Stephen R. Lawhead
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Note moyenne : 7.72/10Nombre d'évaluations : 217
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Les derniers commentaires sur ses livres
Un bon tome pour clôturer le cycle, agréable à lire.
Une série que je relirai un jour.
Afficher en entierQue sait-on de nos rêves ? Ont-ils une signification ? Que se passe-t-il quant on dort ? C'est ce que tente de découvrir le Dr Spencer lors de recherches sur la station spatiale Gotham qui est peuplée de scientifiques. Cobaye de ses propres expériences, il est loin de se douter qu'il va devoir affronter, au cours de son sommeil, qui se fait de plus difficile, une créature diabolique : le voleur de rêves. Anxieux et épuisé, le Dr Spencer tombe peu à peu dans le dépression, à la limite de la folie.
Un livre où se mêlent humains et extraterrestres et aux intrigues multiples et complexes, parfois difficile à suivre.
Afficher en entierRéticent à la base, il est tombé entre mes mains et je me suis dit "pourquoi pas" ; il y a quelques années j'avais déjà envisagé de m'y lancer mais avais été découragé par la recherche d'avis ; ça semblait très médiocre.
Du coup j'ai été plutôt agréablement surpris, au début : certes ça n'a vraiment rien d'exceptionnel, novateur ou même original, mais ça se lit agréablement et ce côté fantasy qui frôle l'Histoire, c'est sympa.
Mais ça, c'était avant.
Avant l'arrivée en Angleterre, et l'intervention inévitable (vu qu'on parle quand même de la légende arthurienne dans ce cycle) du christianisme.
Là, on quitte la fantasy pour rentrer dans le prosélytisme. le dieu des chrétiens n'est pas (plus) un dieu parmi d'autres, comme les dieux des Atlantes ou ceux des Celtes, mais c'est LE dieu, et bon sang on nous le fait comprendre. Et c'est pas juste le point de vue de Taliesin ou d'autres ; l'auteur semble parti pris pour mettre sa propre foi dans un message, qui est que les protagonistes, face à la révélation du dieu chrétien, voient enfin la vérité : toutes leurs religions était fausse, avant cela.
J'ai donc compris sur quel versant serait la saga ; pas sur l'approche neutre d'un cycle de fantasy vis à vis des dieux, avec des personnages certes défenseurs de leur foi, mais une co-existence des dieux, ou leur remise en question, de leurs motivations, etc. Comment on pourrait le voir avec diverses mythologies. Mais là non, on doit se taper du vocabulaire connu et habituel, à base de superlatifs et de démesure morale.
Ajouté çà ça, la fin Spoiler(cliquez pour révéler)est assez niaise et chiante, entre Charis et Taliesin, certes l'amour, tout ça... mais omg s'il vous plaît quoi.
Bref je ne lirai pas les suivants, celui-ci m'a déjà pris assez de temps et ça ne m'attire pas plus que ça, vu la place qu'a le christianisme déjà sur la fin, j'imagine pas ce que ça sera quand il sera question d'Arthur ou de Graal.
Afficher en entierDécidément cette série est vraiment longue. La seule raison pour laquelle je continue est que j’ai acheté les cinq tomes et que je veux les terminer. C’est dommage il y a des choses sans réponse, notament la peste jaune, j’aurai voulu avoir la suite (peut-être dans le prochain tome?).
Et il y a deux choses qui m’insupportent. Cette tendance à chaque page, quasiment chaque ligne à faire l’éloge de Jésu etc. Là c’est vraiment vraiment trop. On dirait que tout passe par ça, tout n’est que Miracles, tout se résoud par ça. Bref c’est imbuvable. Et ensuite, les « idées » de Merlin, le char et tout. C’est tellement « too much », n’importe quoi… lassant. J’aurai un barde/conseiller comme lui, je l’aurai viré depuis longtemps!
Et c’est loooooong, ça tire en longueurs… quel ennui.
Seule la bataille de fin est intéressante.
Allez, vivement le dernier tome. Dommage moi qui adore la légende arthurienne…
Afficher en entierC’est sûrement le meilleur livre des cinq, bien que je n’ai pas vraiment apprécié cette série. Sûrement car ce n’est pas Merlin mais un des chevaliers ! Merlin m’est insupportable. Cela fait du bien de changer!!
