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Marie Minelli

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Biographie

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Note moyenne : 5.83/10
Nombre d'évaluations : 23

0 Citations 11 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Marie Minelli

Sortie Poche France/Français : 2014-09-25

Les derniers commentaires sur ses livres

Sexe, mensonge et banlieues chaudes

L’histoire débute fort avec un prologue détonnant qui a tout de suite piqué ma curiosité, mais qui m’a mis d’entrée de jeu dans l’ambiance, car il m’a fait rire. Ça annonce la couleur ! Dès lors, le ton était donné et ma lecture lancée ! Sara petite fille à papa pourrie gâtée s’ennuie ferme dans sa petite vie de mondaine d’autant plus qu’elle a écopé d’un fiancé fils à papa également (bah oui on évite l’embarras de faire un mariage de mauvaise fortune tel est la coutume entre gens aisés de la bonne société) avec un nom à coucher par terre (Amaury de Saint Sauveur, c’est pompeux un ?), mais qui comble de malchance ne parvient pas du tout à la faire grimper aux rideaux. En même temps, comment avoir un orgasme avec un type qui lorsqu’il monte au septième ciel crie dans vos oreilles : « Vive la France ! » ? No way !

La vie de Sara n’est qu’une succession de brunch, d’évènements mondains, de fêtes, de soirées VIP, de frotti-frotta avec la jet-set, de soirées de bienfaisances, sans dire qu’elle travaille pour la fondation de sa belle-mère surnommée HSS (Hombeline de Saint Sauveur) une mégère pince sans rire, l’archétype de la bonne femme friquée au faîte des bonnes manières, capable de vous plomber une journée avec ses discours cérémonieux. Bref, coincée entre le fils, la belle-mère qui lui vrille les nerfs, le beau-père qui soit dit en passant ne vaut pas mieux, autant dire que la vie de Sara n’a rien d’exaltant. L’aventure ne fait définitivement pas partie de son quotidien autant d’un point de vue social que culturel. Pourtant, au-delà de sa bonne fortune sur laquelle elle ne crache pas (loin de là, elle y va à la dépense), Sara n’est pas seulement une petite fille à papa comme toutes ses copines (d’ailleurs certes en publique les "pleins aux as" font les coincés, mais on découvre qu’en privé il y a beaucoup de dépravés), elle est pétillante, drôle, révoltée, pleine de vie et d’humour. Elle n’a pas sa langue dans sa poche, sait faire semblant, mais ne se fait pas d’illusion sur la réalité du monde auquel elle appartient. Inévitablement, elle se sent oppressée, comme prisonnière d’une existence qui n’est pas la sienne. La pauvre ne supporte plus son American Express, ses 250 mètres carrés à Neuilly, ses vacances à Saint Barth… c’est vrai que ça doit être dur lol. Sur ce point, elle m’a fait penser à Rose. Vous vous dites Rose, qui ? Bah Rose dans le film « Titanic », le plus loooovvve de tous les temps parce qu’on sent la même envie de se défaire de son monde, le même besoin de liberté. Elle n’a qu’une envie : déployer ses ailes et s’envoler ! Sur ce coup-là, j’ai eu la chanson de Maitre Gims en tête Zombie : « tu n’es que l’ombre de toi-même, ta raison se déchire, tu défies tes désirs, laisse-toi tomber, retire ces chaînes qui te freinent, qui te freinent… ». Sara est décidée à retrouver sa liberté, mais lorsqu’elle est sur le point de se faire passer la bague au doigt le chemin parait encore sinueux.

Sara va à ce moment-là vraiment prendre conscience de ce qui l’attend et ne va pas ménager son petit monde. Autant son fiancé qu’elle n’hésite pas à bousculer que sa mère. C’est ainsi que sur un coup de tête, elle postule de manière anonyme pour un poste de journaliste pour France Télévisions sans savoir qu’elle va faire connaissance avec des banlieusards. Le changement, c’est maintenant, et pour Sara il est déjà en train de s’amorcer. Djalil, un collègue, mais surtout sublime rebeu ne manquera de lui faire prendre le virage qu’elle attend à notre plus grand plaisir. Il va lui faire tourner la tête, mais surtout faire vibrer ensemble le cœur et le corps.

