Alfred De Musset
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Note moyenne : 6.86/10Nombre d'évaluations : 1 358
8 Citations 656 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Pour apprécier cette pièce de théâtre il m'aurait sans aucun doute fallu un cours m'expliquant les tenants et les aboutissants de celle-ci.
J'ai tout de même compris que Lorenzo semble être un être fourbe ayant une double personnalité afin de mieux tromper son monde. S'ajoutent à cela des secrets d'alcôve plus ou moins secrets d'ailleurs ! Des désirs de vengeance exacerbés qui mènent à une vendetta de laquelle il semble impossible de s'échapper.
Je n'ai pas adhéré à cette histoire.
Afficher en entierBien qu'amateur des textes de grands auteurs...j'ignorais que Musset ait écrit un livre érotique , un livre érotique agréable à lire car fort bien écrit par la plume de Musset, pas de vulgarité mais des descriptions pertinentes d'actes sexuels extrêmes et débridés, pour lecteurs avertis .
Afficher en entierJe n'ai pris aucun plaisir durant cette lecture...
Le style et l'écriture y sont sûrement pour beaucoup, mais sans contexte et explications, il m'a été très difficile de comprendre et de m'y retrouver.
Les personnages sont nombreux et les intrigues complexes
Je n'ai pas apprécié :/
Afficher en entierLorenzaccio d'Alfred de Musset est une œuvre théâtrale emblématique du théâtre romantique français. À travers le personnage complexe de Lorenzo, Musset explore les thèmes de la trahison, de la politique corrompue et de la quête de vérité dans une Florence décadente du XVIe siècle. La pièce offre une réflexion profonde sur la nature humaine, la morale et le pouvoir, tout en présentant des personnages tragiques et passionnés. Avec son mélange d'intrigue politique, de passion amoureuse et de lutte intérieure, Lorenzaccio demeure une œuvre captivante et intemporelle, invitant le public à une exploration des tourments de l'âme humaine.
Afficher en entierUn super roman sur le romantisme selon M. de Musset. Cela se lit assez aisément, une histoire d'amour au 19e siècle.
Afficher en entierC’est une nouvelle que j’ai découverte par hasard et qui, je ne vais pas faire de suspens, m’a laissé sur ma faim…
Commençons néanmoins par les points positifs ! J’ai beaucoup aimé la plume de Musset, qui reste très agréable à lire, très fluide et facile à lire si les classiques peuvent vous effrayer. Le personnage principal à savoir Valentin est un jeune homme plutôt sympathique, parfois drôle dans sa façon d’être. On va donc suivre de dandy qui se retrouve avec deux maîtresses qui se ressemblent et se retrouve déchiré entre toutes les deux. On y retrouve quelques éléments de la vie de Musset et je trouve cela toujours intéressant.
Je m’attendais à une autre fin, quelque chose de plus “marquant” en quelque sorte, un traitement réel de cette histoire qui avait de très bons ingrédients. Mais je m’attendais à une autre chute, une vraie chute. Finalement, du début à la fin, j’ai trouvé Valentin peut-être trop constant, ce qui peut donner l’illusion de ne pas franchement avancer dans l’intrigue principale. “Les deux maîtresses ”, c’est l’histoire d’un jeune homme choyé par une mère, par la vie, qui ne sait tout simplement pas décider. Deux femmes qui se ressemblent, dont la seule différence est finalement le statut social. Deux femmes permettant de dépeindre deux milieux sociaux différents, des valeurs et des comportements… C’est elles qui finalement sont les grandes perdantes de cette histoire, jouets d’un enfant gâté.
Pour moi, il me manque quelque chose. J’ai la sensation qu’il ne s’agit en quelque sorte que d’une première partie, car j’ai fini le roman en me disant “tout cela pour ça…”.
Afficher en entierJ'adore les caprices de Marianne, ce livre est un classique que j'ai lu et relu et que je relirais encore et encore.
