Hippolyte

Histoire d’un enfant des années 80 qui va glisser sur une peau de banane qui fera changer le cours de son existence. Empli de tocs qui lui font tout compter en s’attribuant des points et élaborer des statistiques. Doté d’une grande imagination, il établi des fiches sur une multitude de sujets. Mère absente, père trop occupé, évite ses camarades, s’invente des compagnons de jeux, jusqu’au jour où sa maîtresse lui demande de participer à un concours. Des dessins simples aux couleurs pastels, genre Sempé. Un univers qui m’a touché. Quel talent incroyable !

L'histoire est très bien construite. Même si on est dans un monde imaginaire peuplé d'esprits, on peut très bien se projeter dans notre monde avec les difficultés des migrants à traverser les pays et les mers. Dans un monde où le pire peut arriver pour espérer arriver dans un monde meilleur. C'est une belle histoire.

Jean-Loup est très curieux a beaucoup d’imagination : rentré de l’école deviens un jeu, éviter les gros dur rapporte des points, recueillir des informations sur tout et autres distractions en tout genre. Mais surtout il fait tout pour ne pas se faire remarquer.

Le jour de la présentation de son exposé, une panne de réveil va venir enrailler son quotidien paisible.

Une magnifique histoire touchante sur le sens de la vie.

J’ai adoré.

quelle incroyable originalité et inventivité . De vrais auteurs.

Jusqu'en 1980, Saly était un village de pêcheurs au sud de Dakar. C'est aujourd'hui le plus grand centre touristique d'Afrique de l'Ouest. En haute saison, plus de 20 000 personnes s'y retrouvent le long des plages. Soleil, mer, golf, quad... Saly attire aussi des retraités européens. L'un d'eux est le père d'Hippolyte. «Elle est pas belle la vie ?» lui demande-t-il. Le fils ne répond pas : il dessine, photographie et raconte «L'Afrique de papa»

L’histoire n'est pas très crédible : un enfant qui aide son institutrice me semble assez irréaliste. Cependant si on accepte cela comme base de départ, la BD tient la route. On y parle respect de l'autre quelque soit son poids et bienveillance. Le dessin est très stylisé et très coloré. Mais il ne m'a pas enthousiasmé. En revanche, la présence de l'hippopotame et du lion est une très bonne idée.

Une BD très prenante qui nous amène dans une histoire qu'on aurai pas imaginé au début.

Très belle histoire.

Une petite BD sympa, avec un thème rarement abordé, celui de l'obésité et du rapport aux autres. De beaux dessins à l'aquarelle. Voilà, après, ce n'est pas non plus immanquable. Il ne se passe pas grand chose.

Romain avec son regard d'enfant cherche à comprendre et c'était attendrissant. Il veut aider sa professeure et j'ai apprécié qu'il se prenne vraiment la tête à sa façon. Les dessins correspondent bien à l'histoire. C'était une bonne lecture.

Mon avis sera plutôt court sur cet ouvrage dont j’attendais plus, pour être sincère.

Je n’ai pas accroché ni au coup de crayon que je trouve assez brouillon et très peu agréable pour ce genre de lecture, ce qui est fort dommage et forcément impacte la lecture.

Mais je n’ai pas accroché non plus au fond, c’est-à-dire au récit qui est raconté ici. C’est dommage, car c’est un récit essentiel autour du Rwanda qui avait pourtant de bons éléments à commencer par le regard français sur cette tragédie. Je m’attendais à plus, à peut-être un peu moins de “poésie” à quelque chose de plus “documentaire” finalement. Mais le récit n’a pas du tout su m’accrocher et si je n’ai pas arrêté ma lecture, c’est seulement à cause du sujet.

C’est dommage, vraiment, car je pense que l’idée de base pouvait être vraiment pertinente. Alors oui, je peux vous dire de le lire, car cela reste un ouvrage sur le génocide du Rwanda et que c’est important comme tous les témoignages, mais en même temps, je ne peux que vous mettre en garde sur le fond et la forme.