour de l’autrice, qui souffle le chaud et le froid chez moi. Ici, je trouve que cela fonctionne correctement.
Afficher en entierEn plus de Bob63, le dévoreur de monde, Dévoration contient surtout une sorte de prequel/sequel hybride dans laquelle notre Bob se foire (encore) en se trompant d'époque. Évidemment, il était utile là-dedans de parler (encore et re-encore) de putes et semence, le tout saupoudré (encore, re-rencore et re-re-encore) de références pop-culture ringardo-gaguesques.
Bob envie très certainement mon indigestion, je vous le dis.
Afficher en entierMandy, dix-neuf ans, possède dans le ventre un enfant dont elle veut se débarrasser. Manque de bol pour elle, elle va être « recueillie » par Cherry et Terry, un couple catho-intégriste caricatural qui ne semblent pas trop en amitié avec l'avortement.
L'occasion pour Violaine de Charnage de nous présenter un huis clos faisant de (très) gros appels du pied à Misery, la finesse en moins.
Cependant, nous ne restons pas sur une simple pâle copie.
Surprise, le roman apporte une petite touche fantastique, malheureusement toujours très brut de décoffrage chez l'autrice.
Et c'est dommage, parce que l'histoire proposait quelque chose. Mais ce style punk (que je trouve en plus démodé), cette fausse rock'n'roll attitude je-men-foutiste constante (pourtant très bien incarnée par Josh) ne marche pas chez moi.
C'est trop facile.
Le style ne me séduit pas, le récit ne me surprend pas.
Afficher en entierDédicaces de Violaine De Charnage
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
VOUS AVEZ LA CERVELLE, LE CŒUR, ET L’ESTOMAC BIEN ACCROCHÉS ?
THRILLER très horrifique, FANTASTIQUE, HORREUR graphique et frontale : lire du Violaine Decharnage, c’est faire un tour de montagnes russes fantômes, à l’envers, sans freins.
Dans la montée, préparez-vous pour une littérature assumée de très mauvais genre, où la seule règle est le plaisir de la transgression.
Arrivés au sommet, pendant une seconde, vous ignorerez quel rail votre wagonnet va emprunter : celui d’un imaginaire éclaboussé de pop culture sale, décomplexé, hardcore, trash, POUR PUBLIC TRÈS AVERTI ? Ou celui d’une littérature influencée par les grandes heures du roman, de la nouvelle et du cinéma d’horreur et GORE ?
C’est parti pour la descente infernale ! Hommages et revisites de films fantastiques et d’horreur, de mythes, contes, faits divers, sujets de sociétés... Vous serez ballottés entre gore, TRASH, déviances et perversions, BODY HORROR, p🖤rn-gore, fouettés d’humour noir et des thèmes fétiches de l’auteure : libertés, violences, figures féminines…
UNE HISTOIRE GRATUITE ?
Pour découvrir "HELL-OWEEN", rendez-vous sur www.violainedecharnage.com
Instagram violaine_de_charnage
Facebook Violaine De Charnage
TikTok violainedecharnage
Afficher en entier