John Burnside
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Note moyenne : 5.1/10Nombre d'évaluations : 10
0 Citations 10 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai eu bien du mal à me motiver pour continuer la lecture de Scintillation. Résultat, je ne l'ai même pas terminé... Pour ma part, je pense que l'univers très noir (pas un éclair de lumière...) m'a déconcertée. Les longues descriptions restent parfois ennuyeuses. Cette lecture ne m'a pas emballée.
Afficher en entierAlors pour ce livre j'ai eu beaucoup de mal à me situé pas facile du tout bilan mitigé ...
Dommage ..
Marquise66
Afficher en entierTrès agréable à lire et on se prend d'affection sur le jeune Leonard qui est un amoureux des livres mais aussi de la vie, de ses deux copines, Elspeth et Eddie. Cinq jeunes enfants disparaissent dans un bois près d'une usine désaffectée et ce qui pourrait n'être qu'un thriller débouche sur autre chose de plus irréel. La fin est étrange mais sinon c'est très réaliste.
Afficher en entierUn livre qui fait froid dans le dos, un côté Frankenstein glaçant et une écriture d'une froideur mortelle. Comme si rien de ce qui se passait dans ce livre n'était grave ou atroce. Burnside réinvente le roman gothique et nous prouve que sans langage intelligible, l'homme est pire qu'un animal.
Afficher en entierUn livre magnifique. Une grande finesse dans l'exploration des sensations d'une jeune fille.
https://viduite.wordpress.com/2016/11/25/lete-des-noyes-john-burnside
Afficher en entierScintillation est un roman lumineux. John Burnside décrit une fable, purement allégorique, sur la disparition, le passage de la mort mais aussi la désolation écologique de nos sociétés aveugles. Un magnifique roman empreint d'une spiritualité athée et ambivalente.
https://viduite.wordpress.com/2017/03/27/scintillation-john-burnside
Afficher en entierLiv vit seule avec sa mère, peintre retirée du monde, dans une île au nord de la Norvège. Elle a pour ami Kyrre Opdahl, un vieil homme qui lui raconte depuis son enfance les contes et légendes du pays, ceux des trolls, des sirènes et de la huldra cachant sa sinistre personnalité sous les traits d’une merveilleuse jeune fille attirant les hommes.
Quand les frères Sigfridsson disparaissent dans la mer, rejetés par les flots, loin de la barque volée, Liv ne peut s’empêcher de penser que Maia, cette fille sombre qui les accompagnait, est peut-être la huldra. D’autres disparitions auront lieu durant cet été blanc et lumineux, toutes aussi inquiétantes. Et Maia sera toujours là.
Liv, en cet été à la clarté impitoyable qui rend les esprits sensibles au surnaturel, ne sait pas quel sera son avenir. L’adolescence se termine, il lui faut réfléchir à ce qu’elle fera plus tard. Incapable de quitter son île, sa mère perdue dans sa peinture, les mythes qui prennent racines dans les paysages et qui la maintiennent sous leur emprise, Liv ne comprend pas tout et restera avec les secrets des disparitions de cet été, incapable d’en parler car on la prendrait pour une folle.
“C’était il y a dix étés. Celui de mes dix-huit ans ; l’été où mon père mort apparut puis disparut dans le silence d’où il était sorti ; l’été des esprits et des secrets ; le dernier été où je me considérai comme un des espions de Dieu. Un été long, blanc, d’histoires que l’on accepta tous, tout en sachant que d’un bout à l’autre elles n’étaient que mensonges. L’été où la huldra sortit de sa cache et noya trois hommes, l’un après l’autre, dans les eaux froides et lisses du détroit de Malangen.”
Afficher en entierOn navigue ici entre fantastique, policier et tranche de vie. Ce roman d'une poésie remarquable est vraiment une belle découverte !
Afficher en entierUn excellent roman sorti à l'occasion de la rentrée littéraire.
On suit la vie de Kate, complètement perdue depuis la mort de son père. Envoyée par Laurits, son colocataire/petit ami/ami, elle va faire la rencontre de Jean : une vieille femme qui coupe du bois dans son jardin.
Les deux femmes vont continuer à se voir, parfois tous les jours, parfois une fois par semaine. Kate se sent apaisée par sa présence et par ses récits. Elle qui est si perdue et si désorientée, se retrouve à écoutée la vie difficile et compliquée de Jean et de sa famille.
Ce livre avait un effet très apaisant. Quand je me plongeais dedans, j'étais immédiatement passionnée par les secrets de Jean, de son calme et de son naturel. L'amitié qui lie les deux femmes est extraordinaire et pure, c'est ce que j'ai le plus apprécié.
Un très très bon roman, très bien écrit et rythmé.
Afficher en entierOn parle de John Burnside ici :
2011-10-10T23:43:32+02:00
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Biographie
John Burnside est un écrivain écossais né à Dunfermline le 19 mars 1955.
Burnside a étudié l'anglais et les langues européennes à l'université d'Anglia Ruskin. Après avoir travaillé en tant que programmeur de logiciels informatique, il s'est entièrement consacré à l'écriture à partir de 1996. Il est membre honoraire de l'Université de Dundee et Reader en Écriture créative à l'Université de St Andrews.
Son premier recueil de poème, The Hoop (le cerceau), publié en 1988, a été récompensé par le Scottish Arts Council. Ses autres recueils comprennent Common Knowledge (1991), Feast Days (1992), qui a reçu le Geoffrey Faber Memorial Prize, et The Asylum Dance (2000), lauréat du Prix Whitbread et sélectionné pour le Prix T.S. Eliot.
John Burnside écrit également des nouvelles - recueil Burning Elvis (2000) - et a également vu plusieurs de ses romans être publiés, entre autres The Dumb House (1997), The Mercy Boys (1999, lauréat du Encore Award), et The Locust Room (2001). Il tient également, de manière occasionnelle, une chronique du quotidien The Guardian.
Son œuvre est encore peu traduite en français. Un premier recueil de poèmes (Chasse nocturne) paraitra en mai 2009 aux éditions Meet (Saint-Nazaire) dans une collection bilingue.
Wikipédia.fr
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