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Evelyn Waugh

Auteur

Royaume-Uni Né(e) le 1903-10-28
Royaume-Uni 1966-04-10 ( 62 ans )
47 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par anichinabe 2011-04-05T23:17:57+02:00

Biographie

(28/10/1903 - 10/04/1966)

Fils d'un critique d'art directeur d'une maison d'éditions, frère d'Alec Waugh (né en 1898) également romancier, Evelyn Waugh (prononcez : Ouau) est né à Londres (Angleterre) en 1903. 1l se spécialise en histoire à Oxford, débute comme professeur, collabore au quotidien The Daily Express et se fait connaître, après une biographie de Dante Gabriel Rossetti, par son premier roman Vile Bodies (1928), satire de la haute société. A partir de 1930, date de sa conversion, le catholicisme marquera fortement son optique. '

Evelyn Waugh publie divers livres de voyage- très sérieux de ton (Labels, 1930; Remote People, 1932; Waugh in Abyssinia, 1936; Mexico, an object lesson, 1939; des Croquis de Voyage, 1947; etc.). Mais c'est avec des romans satiriques qu'il obtient une renommée mondiale : A Handful of dust (1934), Retour à Brideshead (1945), Le Cher Disparu (1948), entre autres. Ses expériences de guerre lui ont inspiré Men at arms (1952), Oflicers and Gentlemen (1955). Engagé dans la Marine au début des hostilités, transféré dans les commandos, parachuté en Yougoslavie, il a échappé de peu à la mort quand l'avion cargo qui le transportait s'est écrasé.

Evelyn Waugh, mort en 1966 à Taunton (Angleterre), est considéré comme un des maîtres de l'humour anglais.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.33/10
Nombre d'évaluations : 12

2 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Evelyn Waugh

Sortie Poche France/Français : 2021-09-30

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par brausten 2011-08-30T14:01:51+02:00
Le cher disparu

Evelyn Waugh nous dépeint la mort sous l'aspect le plus incongru.

waugh et un tres bon auteur.

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Commentaire ajouté par Mietje 2012-09-19T14:34:29+02:00
Le cher disparu

Livre un peu humoristique sur les rites funéraires.

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Commentaire ajouté par EmmaB 2016-08-25T13:44:07+02:00
Le cher disparu

Oui, le livre se lit facilement. Non, il ne fait démonstration d'un humour anglais digne de ce nom. Ou alors suranné. A peine un bon moment de lecture.

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Commentaire ajouté par Sherlocked_666 2020-10-03T13:36:10+02:00
Ces corps vils

Une plume fine et acérée, un délicieux humour british, une impression de folie, un tourbillon d'absurdités et d'excès en tous genres.

Avant de poster ce commentaire, je suis allé faire un petit tour sur l'internet afin de prendre la température dans les avis des lecteurs. Ma fiancée m'avait pourtant prévenu, elle qui a lu ce livre quelques semaines avant moi : la majorité des personnes qui ne sont pas familières avec l'Angleterre des années 30 décrivent Ces corps vils comme un ouvrage ennuyeux, grotesque, dénué de sens et de style. Et pourtant ! Nous tenons ici une belle critique de l'époque et de la société de Waugh, criante de vérité quoique invraisemblable par moments. Mais pour en saisir la valeur et la profondeur, le lecteur lambda doit d'abord apprivoiser le contexte dans lequel les Bright Young People ont évolué, sans quoi il souffrira de la désagréable impression d'être coincé dans un enchaînement d'évènements sans queue ni tête.

Il y a tant de détails à relever dans chaque chapitre, tant de traits d'humour qui peuvent facilement passer inaperçus. C'est un roman d'une richesse indéniable et je suis sincèrement peiné de voir que la moitié de ses lecteurs sont passés à côté de son essence.

Mon avis est peut-être légèrement biaisé par le fait que j'ai également beaucoup apprécié l'adaptation filmographique de ce cher Stephen Fry ainsi que la pièce jouée au Warwick Arts Centre, qui permettent toutes deux d'approcher le roman assez différemment. Toujours est-il que je suis certain de passer un bon moment en ouvrant mon exemplaire de Ces corps vils, et c'est un sentiment que je n'éprouve que trop peu ces temps-ci.

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Commentaire ajouté par Aline-100 2021-03-24T09:42:39+01:00
La Fin d'une époque

Ce recueil de nouvelles est un magnifique portrait de société que nous offre Evelyn Waugh.

Humour noir et ironie sont au rendez-vous. Quelques "piques" sont adressées aux différents personnages, mais on ne peut s'empêcher de partager le point de vue (très cynique) de l'auteur sur certains d'entre eux et de sourire lorsque le sort s'acharne sur les plus désagréables des personnages qui animent ces nouvelles.

Le titre de ce recueil de nouvelles est particulièrement adapté (même en V.O. puisque le titre original est Work Suspended) étant donné la date de la première édition de ce recueil : 1939. La toute dernière nouvelle, qui donne d'ailleurs son titre à cet ouvrage, se termine d'ailleurs par une postface qui fait référence à la Seconde Guerre mondiale.

