Mateus Santolouco

Un comics qui se lit d'une traite comme son premier tome, mais qui malgré ça est d'un niveau en dessous. Je n'ai pas retrouvé le même plaisir à lire ce deuxième opus que celui que j'ai eu pour le premier. Le scénario part peut être trop sur la longueur et semble tarder sur quelques événement malgré des personnages toujours aussi attirants et une ambiance noire et gore toujours au rendez-vous.

Aussi bon que le premier tome, cette série s'annonce très bonne, le traitement des vampires y est très original. Et les ambiances changent d'album en album à mesure que l'on progresse dans le temps.

Comme toujours excellent! On apprend certaines chose qui font le parallèles avec la séries annexes american vampires legacy. Un série on ne peu plus prometteuse!!

Et bien tout simplement décevant. Je m'attendait à retrouver le personnage charismatique du premier tome et à la place, j'ai juste un méchant banal qui me laisse juste indifférente. J'ai eu beaucoup de mal à le finir et je trouve dommage qu'on retrouve Pearl Jones. On aurait pu la retrouver accessoirement mais laissez lui un peu de répit! A la place j'aurais préféré découvrir un nouveau personnage.

J'ai bien aimé, c'est une bonne suite. Malheureusement ce ne fut pas un coup de cœur comme ce fut le cas avec le premier.

Oui, Snyder a rendu aux vampires leurs lettres de noblesse car dans ces pages, ils les a voulu terrifiants, sauvages et bestiaux, tels que dépeints dans les films qu’il apprécie (Near Dark, The Lost Boys et Let the Right One In).

Quand je vous parlais de changer les règles du jeu, c’est parce que si les vampires originaires de la vielle Europe (les carpatiens) ne savent pas rester au soleil sans protections, le nouveau vampire américain (Skinner Sweet) peut, lui, marcher en plein jour !

Skinner Sweet est un ancien bandit devenu vampire sans que son créateur n’ait voulu le faire. Skinner a un seul péché mignon : les bonbecs sucrés ! Pour le reste, c’est un véritable fils de pute, un sadique, un vrai vampire méchant, mais on s’attache à lui, à sa dégaine et à ses petits sourires en coin.

Si vous commencez la série, elle vous rendra accro, mais un conseil, soyez bien attentif parce que les scénarios sautent d’une période à l’autre, ou parfois, reviennent sur ce qu’il s’est passé 24h avant ou 1 mois. Il faut bien suivre si on ne veut pas perdre son fil.

Nous commençons le récit dans les années 20, dans le cinéma et nos différents scénaristes (Snyder se fait aider par d’autres) s’amusent à revisiter les principales époques de l’Histoire américaine telles que celle de la marche vers l’Ouest, les guerres indiennes, la Grande Dépression de 1929, la ville de Las Vegas qui commence à s’ouvrir, la Guerre du Pacifique ou les fifties avec un personnage qui a tout d’un James Dean.

N’allez pas croire qu’ils abordent ces époques juste pour le plaisir, non, ils mettent aussi l’accent sur les problèmes liés à ces époques, comme la place de la femme, la mort du cinéma muet, l’avènement d’Hollywwod, la politique du « si tu veux jouer dans mon film, suce-moi la bite », les discriminations raciales, la politique de l’époque,…

J’ai apprécié les dessins et le graphisme de Rafael Albuquerque, la manière dont il crée ses décors, celle dont il dessine ses personnages, humains ou vampires, les couleurs des cases,…

Voir évoluer tout ce petit monde est un plaisir de fin gourmet car on découvre leur passé, leurs erreurs, leurs liens, on découvre de nouveaux personnages et on n’est jamais sûr que ce soit un ange ou un fils de pute… Ou les deux en même temps !

Ce tome m'a captivé. Il montre l'origine du clan foot et son maintient dans le temps jusqu'à nos jours. Comment Shredder est aujourd'hui encore à la tête du clan.

Bref, une belle surprise. Je recommande vivement à avoir dans sa bibliothèque avec l'omnibus tome 0 des TMNT.

L'origine du clan Foot pour ceux qui se posent la question ! Un tome sympathique mais sans plus pour ma part. Il a l'avantage d'être un one shot ! Je recommanderai quand même la lecture de l'omnibus en complément !

Une issue vraiment très intéressante. Les dessins de Santolouco sont toujours aussi poignants. J'étais aussi ravis de retrouver une superbe double pages de Campbell.