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À partir de 1997, il est cité dans les affaires Elf et des frégates de Taïwan, pour ce qui devient l'affaire Elf, autour du rôle d'intermédiaire joué par sa maîtresse Christine Deviers-Joncour. Il décide de suspendre l'exercice de ses fonctions le 24 mars 1999, puis est contraint à la démission du Conseil constitutionnel le 1er mars 2000. Il accède toutefois à l'honorariat en 2002.
Condamné en première instance à six mois de prison ferme et deux ans avec sursis, il obtient la relaxe en appel en janvier 2003 et est reconnu innocent de l'ensemble des chefs d'accusation qui l'avaient amené devant la justice.
Également poursuivi pour complicité d'abus de confiance, dans le cadre de la succession du sculpteur Alberto Giacometti dont il est l'exécuteur testamentaire, Roland Dumas a été condamné, de manière définitive, à douze mois d'emprisonnement avec sursis et 150 000 euros d'amende par le rejet de son pourvoi par la Cour de cassation le 10 mai 2007.
Roland Dumas est l'un des premiers soutiens de Dieudonné en 2006. Il se laisse photographier avec Bruno Gollnisch, Jany Le Pen, et Alain Soral, et signe une lettre de recommandation pour l'entrée au barreau de Louis Aliot
En décembre 2010, il agite le monde médiatique et politique en se rendant quelques jours en Côte d'Ivoire avec son confrère Jacques Vergès pour défendre les positions du président sortant Laurent Gbagbo, qui conteste la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle, reconnue par la commission électorale indépendante et la quasi-totalité de la communauté internationale. Selon Libération, Dumas aurait été convaincu de s'y rendre par Marcel Ceccaldi, conseiller de plusieurs chefs d’État africains, conseiller juridique du FN et ancien proche de Jean-Marie Le Pen. La même année, il déclare à Hicham Hamza, d'Oumma.com, ne pas croire « à ce qui a été raconté » au sujet des attentats du 11 septembre 2001.
Il déclare sa croyance dans un complotisme sur Radio Courtoisie le 23 septembre 2013, avançant que les guerres au Moyen-Orient et la destruction de la Syrie seraient un moyen de favoriser l'émancipation d'Israël dans la région.
Le 12 juin 2015, le parquet de Nîmes le renvoie en correctionnelle pour « recel de détournements de fonds publics ». L’affaire porte sur une étude sur la vidéosurveillance et un système de lecture automatique de plaques d’immatriculation. La justice soupçonne que cette étude sur la vidéosurveillance, qui avait été commandée à Roland Dumas par Gilbert Baumet lorsqu’il était maire de Pont-Saint-Esprit (Gard), ait en réalité servi à payer une partie des honoraires d’avocat de Roland Dumas dans une autre affaire où il conseillait Gilbert Baumet.
Interrogé le 16 février 2015 sur BFM TV et RMC, lorsque Jean-Jacques Bourdin lui demande à propos de Manuel Valls, alors Premier ministre, « Il est sous influence juive ? », Roland Dumas répond « Probablement, je peux le penser, tout le monde a un peu d'influence. On en a d'abord beaucoup sous l'influence de sa femme », visant Anne Gravoin. Ces propos sont par la suite critiqués et qualifiés d'antisémites par certaines personnalités politiques et médiatiques, notamment par des responsables du Parti socialiste dont il est issu. Il réitère ses accusations et refuse de retirer ses propos lors d'un entretien accordé à France 24.
Roland Dumas est aussi un défenseur de la cause palestinienne.
Biographie
3EME PARTIE
Affaires judiciaires et polémiques médiatiques
À partir de 1997, il est cité dans les affaires Elf et des frégates de Taïwan, pour ce qui devient l'affaire Elf, autour du rôle d'intermédiaire joué par sa maîtresse Christine Deviers-Joncour. Il décide de suspendre l'exercice de ses fonctions le 24 mars 1999, puis est contraint à la démission du Conseil constitutionnel le 1er mars 2000. Il accède toutefois à l'honorariat en 2002.
Condamné en première instance à six mois de prison ferme et deux ans avec sursis, il obtient la relaxe en appel en janvier 2003 et est reconnu innocent de l'ensemble des chefs d'accusation qui l'avaient amené devant la justice.
Également poursuivi pour complicité d'abus de confiance, dans le cadre de la succession du sculpteur Alberto Giacometti dont il est l'exécuteur testamentaire, Roland Dumas a été condamné, de manière définitive, à douze mois d'emprisonnement avec sursis et 150 000 euros d'amende par le rejet de son pourvoi par la Cour de cassation le 10 mai 2007.
Roland Dumas est l'un des premiers soutiens de Dieudonné en 2006. Il se laisse photographier avec Bruno Gollnisch, Jany Le Pen, et Alain Soral, et signe une lettre de recommandation pour l'entrée au barreau de Louis Aliot
En décembre 2010, il agite le monde médiatique et politique en se rendant quelques jours en Côte d'Ivoire avec son confrère Jacques Vergès pour défendre les positions du président sortant Laurent Gbagbo, qui conteste la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle, reconnue par la commission électorale indépendante et la quasi-totalité de la communauté internationale. Selon Libération, Dumas aurait été convaincu de s'y rendre par Marcel Ceccaldi, conseiller de plusieurs chefs d’État africains, conseiller juridique du FN et ancien proche de Jean-Marie Le Pen. La même année, il déclare à Hicham Hamza, d'Oumma.com, ne pas croire « à ce qui a été raconté » au sujet des attentats du 11 septembre 2001.
Il déclare sa croyance dans un complotisme sur Radio Courtoisie le 23 septembre 2013, avançant que les guerres au Moyen-Orient et la destruction de la Syrie seraient un moyen de favoriser l'émancipation d'Israël dans la région.
Le 12 juin 2015, le parquet de Nîmes le renvoie en correctionnelle pour « recel de détournements de fonds publics ». L’affaire porte sur une étude sur la vidéosurveillance et un système de lecture automatique de plaques d’immatriculation. La justice soupçonne que cette étude sur la vidéosurveillance, qui avait été commandée à Roland Dumas par Gilbert Baumet lorsqu’il était maire de Pont-Saint-Esprit (Gard), ait en réalité servi à payer une partie des honoraires d’avocat de Roland Dumas dans une autre affaire où il conseillait Gilbert Baumet.
Interrogé le 16 février 2015 sur BFM TV et RMC, lorsque Jean-Jacques Bourdin lui demande à propos de Manuel Valls, alors Premier ministre, « Il est sous influence juive ? », Roland Dumas répond « Probablement, je peux le penser, tout le monde a un peu d'influence. On en a d'abord beaucoup sous l'influence de sa femme », visant Anne Gravoin. Ces propos sont par la suite critiqués et qualifiés d'antisémites par certaines personnalités politiques et médiatiques, notamment par des responsables du Parti socialiste dont il est issu. Il réitère ses accusations et refuse de retirer ses propos lors d'un entretien accordé à France 24.
Roland Dumas est aussi un défenseur de la cause palestinienne.
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