Joan D. Vinge

Un bon livre et pour une fois le film est la traduction fidèle du livre . Agréable et bien écrit .

Une magnifique histoire d amour et d amitié dans un moyen âge fantastique. Isabeau et Novarre forment un couple déchiré par une malédiction qui transforme Isabeau en faucon le jour et Novarre en loup la nuit. Jamais ils ne pourront être ensembles à moins que le jour soit aussi la nuit...

Un seul point vraiment négatif à ce livre, l histoire est un peu courte

Emprunté à la bibliothèque du lycée, je me rappelle avoir bien aimé

un chez d'oeuvre de fantasy

j'ai me beaucoup le style de Joan D. Vinge

Ce roman a été une véritable claque !

Il nous emmène dans un univers impitoyable sur la planète Tiamat qui oscille d'un côté de son hémisphère, entre la technologie avancée de l'Hiver, fournie par l'envahisseur de l'Hégémonie et de l'autre où il fait plus chaud, l'Été, une vie plus agricole où les indigènes écoutent les prophéties faites par les sibylles. Le lecteur suit donc l'héroïne qui est un clone de la reine de cette planète, qui servira ses plans pour ne pas être tuée à la fin de la période qui lui est impartie de régner. Bien évidemment tout ne va pas se dérouler selon ses plans, et de multiples écueils vont se présenter sur la route à la fois de la reine et de son clone qui est en réalité la véritable héroïne de cette histoire.

Ce qui est à mes yeux vraiment la grande force de ce roman c'est le chemin parcouru par les deux véritables héros de l'histoire Moon et Sparks, et comment chacun se tourne vers la lumière et l'obscurité pendant le temps où ils sont séparés.

Parallèlement à cela, l'auteure joue magistralement bien avec la psychologie des personnages, avec leurs intérêts, leurs vices, et la façon dont ils interagissent avec l'univers et amènent le déroulé final alors qu'on aurait pas pensé au départ qu'ils précipiteraient la situation en ce sens avec ce qu'on sait d'eux et de leurs actions. L'univers en lui-même est extrêmement bien pensé, complexe — parfois même un peu trop ! j'avoue avoir eu du mal avec quelques notions qui m'ont paru trop peu explicitées — et les personnages sont légions, quasiment chacun ayant deux noms différents ce qui fait qu'au début j'avais un peu de mal à savoir de qui on parlait mais une fois les premières 200 pages écoulées cela s'éclaircit.

J'avoue que certains éléments m'ont même fait penser à Fondation d'Asimov, Spoiler(cliquez pour révéler) notamment le fait que les sibylles sont des bases de données biologiques implantées un peu partout dans la galaxie par les penseurs du Vieil Empire décadent qui ne voulait pas disparaitre totalement et a stocké de la connaissance dans un endroit où les générations futures pourraient le retrouver afin de le reconstruire.

Bref, je ne peux que vous recommander ce roman si vous êtes fan de science-fiction, là on est sur un mur porteur de ce genre, je ne connaissais pas cette auteure et j'ai été véritablement impressionnée par ce roman véritablement magistral à tous les égards.

Une épopée magistrale attend les lecteurs dans cet ouvrage. La richesse des mondes créés par Joan D. Vinge nous donne tout simplement envie d'en découvrir, d'en explorer et d'en lire encore plus. Une duologie de science-fiction qui à n'en pas douter, mérite amplement son prix Hugo et les louanges des critiques littéraires.

Une lecture complémentaire à la série qui nous sert d'interlude et nous permet surtout d'approfondir le devenir de Gundhalinu après sa brutale séparation avec Moon. Plume toujours aussi fluide et agréable à lire, l'histoire se suit facilement et le périple que suit l'agent de police à travers Finismonde pour retrouver ses frères nous tient en haleine jusqu'à la fin. Excellent hors-série, à lire pour compléter votre lecture du cycle de Tiamat !

Le cycle de Tiamat nous ouvre les portes d'un univers bien plus riche qu'on ne l'imagine. "La Reine des neiges", suivi de "Finismonde", a été une excellente introduction à l'imaginaire de fiction de Joan D. Vinge, lauréate du Prix Hugo pour le premier tome de cette série de science-fiction (l'une des plus addictives que j'ai pu lire).

Tant au niveau de la qualité du récit, les liens tissés entre les personnages et le fantastique de cet univers aux multiples planètes, le scénario tient la route (même si je m'attendais à plus de "gros" rebondissements). Petits soucis de traduction de mon côté, mais qui rien qui puisse venir altérer la qualité de la lecture. Hâte de découvrir la suite de la série, et de voir s'entamer le règne de la Reine de l'été !

Vinge J.D. Finismonde. 1985. J’ai Lu 1986. 287 p. 2 étoiles.

Si vous vous sentez d’humeur trop joyeuse et que cela devient maladif…( 😊), ce récit peut vous soulager. Voici pourquoi…

Lors d’une mission contre des barbares, le héros (Gundha) a été capturé et si horriblement torturé (détails dans le texte) mentalement et physiquement qu’il a essayé de se suicider. Miraculeusement de retour dans ses lignes, il a été dégradé, parce qu’il s’est loupé…et donc encore vivant.

Une honte pour son illustre, très riche et très respectée famille qui le honnit.

Le père du héros décède de vieillesse (et peut-être un peu de honte ?). Ses autres fils, plus âgés et infâmes avec Ghanda sont introuvables, probablement morts.

Parce qu’ils sont stupides, ils ont quitté le grand et noble domaine familial pour une ruée au trésor sur une planète incroyablement malsaine. Le trou du cul de l’univers.

Car il a le sens de l’honneur, Gundha part à leur recherche (au lieu d’engager un détective pour les déclarer décédés, de graisser quelques pattes et de toucher l’héritage par exemple).

De chapitre en chapitre (jusqu’à la nausée), on découvre que le héros est un peu niais, bonne poire et très masochiste…

Si c’est votre tasse de thé, ce roman est fait pour vous !

Je me suis arrêté vers la page 111... Ce roman n’est pas mal écrit, il y a même des passages poétiques, mais…j’ai besoin de soleil, d’aventure, d’amour, d’intelligence...