Ismail Kadaré
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Note moyenne : 7.05/10Nombre d'évaluations : 39
1 Citations 21 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Dans la librairie il avait un petit mot sur ce livre qui en faisait l'éloge, alors bon, je l'ai pris les yeux à demi fermés. Je n'aurais sans doute pas dû. Peut-être que je n'ai pas la maturité pour lire ce livre, je n'en sais trop rien. Je ne l'ai d'ailleurs pas fini, car on ne sait jamais que dans 20 ans je le trouve j'aurais encore l'intrigue à découvrir.
Découvrir les coutumes d'une autre culture m'a bien plus mais j'ai trouvé que tout était long et l'écriture trop peu fluide à mon goût.
Afficher en entierVoici une lecture difficile. Je l'avoue je n'ai pas compris où l'auteur voulait aller et il y a beaucoup de questions que je me suis posées durant ma lecture qui n'ont pas trouvé de réponses.
Le style est ardu (Est-ce parce que c'est une traduction venant de l'albanais ? Je ne connais absolument rien de cette langue, je ne sais rien de sa grammaire ni de sa syntaxe). Les phrases étaient complexe et leurs structures peu conventionnelles ce qui n'a pas facilité ma tâche.
Ce que j'ai aimé : le thème de l'histoire. Un point de vue sur la seconde mondiale peu répandu.
Ce que j'ai moins aimé : la mise en forme de l'histoire trop difficile et complexe voire alambiquée pour moi.
Afficher en entierRoman que je n'ai pas du tout apprécié. En me basant sur le résumé, j'attendais constamment de voir l'action principale arriver, et l'auteur m'a perdu par ses nombreux à-côté.
De plus, c'est un livre assez difficile à lire, l'écriture est tout sauf fluide.
Je ne le recommande absolument pas !
Afficher en entierLe mystère du titre est levé dès le début. Qui est cette poupée et pourquoi ce nom ? Ce n’est pas un livre à suspens au moins c’est clair, je m’étais renseigner uniquement sur l’auteur, je m’attendais à un roman.
Pas de déception non plus, c’est un récit autobiographique et je me retrouve bloqué à écrire ma critique car il ne s’y passe rien de plus que ce qu’il y a la quatrième de couverture. Je n’ai pas de reproche à lui faire, les un peu moins de 200 pages ne m’ont pas laissé le temps de m’ennuyer.
Pas la peine de faire du remplissage, je suis resté de marbre devant ce livre.
Afficher en entierDans les montagnes albanaises, le jeune Gjorg hérite d’une vendetta qui touche sa famille depuis plusieurs décennies : il doit tuer un homme pour venger la mort de son frère, puis se soumettre à son tour à une nouvelle reprise du sang. Traqué, sa seule possibilité d’échapper à une mort certaine qui le saisira un jour au détour d’un chemin, est de se réfugier dans une tour de claustration. Dans le même temps, un jeune couple en voyage de noces visite cette région aux traditions tellement éloignées de la vie moderne de Tirana. Il est écrivain et animé par la curiosité pour cette loi ancestrale du talion. Elle ne comprend pas cette fascination et est révoltée par cette tradition. Elle finira par s’immiscer, forcement de manière tragique, dans le destin de Gjorg.
Kadaré est le premier auteur à abandonner la vision romantique de la vendetta et de ses prétendus héros, pour en montrer toute l’absurdité et l’horreur. Il apostrophe son personnage, le jeune marié : « vos livres, votre art, sentent tous le crime. Au lieu de faire quelque chose pour les malheureux montagnards, vous assistez à la mort, vous cherchez les motifs exaltants, vous recherchez ici de la beauté pour alimenter votre art. Vous ne voyez pas que c’est une beauté qui tue. »
Ecrit en 1978, ce récit qui se déroule en 1930 est d’une beauté intemporelle.
Afficher en entierUne très belle découverte, j'aurai plaisir à lire plus d'Ismaïl Kadaré ! Certains points ont été un peu confus car je ne suis pas encore très familière du contexte, mais l'histoire se lit avec plaisir et permet d'évoquer des sujets importants.
Afficher en entierJ'avais peu apprécié ce roman étudié au lycée, et encore moins l'adaptation cinématographique tirée de cette oeuvre. Le style lent et épuré de l'auteur ne m'avait pas séduite, malgré le message contestataire contre des traditions séculaires absurdes et destructrices.
C'est l' histoire tragique deux destins brisés (celui d'un montagnard et d'un écrivain) sous le joug de la Kanun, équivalant de la vendetta corse mais dans l'Albanie du XXème siècle, où le l'honneur ne se lave qu'au prix du sang versé...
Afficher en entierDécouverte de l'auteur avec ce titre très moyen
Afficher en entierSortie totale de ma zone de confort avec ce livre. Je dois avouer que jusqu'ici je n'ai guère apprécié la littérature des pays de l'Est. C'est toujours sombre, froid, avec des paysages désertiques, et les sujets tournent souvent autour de la mort, l'ambiance est toujours lourde et triste, mais comme je ne désespère pas d'en trouver un différent je persévère dans ma quête. Ca ne sera pas encore pour cette fois, j'avais choisi ce livre parce que j'aime les histoires de vengeance, mais là cette vendetta n'est qu'une série de meurtres organisée selon les règles d'un vieux code de conduite qui régit toute une région. Et alors que dire du couple de jeunes mariés qui parcourent la lande montagneuse et désertique, bah rien parce que cette partie ne sert à rien pour moi, idem pour le chapitre sur l'intendant du sang. Alors je ne suis pas déçue parce que je n'attendais rien de précis sur ce livre, et bien qu'il m'ait fallu presque une semaine pour venir à bout des 215 pages, j'ai apprécié la plume de l'auteur, mais le contenu de l'histoire ne m'a clairement pas plu.
Afficher en entierOn parle de Ismail Kadaré ici :
2011-06-02T15:29:10+02:00
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Dédicaces de Ismail Kadaré
et autres évènements
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Editeurs
Fayard : 15 livres
LGF - Le Livre de Poche : 15 livres
Gallimard : 4 livres
Points : 2 livres
Stock : 2 livres
Larousse : 1 livre
Zulma : 1 livre
Vintage Classic : 1 livre
Biographie
Ismail Kadare (souvent orthographié Kadaré en français) est un écrivain albanais, né le 28 janvier 1936 à Gjirokastër, dans le sud de l'Albanie.
Il a étudié les lettres à l'Université de Tirana, puis à l'Institut Gorki de Moscou. En 1960, la rupture avec l'Union soviétique l'obligea à revenir en Albanie, où il entama une carrière de journaliste. Il a commencé à écrire très jeune, dès le milieu des années 1950, mais n'a d'abord publié que quelques poésies.
En 1963, la publication de son premier roman, Le Général de l'armée morte, lui apporta la renommée, d'abord en Albanie, puis à l'étranger, grâce à la traduction en français de Jusuf Vrioni. Depuis son oeuvre a été traduite dans plus de trente langues.
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