Merwan Chabane

Graphiquement, je suis aux anges. Par contre, le scénario ne m'a pas vraiment convaincue. Pourtant ça partait bien. Les dessins sont sublimes et l'histoire a une portée allégorique. J'ai aussi tout de suite été happée par le côté conte tout doux qui fait rêver. Alors pourquoi cette "mauvaise" impression ? Et bien tout simplement car je suis restée sur ma faim : dès le début on pense que c'est une métaphore à grande échelle malheureusement la fin ne nous donne aucune explication et je suis restée dans la perplexité. S'il y a une morale, je ne l'ai pas saisie. Dommage.

La meilleure partie de balle au prisonnier que j'ai vu, et les dessins sont vraiment superbes !

Les décors dans ce monde en partie englouti et secoué par plusieurs catastrophes sont magnifiques. Nous le découvrons a travers les yeux des protagonistes principaux très attachants et dont le quotidien va être bouleversé par une nouvelle rencontre donnant lieu a des moments d'actions particulièrement bien rythmés.

J'aime beaucoup le style graphique de ce dessinateur et le scénario est également à la hauteur...L'histoire est prenante de bout en bout.

Le sujet est sensible, il parle d'intégration, de banlieue, de racisme...il est traité avec justesse.

Suite et fin de cette très bonne bande dessinée ! Dans ce jeu d'ombres rien ni personne n'est tout noir ou tout blanc, d'où le titre...je pense.

Ce second tome est riche parfois un peu trop et on risque de se perdre dans le flot de rebondissements et surtout confondre nos deux protagonistes (surement est-ce voulu !;)).

C'est une bande-dessinée sympathique, sans être très passionnante. J'ai beaucoup aimé le style graphique, mais le récit est un peu mystique et c'est plus contemplatif que narratif. L'univers reste flou, une armée progresse vers un pays mystérieux, sans autre but manifeste que de vaincre. Je l'ai lue très vite, mais je ne lirai pas la suite.

Lecture très sympathique pour moi, qui mêle habilement contexte post-apo tendu, tension sportive et personnages attachants. Le dessin n'est pas en reste, c'est beau et doux avec un effet aquarelle qui me plaît beaucoup. Lors des scènes de sport ou d'action, le dessin ne jure pas et prend un côté dynamique très cool. J'ai globalement tout aimé : l'univers qui est suffisamment développé pour nous maintenir en haleine sans nous donner l'impression de passer à côté d'un truc plus grand, les personnages attachants et nuancés, l'histoire… Enfin, pour l'histoire, ce que j'ai peut-être à reprocher, c'est que le sport au cœur du récit (et du titre) arrive tardivement et n'est pas si exploité que ça. Au final, j'ai trouvé le niveau des personnages dans ce sport un peu exagéré. J'aurais aimé que ce soit introduit plus tôt pour qu'on pisse voir les personnages s'entraîner un minimum et progresser. Sinon, c'est une belle œuvre sur fond de révolte sociale, de nature sauvage et de sport !

Une belle découverte, Mécanique céleste est un joli petit OVNI, simple et très sympathique.

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On nous plonge dans un monde post-apocalyptique, où l’humanité survit en quelques bastions. Du moins, c’est ce que l’on suppose au début.

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Le plus surprenant est l’humour qui transparaît à chaque page. C’est drôle, frais, sans prise de tête. L’univers pourrait être sombre, mais les personnages sont étonnamment cyniques, plein d’ironie. Un peu maladroits, aussi. Et très touchants.

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Le tome se déroule sur cette partie, où tout va se jouer. C’est en réalité un morceau d’histoire qui se déroule sur ces quelques pages. Un morceau rapide et étonnant.

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Le dessin est très particulier, mais, comme le reste de l’œuvre, assez beau et très bien réalisé. En somme, un bouquin à lire pour rire et suivre un match haletant !

Si d'un côté j'ai beaucoup aimé le dessin et les personnages, j'ai eu du mal à saisir le propos de l’œuvre. L'histoire ne prend pas le lecteur par la main, il est donc assez difficile de se raccrocher à un fil et de trouver du sens.

BD très cool avec de belles illustrations et une palette de couleurs lumineuse.