Trop de choses qui ne vont pas, énervantes, mal pensées. Je ne pourrai pas toutes citer mais par exemple, quand ils brûlent l’arbre et se font attaquer Merlin dit de faire un cercle autour en se tenant la main et de ne jamais lacher même si l’ennemi approche car c’est pour Dieu ou je ne sais plus quoi, au lieu de se défendre. Ca sort de… nul part ! Ou encore son refus d’explications quand quelque chose de bizarre se passe « taisez-vous, c’est Dieu qui a décidé, vous posez pas de questions! ». Décidément ce personnage m’aura insupporté jusqu’au bout ! Et puis, chaque page Dieu Dieu Dieu c’est usant.
Bref, le seul point positif ici c’est Gwalchavad qui est un bien meilleur narrateur ! Dommage que les deux tomes précédents sur Arthur n’aient pas été narrés par Arthur lui-même, cela aurait été certainement plus intéressant car je me suiq trouvée complètement détachée de lui. Ce personnage historique et légendaire du coup ne m’a fait ni chaud ni froid.
Cette série est enfin finie, compliquée à lire, et à mon goût trop bancale. Dommage.
Afficher en entierCe fut une lecture doudou pour moi, car j’ai été biberonnée aux vieux films de capes et d’épées dits historiques, et aux péplums. Ce livre a donc su faire virer ma corde sensible et nostalgique. Ce qui n’enlève rien à sa qualité. L’auteur transmet sa passion pour cette épopée : par sa riche documentation sur l’époque déjà – peut-être un petit manque d’un glossaire pour certains termes ou personnages historiques ; mais aussi pour ces descriptions pleines d’amour pour les contrées vertes et sauvages, envahies de brume et de soleil, du Pays de Galles. Tout cela ne fait que renforcer l’impression de réalité du récit.
Les personnages sont nuancés, à mi-chemin entre la réalité et la légende : on a volontiers envie de chercher les références avec ce que la culture populaire connait de Robin des Bois. J’ai souvent eu envie de baffer Bran, le protagoniste, pour être si borné mais cela signifie qu’il paraît réel, parce qu’il est imparfait, faillible, et bien écrit. Il a su me toucher. Tous les personnages ont leur intérêt. L’histoire s’articule autour des complots, des ambitions des uns et des autres, entre ceux qui ne cherchent qu’à survivre et ceux qui profitent d’un monde injuste pour accaparer les richesses. On est loin – heureusement – de la propagande américaine à peine cachée dans les vieux films datant de la Guerre Froide, mais il y a quand même un message prônant un idéal de la justice bien présent.
Le récit s’inscrit dans l’esprit des sagas et des chansons de geste, avec un brin de surnaturel suggéré, pour effacer la frontière entre la réalité et le merveilleux – ce qui était très courant dans la littérature médiévale. L’auteur nous plonge dans une époque culturellement riche d’échanges entre les Saxons, les Celtes et les Normands mais, attention, ne s’attache pas entièrement à la véracité historique. Ce n’est pas un documentaire, et je pardonne volontiers à l’auteur quelques clichés qui ont la vie dure en Histoire médiévale. J’ai très envie de découvrir la suite !
Afficher en entierLa poursuite de cette lecture doudou s’est déroulée sous de bons auspices pour moi. Will est un nouvel arrivant dans la bande de Rhi Bran, un archer aux origines saxonnes, qui apporte un nouveau point de vue intéressant. Chassé de ses terre, interdit d’exercer son métier de forestier, il intègre la bande de hors-la-loi et leur apporte un souffle d’espoir. Avec son arrivée coïncident le regain de témérité des brigands et les tourments apportés par un nouvel adversaire, en la personne du shérif. La situation du pays, les tensions entre nobles sont clarifiées, précisées, sous ce nouvel éclairage. Dans le tome 1, l’auteur s’était particulièrement intéressé aux Bretons. Ici, c’est au tour des Saxons.
Suivre Will fait du bien ! C’est un personnage plaisant, à la verve habile, qui a beaucoup d’humour et de lucidité à la fois sur lui-même et sur le monde qui l’entoure. Il ajoute une touche de légèreté à ce récit qui se veut réaliste et assez froid, sous certains aspects, car très attaché à la stricte représentation du monde médiéval. A prendre avec quelques pincettes néanmoins : on ne projette pas une lance (merci les infos d’Histoire Appliquée) x)
C’est une fantasy old school, assez épique, pleine d’idéaux de justice, avec toutefois une touche de réalisme dans le traitement des événements et des personnages. J’ai senti quelques longueurs en milieu d’ouvrage, mais cela ne m’a pas dérangée. Le récit prend son temps quand il le faut. Petite déception : le surnaturel est resté très discret. Et oh surprise ! Comme dans le tome 1, nous avons droit au récit d’une légende celte, qui permet d’illustrer l’histoire et de l’éclairer sous un nouveau jour. Bientôt le tome 3 ! J’y suivrai frère Tuck et, vu comment il a été présenté dans les tomes précédents, je sens que je vais apprécier bourlinguer aux côtés de ce joyeux luron !
