Jérôme Bourgine

Le voyage Impossible est un roman captivant, avec une histoire riche en rebondissements, entre le monde Terrestre et le monde Astral. J'ai été fascinée par tout ce que ce roman peut apprendre au sujet du monde Astral. Tout comme Tibo (le personnage principal de cette histoire), on apprend par le biais d'Arcturus des tas de choses à propos de ce monde que nous connaissons finalement si peu. Cela est bien dommage, d'ailleurs! Tibo, le héros de l'histoire, est vraiment attachant. C'est un garçon de 14 ans, qui doit affronter la vie sans son père, qui est dans le coma depuis plusieurs mois. Il va souvent lui rendre visite jusqu'à ce qu'il décrète que cela n'a pas de sens d'aller voir son père qui est inconscient. Il va rapidement se rendre compte qu'en réalité, cela a énormément d'importance. Arcturus, un mystérieux personnage, le contacte et lui fait découvrir le monde de l'Astral. Il explique à Tibo qu'il a le pouvoir de sauver son père, et que pour cela, il doit lui faire confiance. Je n'ai jamais douté de cet homme, à la différence de Tibo. Mais comme il dit: Il faut douter du doute...Tibo doit protéger les recherches faites par son père avant son coma, d'une société appelée Mutantis. Celle-ci cherche à s'emparer des données, coûte que coûte. Chez lui, Tibo mène une vie difficile, puisqu'il doit cacher son chagrin à sa mère, il s'interdit de pleurer, il veut rester fort, et il doit s'entraîner, comme Arcturus le lui a conseillé, de façon très régulière. Sa vie au collège est toute aussi rude, puisqu'une bande d'idiots (comme il y en a partout!) s'amuse à le blesser en parlant de son père...J'avais envie de les gifler à chaque fois qu'ils ouvraient la bouche. Néanmoins, il fait une rencontre plutôt merveilleuse. Lime. Une jeune fille dont il tombe rapidement amoureux et qui saura lui faire oublier ses soucis, grâce à ses sourires, son rire et sa joie de vivre. Lime est une fille très spéciale et je l'ai tout de suite adorée. Elle est très courageuse, elle rit à longueur de temps et apporte du bonheur dans la vie de Tibo. Elle semble à la fois douce et forte, elle est capable de grandes choses et elle est très ouverte d'esprit. C'est pourquoi elle accepte sans la moindre hésitation d'aider Tibo, à chaque fois qu'il a besoin d'elle. Quelque soit le danger...Ils forment, ensemble, un duo et un petit couple hors du commun, et très touchant.

Ce roman est très beau. Il montre l'intensité du premier amour, de celui d'un fils pour son père, d'une femme pour son mari... Il montre que l'amour, le courage et la volonté peuvent sauver, et il nous montre ce monde dont on connait si peu de choses: L'Astral.

Cette histoire est relatée en 4 voix: Michel, 13 ans, atteint d'un cancer - Hannah, sa soeur, 12 ans qui est un véritable petit génie de déduction - Isabelle, leur maman qui m'a bien souvent fait penser qu'elle ne ressentait rien et Daniel, le voisin. Tous les 4 sont des "écorchés de la vie" comme on dit.

Je n'ai pas été super emballée par l'histoire, je m'attendais à plus de profondeur. J'ai été souvent interpellée par l'attitude d'Isabelle la mère de Michel et de Hannah, j'ai bien compris que par ses remontrances elle ne voulait surtout pas montrer qu'elle était inquiète pour son fils mais ça m'a toutefois choquée. J'ai trouvé qu'elle était très "nombriliste" que sa petite personne passait bien avant ses gosses.

Je n'ai pas trop aimé Hannah qui passait son temps à faire des réflexions un peu trop "intellos". Les deux seuls personnages qui me semblent intéressants sont Michel et Daniel.

