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Sous le pseudonyme de Nina Vivien, une Langueusienne nous livre dans son premier roman, Alcôve, un témoignage poignant sur la maltraitance dont elle a été victime dans le milieu familial pendant son enfance passée en banlieue parisienne.
« Ce témoignage, j'ai longtemps hésité à l'écrire puis à le publier. Il n'est pas facile de se mettre à nu et de décrire les violences subies par un enfant dans le secret de la cellule familiale. Enfant prématurée non désirée, j'ai vécu toute mon enfance entre une mère dépressive et violente et un père alcoolique et pervers qui m'a violée à plusieurs reprises. La peur, les coups et les humiliations étaient mon lot quotidien. Après mon départ, à 18 ans, de chez mes parents, j'ai commencé un long travail de reconstruction avec l'aide d'une psychothérapeute. J'ai alors compris qu'il me fallait, pour aller au bout de la démarche, mettre des mots sur mes maux, écrire pour exorciser le mal. L'écriture est un exutoire et m'a beaucoup aidé à reprendre goût à la vie. J'ai voulu, en publiant ce roman, briser le silence et surtout lancer un cri d'espoir à toutes les victimes de maltraitances en leur disant que la fatalité n'existe pas, que l'on a le droit de vivre et que l'on peut s'en sortir. »
Après une longue thérapie, Nina Vivien a définitivement quitté les lieux de sa souffrance pour s'installer voici trois ans dans cette Bretagne qu'elle adore et plus précisément à Langueux. « Je travaille actuellement à l'écriture d'un second roman. Lorsque j'aurai repris ma place dans la vie professionnelle, je serai alors totalement reconstruite », conclut Nina.
Biographie
Sous le pseudonyme de Nina Vivien, une Langueusienne nous livre dans son premier roman, Alcôve, un témoignage poignant sur la maltraitance dont elle a été victime dans le milieu familial pendant son enfance passée en banlieue parisienne.
« Ce témoignage, j'ai longtemps hésité à l'écrire puis à le publier. Il n'est pas facile de se mettre à nu et de décrire les violences subies par un enfant dans le secret de la cellule familiale. Enfant prématurée non désirée, j'ai vécu toute mon enfance entre une mère dépressive et violente et un père alcoolique et pervers qui m'a violée à plusieurs reprises. La peur, les coups et les humiliations étaient mon lot quotidien. Après mon départ, à 18 ans, de chez mes parents, j'ai commencé un long travail de reconstruction avec l'aide d'une psychothérapeute. J'ai alors compris qu'il me fallait, pour aller au bout de la démarche, mettre des mots sur mes maux, écrire pour exorciser le mal. L'écriture est un exutoire et m'a beaucoup aidé à reprendre goût à la vie. J'ai voulu, en publiant ce roman, briser le silence et surtout lancer un cri d'espoir à toutes les victimes de maltraitances en leur disant que la fatalité n'existe pas, que l'on a le droit de vivre et que l'on peut s'en sortir. »
Après une longue thérapie, Nina Vivien a définitivement quitté les lieux de sa souffrance pour s'installer voici trois ans dans cette Bretagne qu'elle adore et plus précisément à Langueux. « Je travaille actuellement à l'écriture d'un second roman. Lorsque j'aurai repris ma place dans la vie professionnelle, je serai alors totalement reconstruite », conclut Nina.
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