Magali Raynaud

Livre topissisme! L’autrice nous plonge dans l’univers des abysses et nous partons à la rencontre de Kiwa, une créature attachante.

Un bon livre de SF! Je recommande!

Un résumé intrigant, peut-être trop mystérieux. Surtout vu l’univers. Je m'attendais à ce que Cayla soit nommée par exemple.

Un petit préambule nous parle de la vie sous-marine et du fait que l’on ne connaît pas tout… oui, belle entrée en matière.

L’ouvrage est en deux parties, la première c’est vraiment exploration, rencontres, la deuxième, c'est le retour à la réalité, les obstacles et les problèmes...

J'ai moins aimé la deuxième partie que la première.

Nous faisons la connaissance de Cayla, qui explore les fonds marins en plus de temps de temps de s’amuser dans un laboratoire. Elle est biologie, elle étudie les animaux, leurs relations, comportements, et est accompagnée par Nick, Chris et je mets Sean à part pour le moment.

Lors d’une plongée (oui on plonge pas mal dans cet ouvrage), une créature apparaît. Une créature qui semble être protégée par les baleines. Cayla fera tout pour révéler ce mystère, quitte à mettre son travail en jeu et même pire.

Niveau personnage, j’ai eu du mal à ré-accrocher à Cayla suite à un truc que je développerai pas ici. Les hommes sont souvent stupides, « nul » ou « idiot » pour reprendre des termes lus. Parfois ça se débrouille, mais souvent le portrait est trop manichéen. Il aurait fallu plus de nuances et de reliefs. Par exemple pour A F, c’était tellement prévisible et pas original que je me suis dit « mouais bah encore un riche qui embauche des... je ne spoilerai pas la suite. Kiwa est bien, mais pas encore assez développé.

J’ai aimé, les thèmes abordés surtout concernant la sauvegarde des océans, des espèces, la pollution causée par l’Humanité… la destruction des habitats, le côté recherche scientifique, aventure et exploration.

J’ai apprécié le pourquoi du nom et titre Kiwa. Même si c’est trop succinct. Y a certaines idées qui méritent d’être plus développées. Kiwa par exemple est un bon perso même s’il manque 2-3 éléments pour qu’il soit encore plus marquant.

J’ai moins aimé, d’abord l’absence de tirets cadratins et du coup, l’absence de différence visuelle avec les éléments incidents ou les mots composés. Beaucoup de passages manquent de rythme, il y a trop de répétitions, de redondances et d’impersonnalités. Il y a pas mal d’erreurs à rectifier également. La partie 2 est archi prévisible. Je m’en doutais…

Un dernier mot ? Une phrase, à la page 22 : « Il y a quelque chose dans l'eau, avec les dauphins. Quelque chose que le sonar ne reconnaît pas. Je l'ai entendu, mais impossible de le voir. Venez ! »

J’aurais pu mettre un juron québécois, mais ce serait vous spoiler !

Pour la chronique complète:

https://www.facebook.com/maritzajaillet/posts/pfbid028TrqvXxivUc54djx4LDfiy6M5Ta9BppjKCf58fzVAXDYyCFKaBRtcNVpGb25faRzl