J'ai malheureusement été plus perturbée par les "côtés négatifs" que par le reste. C'est dommage car l'histoire est intéressante, alors je me demande bien pourquoi je suis passée à côté. Je vous invite, comme d'habitude, à vous faire votre propre avis.

Je pense que j'ai été un peu déçue par ma lecture, je ne m'attendais pas trop à ça. Du coup, je ne sais pas trop quoi en dire. Je voudrais déjà remercier Victor de chez Sarbacane pour ce partenariat. La couverture m'avait assez intéresse de plus le résumé assez sympathique. Mais finalement, je n'ai pas trouvé ce à quoi je m'attendais. On a un récit à quatre voix, assez perturbant et en même temps assez sympa. Cela nous a permis de mieux situer les sentiments des personnages. Nous avons Michel 13 ans, atteint d'un cancer, mais on s'aperçoit vite que cet enfant est limite maudit par la maladie. On a sa sœur Hannah qui à 12 ans, un peu trop intelligente lorsqu'on voit sa mère. Une mère complètement paumée, enfin, c'est mon ressentis, et qui manque cruellement de maturité, mais qui a aussi un blocage sur certains sentiments. Puis au milieu, on a Daniel, le voisin qui sort de nul par. Enfin bref, l'histoire tourne autour du cancer de Michel, mais pas que, et dans un sens, ce n'est pas plus mal comme ça, on oublie un peu la gravité de sa maladie. Mais finalement, j'ai vraiment eu du mal avec les deux personnages féminins. Entre une mère trop vulgaire, égocentrique et immature, avec une gamine qui s'exprime mieux qu'elle enfin quand elle parle correctement avec sa bouche et qui est bien plus intelligente qu'elle. Du coup, on se demande si les rôles ne sont pas inversés. J'avoue que je reproche beaucoup à l'auteur d'utilise un style bien trop familier où la vulgarité est bien trop présente à mon goût, j'ai eu une impression de concours de la vulgarité d'ailleurs. Du coup, cela m'a assez vite refroidi dans mon enthousiasme à le lire. Mais mise à part ça, on a quatre personnes brisées par la vie qu'on découvre petit à petit et malgré que je ne les ai pas forcement aimé au début, j'ai fini par m'attacher un petit peu à eux. Par contre, le système de quatre voix a souvent fait partir en live l'histoire sans vraiment que je comprenne l'intérêt, mais du coup, ça dynamise beaucoup le livre et les pages passent relativement vite. Je n'ai pas bien compris la fin, mais j'ai surement loupé un truc. Enfin bref, un livre un peu bizarre.

En conclusion, un livre dont j'ai du mal à faire ressortir mon ressenti, j'ai trop d'avis négatifs dessus. Et pourtant, il y a une petite leçon sur la vie et la mort, assez discrète qui malheureusement pour ma part s'est noyé dans mon blocage avec le style familier bien trop vulgarisé. Des personnages, auxquels on finit par s'attacher et par parfois rire avec eux. Mais ce roman reste bien trop bizarre à mes yeux du coup, j'ai un peu de mal à y mettre les mots.

Et oui en peu de temps je reviens avec plusieurs chroniques. Et bien oui étant donné que je suis en vacance, j'ai en effet pas mal de temps. Ce qui honnêtement fait beaucoup de bien. J'ai rencontré ces derniers temps de bonnes lectures, mais je dois avouer que je rencontre également des mauvaises. Attention je ne dis pas que celle-ci est mauvaise juste qu'elle ne m'a pas plu autant que certaines personnes sur la bloguo. Je tiens cependant à remercier les éditions Sarbacane pour cet envoi.

Résumons un peu. Tibo ne croit pas aux miracles. Il a 14 ans et un père qui flotte entre la vie et la mort depuis trois longs mois. Chaque jour, il se demande pourquoi. Pourquoi son père, qui menait une enquête sur la multinationale Mutantis, est-il si brutalement tombé dans le coma ? La réponse surgit un matin, quand le mystérieux Arcturus lui annonce que s'il veut sauver son père, il doit apprendre à faire voyager son esprit... hors de son corps ! Une fantastique aventure commence alors pour Tibo - et pour Lime, la jeune fille qui entre dans sa vie au même moment...

