Jean Bruce
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.34/10Nombre d'évaluations : 29
0 Citations 25 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Cher Vous,
Pauvre Hubert Bonisseur de la Bath !
Le pauvre gars décide de s’octroyer un peu de bon temps à Tokyo, histoire de récupérer un peu... mais c’est sans compter un regard qui va le fourvoyer…
Pense donc, une histoire de chantage !
Lui, bon gus, accepte de filer un coup de main à l’antenne locale de la CIA, juste pour donner son avis. Sauf que quand il voit les yeux de la donzelle, il a comme un picotement dans le bas-ventre, le genre de truc qui fout un bonhomme en carafe… et le plonge dans la fosse à emmerdes.
Seconde réédition des aventures d’OSS 117 que je relis, et je dois t’avouer que c’est encore une fois avec grand plaisir.
Bien sûr, les pisses-vinaigre et autres mauvais coucheurs te diront que ce n’est que du roman de gare. Certes, c’est un fait, mais le roman de gare fait partie de la littérature, et c’en est même un des piliers fondateurs, alors pourquoi bouder son plaisir ?
Ça se lit rapidement, le temps d’un petit trajet en train hein, et cela te fait passer un bon moment.
Juste avant d’aller poser ton cul au ciné pour aller voir Jean Dujardin interpréter le héros de Jean Bruce, n’hésite pas à faire un retour aux sources…
Stanislas Petrosky http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/09/19/39140855.html
Afficher en entierC'est vieux jeu, sexiste un poil (et même plusieurs...). Quand les gros muscles se pavanaient devant les porte jarretelles...
Afficher en entierOn n’est bien loin de la parodie des films mettant en scène Jean Dujardin, même si le personnage de La Bath apparait bien sûr comme un gros macho provocateur. Néanmoins, l’intrigue est très sympa à lire et le roman plutôt bon. A lire pour (re)découvrir les véritables aventures d’OSS 117 !
Afficher en entierCertains d’entre vous ont surement vus la série des OSS 117 au cinéma, avec Jean Dujardin dans le rôle d’Hubert Bonisseur de la Bath, cet espion à l’esprit « franchouillard », inaltérable dans ses convictions, soucieux de son allure, égoïste mais qui tient aussi quelques propos machistes et xénophobes. Pourtant, l’OSS 177 de Jean Bruce n’est pas vraiment celui-ci, agent américain tout d’abord, il est éloigné des clichés donnés par les films. Une fois dépassés, difficilement, les images de ce personnage cinématographique, on entre dans le roman d’espionnage proprement dit, même si l’aventure semble assez rocambolesque et les personnages hauts en couleurs. Un livre décompressant.
L’ambassadeur de Chine en Birmanie est en possession d’un document ultra secret que la CIA convoite. Hors, celui-ci est enfermé dans un coffre pratiquement inviolable dans une résidence sécurisée. La mission d’OSS 117 est de photographier ce dossier sans que les Chinois s’en aperçoivent. Pour cette opération, il est accompagné du meilleur braqueur de coffres des USA, actuellement en prison, mais aussi le plus fourbe. Heureusement qu’Hubert Bonisseur de la Bath sait se maîtriser même devant la plus belle des femmes.
C’est donc un très bon « livre de gare » comme on pourrait le désigner. Ecriture très agréable, de l’action, des scènes sensuelles… tous les clichés qui rendent le récit addictif et plaisant et qui finalement vous entraînent à acheter un autre tome pour une lecture entre deux livres plus éprouvants. Pour la petite histoire, Jean Bruce crée son héro en 1949, Ian Fleming n’invente James Bond qu’en 1953. On s’amuse et c’est aussi très important.
Afficher en entierL'action se passe à Buenos Aires. Un réseau d'anciens nazis refugiés en Argentine essaye d'éliminer celui de la CIA. Pourquoi? mystère…..
Se lit facilement et permet de passer un bon moment.
Par contre on ne comprend pas les tenants et aboutissants de cette histoire….
Afficher en entierPas le meilleur de la série. Un peu poussif et souvent prévisible. Heureusement, le tout est servi par un peu d’action et de dialogues bien frappés.