J’ai beaucoup rit, tellement rit qu’au sortir de ma lecture j’avais la banane. Je crois que c’est la première fois qu’un roman parvient autant à me faire rire alors je tire mon chapeau à Marie Minelli pour son humour piquant parfois incisif, mais toujours très juste, ses jeux de mots brillants et ses allusions toujours bourrées d’humour. Parce que Marie Minelli n’y va pas de main morte pour décrire le microcosme parisien, le petit monde de privilégiés qui habitent Auteuil, Neuilly, Passy… Le genre de personnes pour lesquelles Amex black, Porche, Vuitton, Burberry, Chanel, Yves Saint Laurent, Ladurée… Monaco, Saint Barth, Courch’,, New York... n’ont aucun secret. Des personnes qui surtout évoluent dans un monde où tout n’est qu’apparence et non-dit/profits et soirées de bienfaisance, où la vérité c’est que c’est celui qui baisera l’autre le premier qui aura les plus beaux atours.

Nul doute, je vais vous dire : ce roman claque sa mémé. Pourquoi ? Eh bien cela tient à trois points essentiels : la lecture est fluide, d’un humour savamment dosé et orchestré, mais surtout l’histoire est originale, inédite même dans le sens où c’est du jamais « lu ». Je veux dire, la plupart du temps quand on ouvre un roman, on se dit : « ah ça c’est un Twilight revisité, un Fifty Shades of Grey sauce Disney… il y a encore des tas d’exemples, mais là en fouillant dans ma mémoire, je n’ai aucune référence qui me vient à l’esprit. Certes, j’ai évoqué « Sex in The Kitchen », mais à part le genre, il n’y a pour moi pas matière à comparaison parce que d’une manière indéniable Marie Minelli a une plume bien à elle, reconnaissable. Elle a un regard et un recul sur la société et c’est d’ailleurs grâce à cela qu’elle fait de cet ouvrage un roman brillant.

J’ai relevé au fil de ma lecture plein de petits liens qui sont faits avec l’actualité du moment et qui prêtent à sourire. Bon, il y a beaucoup de termes, je l’avoue qui peuvent peut-être gênés ceux qui ne sont pas spécialistes de cet univers, peut-être trop parfois. Ça aurait mérité à certains moments des notes de bas de page, je pense. Moi, je n’ai pas été gênée, mais j’ai pensé à ceux qui allaient se demander de quoi on parlait. On fait même dans le roman des allusions à Game of Thrones, pour les plus jeunes pas de soucis d’autant que je suis fan, mais pour ceux qui détestent la Fantasy et ne regardent pas, ils ne peuvent pas comprendre !

Ici, on ne se moque pas, on souligne ce qu’il peut y avoir de risible dans l’élite parisienne, on reste très troisième degré, et cela fait un bien fou sans compter qu’il n’y a pas beaucoup d’ouvrages qui s’y attaquent. Et puis, soyons honnêtes, nous les filles on aime bien des fois se pencher sur l’actualité people même s’y on jure par vents et marées qu’on ne lit pas les torchons comme « Public », qui ne sont que des vils racontars, des fouille-merdes … Bref, vous m’aurez compris, on est bien trop intelligentes pour lire ce genre de débilités sans intérêt sinon de faire mousser une fois de plus ceux qui en font la couv :p (Oui, oui je vous vois venir, moi, je n’en lis que pendant la grosse commission, je le jure sur… sur… bah sur le mag Public tient !).

