Julia Billet

Wouah, que dire… j’ai été émue tout du long que ce soit de la joie ou de la tristesse. Les planches sont magnifiques, avec des couleurs qui font ressortir toutes les émotions présentes. La BD n’était ni trop courte ni trop longue. Les différents personnages que l’ont rencontrent sont adorables et l’évolution de Catherine est super bien amenée. On reste avec des interrogations à la fin mais ce n’est pas forcément un mal. Franchement très émue.

J'adore ce livre. Il parle de choses malheureusement vrai. Aujourd'hui, le racisme, la ségrégation et le sexisme existe encore mais beaucoup moins que à l'époque. Par contre, l'homophobie existe toujours et ce n'est pas bien. Si 2 hommes ou 2 femmes s'aiment c'est comme ils veulent.

J'ai bien aimé lire cette BD où l'on suit Catherine (Rachel de son vrai nom) à travers la France pendant la seconde guerre mondiale.

Je l'ai lu dans cette version BD pour aller plus vite afin de lire la suite (qui n'en est pas vraiment une) que j'ai reçu dans la médium box de l'école des loisirs, sans trop être perdue au niveau des personnages.

Thème touchant. Mais le style et le propos ne m'ont pas transcendée. À sa place dans " j'ai lu aussi"

Dans ce livre on retrouve Catherine dans l'après guerre. C'était intéressant de voir comment ça s'est passé (même si beaucoup de choses ont été inventé pour l'histoire). On découvre que tout n'est pas devenu tout rose du jour au lendemain et qu'il y avait encore beaucoup de combat à mener.

J'ai mis du temps à lire ce livre (j'avais lu le premier tome en format BD) mais j'ai quand même passé un moment en compagnie de nos personnages.

Au long de cette bande-dessinée, l’adaptation du roman, l’on suit les péripéties de Rachel Cohen à travers la Seconde Guerre mondiale. Séparée de ses parents, elle passe par plusieurs familles et écoles afin de ne pas être déportée. L’on suit son évolution, en tant que personne, mais auusi en tant que photographe.

L’autrice et l’illustratrice nous font prendre conscience de ce que la guerre a pu laisser comme traces, et en particulier les nombreuses personnes disparues, dont on n'aura jamais de nouvelles.

Cette bande dessinée m'a touché par sa simplicité et son point de vue extérieur à la guerre elle-même. En effet, l’on se sent proche du personnage, l’on comprend ce qu’elle vit, même si évidemment l’on ne peut pas se mettre à sa place.

C'est pétillant, c'est musical, c'est hippie : le starter pack d'un bouquin estival ! Les protagonistes sont un peu insupportables mais on s'attache bien vite à la petite clique :)

🌟Avis : Une très jolie bande dessinée, une histoire touchante et à la fois poétique.

🌟L'intrigue qui s'inspire de fait réel, raconte l'histoire de Rachel Cohen, jeune fille juive alias Catherine durant la seconde guerre. Elle nous raconte en photo sont periple à travers la France divisée et pour échapper aux Nazie qui les traquent sans cesse. Une histoire très touchante, belle et poétique à la fois. Une lecture pleine de valeur également qui nous montre ce qu'est l'amour, l'amitié et l'entraide mais aussi le courage, la détermination et dénonce quelque part les injustices du monde d'avant et d'aujourd'hui.

🌟Des personnages attachants, vivant et plein de bonne volonté et de valeur. Suivre leur histoire à travers Catherine m'a vraiment plus.

🌟Un écrit très simple, très doux et facile à suivre. J'aurais aimée en savoir un peu plus sur leur histoire et le mettre en équilibre avec les dessins.

🌟Les dessins sont doux, comme peint à l'aquarelle. De belles couleurs également qui montre les moments de bonheur comme les moments les plus durs.

J’avais lu « la guerre de Catherine » et quand j’ai vu que l’auteure sortait une suite je me suis précipitée. On retrouve le personnage de Catherine en 1953 en proie au doute et à la recherche de sa liberté et de sa personnalité. Elle va essayer de se reconstruire et de devenir photographe professionnelle. Elle va rencontrer Simone De Beauvoir, partir avec des jeunes juifs français faire du scoutisme avec des jeunes allemands et part aux Etats Unis prendre des photos sur la ségrégation. Dans cette histoire on découvre des difficultés d’être une femme à la sortie de la deuxième guerre mondiale et de s’affirmer en tant que tel. Les femmes avait acquis le droit de vote mais devait avoir l’autorisation d’un père ou d’un mari pour travailler. J’ai tout aimé dans cette bande dessinée du scénario au graphisme.

Gare de Lyon, c’est la fourmilière qui se réveille chaque matin au rythme des trains, du brouhaha des usagers et de ses locataires informels.

Au fil des mots, je suis la vieille, de son sobriquet, qui déambule au gré de ses habitudes, de ses divagations, de ses amis de galère, sa famille d’adoption malgré tout.

Le rythme est agréable mais le ton est plat, laconique. J’ai du mal à capter les émotions du texte qui me fait face, peut-être est-ce voulu…

C’est chacun pour tous et tous comme un seul homme. Ce jour-là, cette gamine attire l’attention de la vieille, elle ne cherche rien. La vieille reconnait l’attitude de ceux qui fuient, qui sont perdus, qui slaloment sans but. Salomé comme la vieille la surnomme se laisse guider.

Le récit est triste, divague sur les monologues, c’est froid comme l’ambiance d’une gare, répétition des jours, des gestes, des habitudes, ces errances sans but particulier. L’auteur divulgue ce quotidien sans fioriture, ni paillettes, une réalité aigre, douce amer.

Je déambule au milieu de ce chemin de solitude, une survie du quotidien, or ce qui ressort de plus fort de cette histoire est l’entraide qui maintient les cœurs à flot.

Le final est bouleversant émotionnellement, tout l’inverse du début. Les rencontres inattendues sont parfois tout ce qu’il te faut pour avancer, comme électrochoc.

Une lecture de passage !