Afficher en entierSeconde aventure du célèbre OSS 117 que je lis. Un très court roman, rapidement achevé mais qui reste très plaisant. Jean Bruce met toujours beaucoup d’humour dans son texte et on se plait facilement à mettre le visage de Jean Dujardin sur le personnage d’Hubert Bonisseur de la Bath. Toujours très sûr de lui, séducteur et plein de ressources, le héros ne déçoit pas et se sort des situations les plus critiques. Que demande le peuple !
Les Anglais ont découvert un système pouvant cacher aux radars les engins militaires. Autant dire, qu’en pleine guerre froide, tout le petit monde de l’espionnage s’intéresse à cette nouvelle technologie. Hubert Bonisseur de la Bath doit retrouver sa « tante » Mary MacBean, en possession de microphotographies de ce secret.
Je ne sais pas si je lirai les 80 épisodes d’OSS 117 mais pour le moment, l’aventure reste plaisante. C’est le hasard des brocantes qui me feront découvrir d’autres tomes de ce héros que Michel Hazavanicius a mis sur grand écran.
Afficher en entierUne petite enquête bien sympathique avec notre héros Hubert Bonisseur de la Bath.
On part direction Tokyo et ses quartiers pour se retrouver au final avec des espions !
J'ai bien aimé l'humour de l'auteur au milieu de cette enquête.
Afficher en entierJe pense que ça a clairement mal vieilli. L'image de la femme dans ces ouvrages est vraiment dépassée.
Afficher en entierUne aventure un peu confuse avec une intrigue assez embrouillée, mais qui se lit sans trop de difficultés. Un roman de gare, en somme.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jean Bruce
et autres évènements
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Editeurs
Presses de la Cité : 322 livres
Fleuve Noir : 75 livres
Michel Lafon : 14 livres
Pocket : 10 livres
Archipoche : 4 livres
G. P. : 1 livre
Arédit : 1 livre
Biographie
Fils d'un hotelier de la Sarthe, Jean BRUCE nait le 22 mars 1921 à PARIS. A 18 ans, brevet de pilote en poche, il combat dans l'aviation civile et est abattu au dessus des lignes Allemandes. Il réussit à regagner la zone libre et s'incrit à la
Faculté de Droit de CLERMONT-FERRAND. Il abandonne bientôt les études pour rejoindre la Résistance. A la Libération il entre à l'Ecole
Supérieure de Police. Au terme de cet enseignement, il est nommé Inspecteur à la répression des trafics financiers. C'est à l'occasion de ses nombreux voyages professionnels qu'il rencontrera Josette, une jeune Polonaise, qui deviendra sa femme. Il démissionne de la police et devient tour à tour: gérant d'une firme d'import-export, joaillier, membre d'une troupe de théatre, secrétaire d'un Maharadjah, promoteur d'une marque de moutarde et fonde une agence de contre-espionnage industriel...
Ruiné, il lit par hasard un livre de Peter CHENEY. Apprenant que celui-ci gagne une fortune, Jean BRUCE s'installe devant sa machine à écrire et signe en trois semaines "Tu parles d'une ingénue" où sont déjà relatées les aventures de Hubert BONISSEUR de la BATH, plus connu sous le nom d' O.S.S 117. Refusé par les grandes maisons d'éditions son roman est accepté par les toutes jeunes "Editions du Fleuve Noir" et deviendra le numéro 1 de la collection "Spécial-Police". Après dix titres dans cette collection et dix-huit dans la collection
"Espionnage" Jean BRUCE quitte le "Fleuve" et passe aux Presses de la Cité. En 1963 il trouve la mort au volant de sa Jaguar immatriculée 117... Il aura signé 88 titres avec une cadence moyenne d'un titre par mois !
Josette BRUCE reprend la série de 1966 à 1985, elle décède en 1996. En 1987, ses enfants François et Martine, continuent l'oeuvre de leurs parents.
Source : http://www.inspecteurmatis.com/sp/Bi-BRUCE.htm
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