Mais cette "fin d'une époque" dont il est question ne m'a pas paru faire référence, uniquement, à la guerre. Dans chacune des 9 nouvelles, les personnages semblent vivre un moment "frontière" qui met fin à la conception qu'ils avaient de leur vie jusque là. On assiste donc à diverses décadences des personnages : l'aristocratie n'est plus aussi riche et brillante qu'elle l'était, la mémoire de Bella Fleace est de moins en moins fiable et l'excursion de Mr Loveday hors de l'asile ne tourne vraiment pas comme prévu... L'ensemble des personnages est donc confronté à une sorte de rite de passage ; certains s'en sortent bien, d'autres moins bien voire pas du tout.

Ces épreuves et le contexte particulier dans lequel s'inscrit le livre donnent un petit côté nostalgique à cette lecture. On "sent" réellement, à la lecture, la fin de l'époque dont chacune des nouvelles nous parle. de ce fait, le dépaysement est total et je dois dire que le retour à la réalité du XXIème siècle est assez brutal, d'autant que la nouvelle "La fin d'une époque" se finit justement brutalement elle aussi et laisse un petit goût d'inachevé...

Vous l'aurez compris : je suis séduite par le style d'Evelyn Waugh et par l'ambiance de ces nouvelles. Et je compte bien découvrir plus avant l’œuvre de cet auteur.

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Commentaire ajouté par Henri-1 2021-05-22T22:06:40+02:00
Retour à Brideshead

Ce "retour à Brideshead" est un roman à la fois mélancolique, décadent et avec une certaine touche d'humour plutôt noir, ou cynique.

Evelyn Waugh s'est démarqué en tant qu'auteur de livres de voyage divertissants et, surtout, de romans satiriques amusants parfois même très drôles mais il a également écrit quelques romans bien moins drôles et très bien écrits comme par exemple avec ce fameux e très célèbre (du moins dans les pays anglosaxons) "Return to Brideshead", écrit pendant une convalescence, au milieu de la guerre mondiale. Le roman est publié en 1945. Il roman raconte la relation du narrateur, le jeune Charles Ryder, avec la noble famille Flyte (ou Marchmain ou Brideshead ... je ne sais pas comment le dire, mais je ne suis qu'un pauvre roturier ): d'abord, avec le dissolu Sébastien, puis avec sa sœur Julia, bien qu'en réalité, toutes les composantes de la famille particulière passent sous le regard scrutateur d'un observateur aussi privilégié, qui en dresse pour nous une vision globale et complète- d'autant plus qu'il a l'œil puisqu'il est peintre - Son récit nous fait assister à la défragmentation et à la décadence de cette famille qui est également censé refléter la décadence et la fin d'une époque entière, celle de la splendeur maximale de l'Empire britannique. (j'ai pensé en le lisant aux damnés de Visconti au guépard de Giuseppe Tomasi de Lampedusa (encore Visconti) ,au monde d'hier de Zweig, ainsi qu'à la recherche de Proust.) Chronique familiale donc : portrait de ce que nous appellerions aujourd'hui famille «déstructurée» Une famille unique, d'ailleurs, parce que leur statut de nobles, riches et décadents s'enrichit par le fait qu'elle soit catholique dans un monde anglican et donc encore plus minoritaire d'autant plus que dans la Grande-Bretagne de ces années - celles de l'entre-deux-guerres - c'était encore un choix assez délicat. En fait, la présence intense de la religion catholique est des plus importantes dans ce roman. Waugh d'ailleurs appartenait au groupe rare et sélect des écrivains britanniques convertis au catholicisme (comme Chesterton, Graham Greene et Muriel Spark ). Il en profite pour régler ses comptes à sa propre religion en signalant avec beaucoup de conviction et d'à propos ses contradictions et ses absurdités . (en fait, les pages les plus ouvertement humoristiques du roman sont celles de la conversion de l'imprenable Rex). A moins qu'il ne brocarde ses aspects ridicules de sa foi pour mieux mettre en relief ce qu'elle a de grand?... Quelque chose de similaire se produit à propos de la relation homoérotique-sentimentale entre Charles et Sébastien dans la première partie du roman-, à peine dissimulée par la figure de sa sœur Julia : elle est latente, sinon "implicitement explicite ", dans une grande partie du livre, mais de telle manière que l'on soupçonne que les pensées de Waugh étaient innocentes et que c'est nous lecteurs qui avons des drôles d'idées (ce qui marche sur bon nombre de lecteurs même de nos jours qui n'y voit que du feu).. Le vrai thème du roman, je crois, est celui du bonheur ou plutôt de l'impossibilité d'y parvenir malgré toutes les conditions favorables .Tous les personnages principaux sont malheureux, d'une façon ou d'une autre. Charles lui-même, qui est le seul qui semble connaître le bonheur à un moment donné, nous décrit cet état en passant par la nostalgie, ce qui peut faire penser que le temps a embellit ce passé. Je ne peux pas terminer cette trop longue critique sans mentionner l'excellente qualité de la prose d'Evelyn Waugh: Le roman s'avère être d' une délicatesse, non seulement à cause des lieux si bien décrits et des personnages raffinés qui apparaissent (comme on pourrait le supposer, tout ça se déroule dans un monde assez chic mais surtout par la c'est la maîtrise et surtout l'intelligence - et l'ironie - avec lesquelles il est écrit.