Commençons par les personnages. Oui pour une fois je me sens de commencer par ces derniers. Alors notre personnage principal n'est autre que Tibo, jeune garçon de 14 ans, vivant avec sa mère car son père est depuis 4 mois dans un coma, non-explicable. Au début je ne savais pas trop quoi penser de lui car je me disais que c'était un garçon calme et timide mais il s'avère que par la suite ce n'était pas toujours le cas. Le deuxième personnage principal est Lime, jeune fille de 14 ans, dans le même collège que Tibo. J'ai trouvé que la relation entre Tibo & Lime était vraiment mignonne, très collégiale. J'ai beaucoup aimé le courage à vouloir se battre pour ce qu'ils ont. Je pense que c'est d'ailleurs ce que j'ai préféré dans ce livre.

(suite lien ci-joint: http://tinkerbells-readings.skyrock.com/3227481173-Le-voyage-impossible-de-Jerome-Bourgine-chez-Sarbacane.html )

Livre pire que nul, l'histoire manque de complexité et il y a parfois des éléments qui n'ont rien à faire là.

André Brugiroux aime parler de lui et est extrêmement fier du chemin qu'il a parcouru. Comment pourrait-il en être autrement ? Et comment ne pas être jaloux, ou au moins, envieux de son audace et de son courage, qui l'ont amenés à vivre ce que personne d'autre que lui ne peut avoir vécu ? Oui, car être en Bolivie lorsque le Che y est assassiné, voir le mur de Berlin se construire devant ses yeux, qui peut se targuer d'en avoir fait de même ? Alors, oui, nous le suivons à travers ses découvertes et péripéties personnelles, nous découvrons le monde avec les yeux d'André Brugiroux, et moi, je ne peux m'empêcher de dire que c'est l'homme le plus "chanceux" du monde, et j'aimerais tant, plus tard, dans quarante ans peut-être, me dire que moi aussi j'ai parcouru et visité le monde, que j'ai rencontré des personnes hors du commun, des peuples à la culture totalement différente de la mienne, que j'ai échangé et appris grâce à tous ces voyages. Rien est encore écrit sur le papier, et tout reste à découvrir. Alors, en route, mauvais troupe !

J'ai tout simplement adoré ce livre ! Coup de cœur

Une formidable aventure humaine sur plusieurs dizaines d' années. Un formidable périple autour du monde que tout voyageur rêverait de faire. J'ai parcouru avec vous Mr BRUGIROUX, à travers votre récit un tour du Monde inestimable, avec une formidable philosophie. Merci et j'espere que vous pourrez encore compléter longtemps les petits morceaux manquants.

Il faut avoir ce livre dans sa bibliothèque. Pourquoi ? C'est l'un des seuls ouvrages à ce jour (avec "Voyages hors du corps" aux éditions Time-Life, coll. Les mystères de l'inconnu) à dresser un panoramique historique étendu sur le sujet. On y trouvera beaucoup de références. Il se rapprocherait d'une "étude universitaire" en quelque sorte. C'est sa qualité première, bien qu'il aborde aussi des techniques et de nombreux autres aspects.

L’Inde démunie est une cour des Miracles portée à la puissance 10, et Calcutta est la capitale de cette diaspora des oubliés de la création. Comme il est difficile de demander à un pays, où un dixième de la population vit, couche et meurt dans la rue, d’ouvrir ses portes à l’étranger de passage, je me retrouve à plusieurs reprises dans l’obligation de dormir moi-même sur le trottoir, au milieu de familles entières dont certaines, complètement nues, n’ont même pas un reste de haillon pour protéger leur intimité, rien que la crasse.