Oups, j’ai oublié un point capital : L’EROSTIME ! Comment dire ???? Je m’attendais à ce qu’il y en ait plus, je n’ai vraiment compté que trois scènes vraiment érotiques. Bon, outre le fait qu’elles ne soient pas nombreuses, il faut reconnaître qu’elles sont de qualité. La plume est sublime, mais lors de ses passages, elle l’est davantage. C’est sensuel, excitant même, Marie Minelli sait manier le sujet et sait surtout ce qui nous, les femmes, nous fait fantasmer. Elle a l’art d’utiliser les mots autant pour faire rire que gémir et Sara vit des expériences à ce sujet très... très chaudes ! Attention à vos petites culottes les filles xD

Bon, ok, si on se fie au titre, on a le sexe, les mensonges, or au niveau banlieues chaudes, je suis plus mitigée. Je m’explique : on fait une immersion totale chez les Parigots friqués, mais au niveau de la Seine Saint-Denis, on ne peut pas dire que le lecteur y met les pieds. Je m’attendais à ce que la rencontre des deux opposés de ces deux milieux fasse des étincelles, mais ça n’a pas été le cas. À part Djalil et les autres collègues de Sara, c’est tout ce qu’on obtient de l’univers du 93. On ne passe pas vraiment de l’autre côté du périph’. Dommage, parce que dans ce titre, on s’attendait à ce que ça chauffe, en même temps, j’avais peur des caricatures et stéréotypes, là on n’a pas pris le risque de s’y frotter. J’avais peur qu’on tombe aussi dans un conte de fées version la belle et le banlieusard, heureusement ce n’est pas le cas non plus. Ouf ! Ce qui m’a fait un peu tiquer à la fin, c’est que l’histoire se termine vite, Sara s’éprend bien vite de son Djalil sans qu’on sache trop pourquoi. Quelles autres qualités possède-t-il à part celle de la faire jouir ? À mon sens pour qu’on puisse parler également de romantisme, il faut que les sentiments soient mis en avant ce qui n’est pas le cas ici, ils restent au second plan. Si on fait le compte, Djalil et Sara n’ont pas échangé beaucoup de phrases ensemble ^^ On dit que le regard fait beaucoup, on va dire que c’est le cas ici. Bon, certes, à un moment, il n’avait pas besoin de parler, mais bon du coup pour le côté « romantique » du roman, on repassera.

Cela n’empêche malgré cette petite observation négative que j’ai passé un très bon moment. « Sexe, mensonges et banlieues chaudes » est un roman drôle, frais, bien ficelé qui nous file le sourire, mais surtout qui nous fait rire ! C’est détonnant, surprenant, mais surtout ça vous donne la frite jusqu’à la fin de la journée. Pas moyen de rester insensible à moins que l’univers mondain et les people qui ont le vent en poupe dernièrement vous soient totalement inconnus. C’est une immersion dans l’érotico moderne qui fait du bien et qui ne peut pas laisser de marbre. Un roman féminin comme on les aime et comme on voudrait en lire plus souvent, qui ne se prend pas au sérieux et qui mérite d’être lu, parce c’est drôle, vraiment drôle !

http://lecture-mania.eklablog.com/sexe-mensonges-et-banlieues-chaudes-marie-minelli-a107684040

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Sexe, mensonge et banlieues chaudes

Descendante d'Helena Rubinstein, Sara vit à Neuilly entre son père, industriel blindé, sa mère éditorialiste chez Elle, et son petit ami Amaury de Saint Sauveur. Elle travaille à la « fondation pour les femmes-du-monde » que dirige sa bourgeoise fin-de-race de belle-mère, et brunche souvent avec ses deux meilleures copines aussi vénales que futiles. Mais Sara ne se sent pas à sa place et décide de gagner son indépendance. Pas de pot, c'est ce moment que choisit Amaury pour la demander en mariage en public. Elle est piégée... Par une suite de malentendus, Sara postule à un programme diversité chez France Télévisions et se fait passer pour une Marocaine de Seine-Saint-Denis afin de décrocher le job qui la mènera à l'indépendance professionnelle. C'est là que son chemin croise celui du mystérieux Djalil. Et si son salut se trouvait de l'autre côté de périph' ?

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Osez... 20 histoires de sexe en 2050

Je tiens dans un premier temps à remercier les Éditions La Musardine pour ce partenariat et leur confiance !