Afficher en entierUne histoire magnifique. Musset a une écriture d'une justesse et d'une finesse exemplaire.
Afficher en entierPièce de théâtre en trois actes écrite par Alfred de Musset en 1834, cette oeuvre est souvent considérée comme l'une des plus remarquables. Elle mêle éléments de comédie, de drame romantique et de tragédie, explorant les thèmes de l'amour, de la trahison et de la désillusion.
Au cœur de l'histoire, nous trouvons Camille et Perdican, deux jeunes gens qui s'aiment depuis l'enfance mais qui, par orgueil et par jeu, refusent de reconnaître leurs véritables sentiments, ce qui entraîne malentendus et tragédies. Musset utilise leur relation pour critiquer la société de son temps, en particulier les conventions sociales qui entravent la sincérité des sentiments.
Le titre lui-même, "On ne badine pas avec l'amour", résume parfaitement le message de la pièce : les jeux de l'amour peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Musset, avec une écriture poétique et incisive, illustre la fragilité des cœurs humains et la facilité avec laquelle ils peuvent être brisés lorsque les sentiments sont manipulés ou traités avec légèreté.
Les personnages secondaires, comme le curé Bridaine et Rosette, enrichissent la narration en offrant des perspectives différentes sur l'amour et en contribuant à l'évolution de l'intrigue.
Afficher en entierJ'ai joué cette pièce, et j'en garde un très beau souvenir. L'histoire m'a touchée, et c'est avec celle-ci que j'ai découvert la plume d'Alfred de Musset.
Afficher en entierOn parle de Alfred De Musset ici :
2020-08-26T19:15:06+02:00
2016-04-22T17:14:26+02:00
2016-03-08T20:09:49+01:00
2014-10-14T21:34:16+02:00
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Dédicaces de Alfred De Musset
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Editeurs
Gallimard : 16 livres
Larousse : 12 livres
Flammarion : 8 livres
Hachette : 8 livres
Pocket : 7 livres
LGF - Le Livre de Poche : 6 livres
Bordas : 5 livres
Nathan : 3 livres
Biographie
Né à Paris en décembre 1810, Alfred de Musset entre au Lycée Henri IV à neuf ans, et vit une adolescence de dandy dissipé. Il obtient le premier prix de dissertation française au concours général et se passionne pour le théâtre (1827). Reçu au baccalauréat (1828) il fréquente le cénacle chez Victor Hugo et chez Nodier. Précoce et brillant, il publie à l’âge de dix-neuf ans Contes d’Espagne et d’Italie, son premier recueil poétique, et remporte un succès immédiat. Blessé par l’échec retentissant de sa pièce La Nuit Vénitienne (1830), il prend ses distances avec la scène. Il perd son père en 1832, victime de l’épidémie de choléra et en 1833, entame une liaison amoureuse avec Georges Sand. Il part la même année pour l’Italie. Sa liaison tumultueuse avec Georges Sand s’envenime en raison de l’aventure de celle-ci avec M. Pagello, le docteur qui soigne Musset à Venise. Il met fin à leur liaison, blessé par cet échec sentimental. En 1838, il est nommé bibliothécaire au Ministère de l’Intérieur, ce qui lui permet d’avoir une vie décente. Alors qu’il n’a pas encore trente ans, il arrête progressivement d’écrire, comme s’il avait déjà dit « tout ce qu’il avait à dire ». Sa santé se détériore et son état dépressif s’accentue. En 1845, il reçoit la Légion d’honneur, en même temps que Balzac. Lorsque paraît à la Comédie Française Un Caprice, le public découvre émerveillé un grand auteur dramatique (1847). C’est le début de sa notoriété d’auteur dramaturge. En 1848, il perd son emploi de bibliothécaire mais est élu à l’Académie Française en 1852. Le 2 mai 1857, il meurt à Paris à l’âge de quarante-sept ans. Il n’est conduit au Père Lachaise que par une trentaine de personnes, puis est enterré, selon son vœu, à l’ombre d’un saule.
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