Gorō Taniguchi

Je pensais qu'on aurait un univers plus similaire avec Code Geass : Lelouch of Rebellion, mais c'est peut-être aussi parce que j'avais lu seulement le premier tome. On reconnaît le type de dessin et on nous parle de Britania, mais sinon pas grand-chose à voir avec ce que j'avais lu. L'histoire est intéressante, les personnages attachants, c'est un bon manga.

Je trouve que c'est original de voir ce qui se serrait passé si Nunally était l'héroine.

C'est un bon manga.

une bonne bataille, des révélations, du suspense tout ça servi par un graphisme superbe.... que demande le peuple ?

Un bon deuxième tome. On découvre la vraie nature de la malédiction antérieure liée à Renya, il n'a pas de chance. J'adore Code Geass!

Commençons par les généralités :

Chibi Geass c'est :

- Un petit extra de Code Geass à ne conseiller qu'aux Fans (avec un grand F) de la série.

- Un recueil d'histoire courtes bourrées de références à Code Geass qui ne seront susceptibles de faire sourire que les initiés. De l'amour de la pizza de C.C au fameux monsieur Orange de Jeremiah. Si un jour vous avez pensé que Zero avait la classe, et bien oublié ça. Comme tous les autres, Zero en prend pour son grade.

Tous les personnages sont tournés en dérision dans le seul but de nous faire rire. Et parfois, ça marche et là, j'en arrive à mon avis personnel concernant ce titre :

Fan inconditionnelle de CG, je ne regrette pas de le voir dans ma bibliothèque pourtant s'il faut être objective, il faut avouer que Chibi Geass est loin d'être indispensable. Premièrement, le style même humoristique impose une lecteur lente sous peine d'overdose.

Puis, j'avoue n'avoir pas beaucoup rit en lisant ce manga, les gags sont souvent trop gros, les réactions trop souvent exagérées.

En revanche, j'ai tout simplement adoré toutes les petits clin d'oeil à l'univers de Code Geass. Parfois très bien cachées, et c'est ce qui les rend encore plus jouissives, toutes ces références nous révèlent quand même le respect et même l'admiration de l'auteur pour la licence.

Parfois avoir vu les animes ne suffit pas, il faut vraiment s'être intéresser à l'univers pour les déceler et finalement, c'est ce que j'ai le plus aimer en lisant ce manga.

Pour finir, je tiens à rassurer concernant la traduction française. Les gags ne sont pas tout simplement traduits mot-a-mot sans qu'on ne puisse saisir les références, au contraire, les traducteurs ont pris soin de nous. Les expressions japonaises ont trouvé des équivalents dans la langue de Molière et le résultat donne une lecture fluide.

On suit l'histoire original avec quelques changements pour que le personnages (ici Nunnally) soit le personnage principal.

J'aime bien les idées que l'on trouve dans ce tome, sauf peut-être la sorte de "fantôme" autour de Nunnally : cela ne permet pas d'évoluer assez. Nunnally reste toujours en retrait.

J'apprécie particulièrement ce tome : Suzaku à un rôle prédominant.

Par contre, en général, j'avoue préférer l'original. J'aime beaucoup Nunnally, mais elle n'a pas le charisme de Lelouch (ou même Suzaku, c'est pour dire) et la suivre dans des aventures où elle est qu'à moitié le personnage principal est assez peu captivant.

Un bon tome, mais sans plus. Beaucoup de répétition dans l'histoire elle-même et on avance pas beaucoup.

Ce tome me laisse septique. Les nouvelles idées que l'on trouve ne sont pas mauvaises, mais elles ne sont pas assez développé ou alors dans le mauvais sens.

Malgré tous les différences, on trouve une fin assez semblable à l'originale. Je ne sais pas si c'est un bien ou un mal.