Alors, comme j’ai pu le dire notamment dans mon avis sur « The touch of love » de Linda Saint Jalmes, je ne suis pas très nouvelle ni roman en format court. Mais j’ai voulu retenter l’expérience et ce recueil me semblait être très attrayant au vu de sa quatrième de couverture pour renouer avec ce genre. Alors est-ce que la promesse est tenue ? Est-ce que je n’ai plus envie de revenir au présent ?

Eh bien, pas vraiment. Mon avis sera en demi-teinte. Étant donné le nombre de nouvelles que le recueil comporte, je ne peux malheureusement m’étendre sur chacune d’entre elles. Elles ne sont à mon avis pas toute au même niveau, j’ai pu déceler certaines incohérences notamment parmi les premières, mais rien de très grave non plus. J’en ai survolé certaines, mais ça c’est toujours le risque dans les recueils. Forcément, certaines nouvelles plaisent plus que d’autres. On a des styles différents, des points de vue différents aussi. Le gros point fort du recueil, c’est qu’il y a de la créativité, de l’imagination dans ces nouvelles. Ce que je regrette, c’est qu’elles sont toutes assez pessimistes. Je m’attendais à un futur un peu fou, à un peu de piquant, de mordant, un futur ultra sensuel, ultra libéré, et en fait ce n’est pas du tout le cas.

Hormis les technologies de pointe ultra sophistiquées en 2050, les libertés individuelles ont régressé. On se retrouve dans des situations avec des états autoritaires ou le sexe répond maintenant à des lois et des normes. Pour moi, déjà ça casse un peu l’ambiance à la base parce que faire l’amour à mon sens, c’est synonyme de plaisir, de liberté de faire ce que l’on veut de son corps dans le respect de son partenaire. Et là, finalement, même si les héroïnes prennent leurs pieds (ça, on peut le comprendre parce que la plupart du temps les différents personnages des différentes nouvelles se retrouvent en position d’enfreindre les règles, et tout le monde sait qu’aller au-delà des interdits est très excitant), le lecteur lui reste un peu sur le carreau, presque septique. On se pose beaucoup de questions et on zappe le côté sensuel.

En fait, si on fait le tour des nouvelles, on se rend compte qu’on tourne autour des thèmes suivants : futur où le sexe est aseptisé, robotisé, virtuel, ultra contrôlé, sexe avec clones, hermaphrodites, disparition ou raréfaction des hommes, mère porteuse avec obligation gouvernementale de procréer…. Bon, ce n’est pas la joie en somme.

Enfin, tous ces thèmes ne donnent pas un ton très réjouissant à ce recueil qui avait pourtant une bonne idée de départ. C’est dommage de n’avoir pas eu l’idée d’aller explorer des voies plus optimistes. On vit dans un monde où le but est de développer les libertés individuelles, enfin je crois que c’est le but de la plupart des gens et là on a l’impression de régresser. Au final, j’ai plus été désolée pour les personnages qu’autre chose, j’ai parfois pu avoir pitié. Alors non, je n’ai pas vraiment une envie folle de me retrouver en 2050 si le sexe est ainsi. Parce que, pour moi, la définition même du sexe c’est plaisir, partage, sensualité, tendresse, alchimie, passion, émotion enfin vous l’aurez compris, c’est un moment où plus rien ne compte hormis le plaisir que l’on prend avec son partenaire et qu’on lui donne également, et ça l’est surtout parce que c’est encore un des rares domaines où l’on reste aujourd’hui totalement maître de soi, libre d’agir comme bon nous semble (bon je parle dans le cadre de deux adultes consentants bien évidemment). Alors, là, pour le coup, se retrouver en 2050 dans des situations où la chose est très encadrée, voire parfois où le but n’est plus le plaisir, mais la procréation pour le coup, ça peut refroidir. Et puis il faut dire aussi que les nouvelles manquent d’émotion, on a beaucoup de description de sensation corporelle, mais pas une fois il n’est question de sentiment. Je sais qu’on n’est pas obligée de s’aimer pour faire la chose, mais bon, je ne pense pas que l’amour sera un concept dépassé en 2050. Je n’aurais pas été contre une ou deux nouvelles qui parlent de sexe et d’amour. Finalement, 2014, ce n’est pas si mal à bien y regarder.