Afficher en entierLa fin d'Atlantide, le début d'Avalon et des quêtes Arthuriennes, dans ce roman époustouflant et riche d'émotions, la preuve d'une rare qualité.
Afficher en entierJ’ai pris un peu de recul depuis la fin de ma lecture, mais il me reste encore ce sentiment d’inachevé. On retrouve dans ce tome les forces des deux premiers : un contexte historique précis mais pas trop détaillé pour ne pas perdre le lecteur, des personnages pleins de panache semblables à des héros de vieux films de capes et d’épées, une ambiance brumeuse dans les beaux paysages gallois… Mais certaines caractéristiques du récit me paraissent de plus en plus être des défauts. Je n’ai pas été autant emballée par ce dernier tome, parce que je me suis lassée avant la fin. Une fin d’ailleurs qui m’a frustrée. Soudain, je me suis souvenue pourquoi je n’avais pas dépassé le premier tome de la saga de cet auteur sur la Quête du Graal : exactement les mêmes raisons qu’ici. Cela dit, je suis contente d’avoir terminé l’histoire du Roi Corbeau. Une trilogie pour les amateurs d’Histoire et de légendes médiévales !
Tuck est présent dès le premier tome, et c’est un personnage très sympathique. Intelligent, plus rusé et sage qu’il n’en a l’air, il apporte également une touche d’espoir à cette bande de hors-la-loi, car il sait prendre du recul sur la situation grâce à sa foi. Au-delà du moine gourmand et plaisantin, il y a un conseiller avisé du Roi Corbeau. Si j’ai bien aimé ce focus sur son point de vue, j’ai malgré tout senti le récit s’enliser.
Le schéma de chaque tome est assez répétitif. Chaque tome possède la même structure. Vous me direz : c’est un peu vrai dans la plupart des romans. Sauf qu’ici, les coutures du récit se voient vraiment. Le récit devient prévisible et lassant, d’autant que les personnages, connus pour certains dès le tome 1, évoluent peu. Il n’y a que Bran, notre héros, qui franchit enfin l’étape finale de son évolution en devenant le roi qu’il doit être. Même ainsi, les personnages et les relations qu’ils entretiennent sont peu approfondis. L’auteur reste en surface, pour surtout relater la suite d’événements, mélange de batailles et de ruses, pour parvenir au final.
Un final qui m’a fait sourire, avec un retournement de situation comme on en voit dans les vieux films historiques de la gloire d’Hollywood, que je ne peux m’empêcher de considérer avec attendrissement malgré tout. On frôle le ridicule, c’est gentiment désuet, car c’est de plus présenté comme une reconstitution sérieuse d’événements passés – même si de manière romancée. Bref, la lecture a été pénible, ce qui n’enlève rien à la qualité du livre, et j’étais contente d’arriver à la fin dans tous les cas.
Afficher en entierUne saga trouvée je ne sais plus où. Un premier tome dans lequel j'ai eu une petite difficulté à m'y mettre mais pour au final me laisser embarquer dans cette belle interprétation de Robin des Bois. J'ai toujours du mal avec un changement de point de vue, mais cela va bien à l'histoire que de suivre différentes avancées. Une agréable surprise qu'était cette lecture.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Editeurs
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Points : 5 livres
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Biographie
Stephen R. Lawhead est un auteur de renommée internationale de l'histoire mythique et fiction. Ses œuvres comprennent Byzance, Patrick, et la série Le Cycle de Pendragon, Les Croisades celtiques, et Le Chant d'Albion.
Stephen est né en 1950, dans le Nebraska aux Etats-Unis. La plupart de sa vie au début ont été dépensés en Amérique où il a obtenu un diplôme universitaire en beaux-arts et a fréquenté le collège théologique de deux ans. Son premier écrit professionnel a été fait à la revue Life Campus à Chicago, où il était un écrivain éditeur et le personnel. Durant ses cinq années à vie sur le campus, il a écrit des centaines d'articles et de plusieurs organisations non-romanesques.
Après une brève incursion dans la musique d'affaires en tant que président de son propre record entreprise, il a commencé l'écriture freelance à temps plein en 198 ... plus
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