Pour ceux qui préfèreraient passer par l'écran. Je l'avais découvert il y a une dizaine d'années en film (avec Emma Thompson, Matthew Goode et Ben Whishaw. Le film m'avait marqué surtout à cause de Ben Wishaw d'une beauté renversante comme le décrit l'auteur mais qui je crois s'éloigne pas mal du roman. Il y a aussi une série dont je viens de regarder le premier épisode apparemment d'une fidélité saisissante de 1981 et qui fut un énorme succès en Angleterre Jeremy Irons et Anthony Andrews.

Et si ça peut vous convaincre, une toute nouvelle version en série est en tournage réalisé par Luca Guadagnino (call me by your name) qui me semble tout indiqué pour la réaliser. Ce sera avec Andrew Garfield , Ralph Fiennes,Rooney Mara et et Cate Blanchett...

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Commentaire ajouté par Sherlocked_666 2021-10-23T12:39:00+02:00
Une poignée de cendres

Quel plaisir de retrouver la plume d'Evelyn Waugh, mais quel plaisir !

Tony, Brenda et leur fils John forment une petite famille charmante que tout le monde envie. Mais bien loin de ce qu'elle laisse voir, Brenda commence à se lasser de leur vie tranquille à la campagne et décide alors de multiplier les séjours à Londres en compagnie de son jeune, riche et stupide amant.

Certains seront dérangés par le fait que Waugh se gausse de ce couple qu'il fait plonger de plus en plus profondément dans le malheur. Oui, la bêtise de Brenda prête à rire et oui, la naïveté de Tony est telle qu'elle en devient ridicule. Oui, on rit du malheur de ces personnages même s'ils ne méritent pas ce qui leur arrive. Cela paraît insensible mais c'est du Waugh. L'humour acide et pince-sans-rire qu'il utilise pour flageller l'aristocratie britannique de son temps est effectivement méchant et dans un sens, c'est exactement ce qui rend sa plume si savoureuse.

Pourtant, derrière les rires grinçants se cache un profond désespoir partiellement motivé par les mésaventures vécues par l'auteur lui-même. Il ne critique pas "les riches" et leur mode de vie pour le simple plaisir de les critiquer. Il sait ce qu'il fait et il connaît bien le milieu dont il parle. Il est amer et aigri sur les bords mais c'est ce qui donne tout son charme à sa plume aiguisée. Waugh sait comment déclencher des vagues de sentiments ambivalentes chez ses lecteurs. On rit puis on compatit, on comprend puis on désapprouve.

Finalement, c'est un roman fort triste qui nous est livré ici. C'est une foire aux vanités en apparence grossière et virulente mais pourtant si fine et juste. Derrière l'absurde se tapissent toutes les atrocités que les individus sont capables de s'infliger et d'infliger à leurs pairs.

Une tragédie délicieusement saugrenue sans être aberrante. Un délice.

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Commentaire ajouté par a_book_of_ones_own 2022-01-09T19:39:36+01:00
Retour à Brideshead

J'ai beaucoup aimé ce roman. S'il n'y avait pas eu plusieurs longueurs, ça aurait été un coup de coeur. J'ai beaucoup aimé les personnages de Sebastian et de Julia, qui sont très intéressants et très bien construits. J'aurais voulu cependant en savoir un peu plus sur eux. Je trouve que l'auteur reste souvent dans le flou, qu'on est censé comprendre quelque chose qu'on ne parvient pourtant pas à saisir, et c'est assez frustrant, parce que ces deux personnages sont très intrigants. J'ai adoré l'ambiance de l'Angleterre des Années folles et l'opposition entre le milieu aristocratique des Flyte et celui, plus pauvre, de Charles. Une mélancolie profonde cependant parcourt tout le livre, ce qui m'a beaucoup fait penser aux romans de Fitzgerald avec ce côté éblouissant et glamour des Roaring Twenties et pourtant tout ce superficiel (et dans le cas de Brideshead revisited, tout cet effondrement de l'ancien monde). Une excellente lecture, avec peu de points négatifs.

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Dédicaces de Evelyn Waugh
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Robert Laffont : 13 livres

10/18 : 7 livres

Payot : 2 livres

The albatross : 1 livre

LGF - Le Livre de Poche : 1 livre

La petite ourse : 1 livre

Editions Universitaires : 1 livre

Seuil : 1 livre

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