D’ailleurs, il n’y a pas si longtemps, quelqu’un m’a dit que les lecteurs appréciaient rarement les romans où le personnage principal est dépeint de manière antipathique. Je pense que c’est la même chose pour les romans pessimistes. Certes, il y a les dystopies qui au départ sont pessimistes, mais tout l’intérêt réside dans le combat des persos pour la liberté et l’espoir qu’il transmet au lecteur. Dans une nouvelle, j’avoue qu’il est difficile d’essayer d’améliorer le contexte de l‘histoire. C’est un format court qui ouvre des possibilités restreintes en matière d’évolution scénaristique.

Un autre pont m’a chagriné. On a des scènes lesbiennes dans le roman, mais aucune scène gay. On ne peut pas dire que les hommes soient mis en avant dans le recueil, voire même, on a l’impression qu’ils ne servent plus à grand-chose. Dommage… Finalement, le rapport de force est inversé, les femmes sont clairement mises en avant. Je ne sais pas, je suis une bisounours qui milite pour la stricte égalité des sexes et n’ont pour inverser les rapports de force.

Malgré toutes ces remarques un peu négatives, je ne peux nier que certaines nouvelles sont émoustillantes. Quelques-unes tirent leur épingle du lot et se détachent du reste.

Enfin, bref, je pense que le futur n’est décidément pas à ma portée. Le mieux est de vous faire un avis en le lisant. Moi, j’ai jeté un petit coup d’oeil dans la collection "Osez" des Éditions La Musardine et je vais me laisser tenter par d’autres thèmes, qui, je pense sauront me distraire davantage ;) Par exemple, il y a en un qui se nomme « 20 histoires de sexe au bureau », un autre « 20 histoires de sexe en vacances » ou encore « 20 histoires de sexe avec des pompiers ». Bah oui, j’adore les pompiers, l’uniforme est un de mes fantasmes comme beaucoup de femmes je pense. Lol parce qu’un pompier sait comment éteindre les feux de toute nature :p http://lecture-mania.eklablog.com/oser-20-histoires-de-sexe-en-2050-a108268472

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Osez... 20 histoires de voyeurs et d'exhibitionnistes

J'aime beaucoup les livres "Osez...' et c'est avec plaisir que j'ai découvert celui-ci.

Encore 20 histoires intéressantes et sympathique à lire.

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Commentaire ajouté par Zely 2016-10-03T17:31:32+02:00
Les filles bien n'avalent pas

Livre sans grand intérêt, à feuilleter chez le dentiste, humour réchauffé, écriture style blog d'ado.

Je m'attendais à mieux de la part de La Musardine, à plus grinçant, plus subversif, plus intelligent... là c'est gentillet et neuneu.

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40 histoires érotiques de Noël

UN gros bof !! à défaut de dire une gros beurk !

Une grosse dose de vulgarité

A mon gout, l'érotisme n'a rien à voir avec ce qu'il y a écrit dans la majorité de ces nouvelles !

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Osez... 20 histoires de sexe en 2050

C'est l'un des recueils de la collection que j'ai le moins apprécié :/ ..

N'étant pas fan des relations futuristes, j'ai pas adhéré à certaines histoires un peu trop mêlées par les cheveux ..

Toutefois ce registre peut tout de même plaire à certain(e)s :)

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Osez... 20 histoires de sexe en 2050

Classé argent comme les autres livres de la série. Pourtant le moins bon. J'ai été alléchée car j'aime la science fiction, le fantastique, et ...l'érotisme...Cette fois la maillonnaise ne prend pas ce n'est pas très réussi

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Sexe, mensonge et banlieues chaudes

Je l’ai lu pour me moquer de Marlene Schiappa mais en réalité ce n’est pas si mal écrit, malgré quelques faux raccords.

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