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Né dans le Massachusetts en 1912 et mort à New-York en 1982, John Cheever est un auteur peu connu en dehors des frontières américaines. Son œuvre est essentiellement constituée de nouvelles (environ 200), petites chroniques familiales qui dépeignent avec une ironie teintée de tendresse la middle-class américaine des années d’après-guerre. Mieux que personne, John Cheever (surnommé « le Tchekhov des banlieues ») sait décrire la vie quotidienne des faubourgs et quartiers résidentiels aisés de l’Est des États-Unis, ces familles qui, sous l’apparence d’une vie heureuse sans histoires, recèlent souvent de petites névroses et haines sous-jacentes. Cela n’est d’ailleurs pas sans évoquer l’œuvre picturale d’Edward Hopper qui, sans avoir témoigné de la même époque, a souvent peint les mêmes lieux et les mêmes ambiances légèrement sombres et mélancoliques.
John Cheever a également écrit quelques romans, certains récemment traduits en français : Les Wapshot (1957) et Les Lumières de Bullet Park (1967), parus respectivement en 2008 et 2009 aux Editions Gallimard (Folio), ainsi que On dirait vraiment le paradis (1982) traduit en 2009 aux Editions Joëlle Losfeld.
Une Américaine instruite présente deux nouvelles : Adieu, mon frère et la nouvelle éponyme, toutes deux extraites du recueil Déjeuner de famille publié en 2007 aux éditions Joëlle Losfeld.
Biographie
Né dans le Massachusetts en 1912 et mort à New-York en 1982, John Cheever est un auteur peu connu en dehors des frontières américaines. Son œuvre est essentiellement constituée de nouvelles (environ 200), petites chroniques familiales qui dépeignent avec une ironie teintée de tendresse la middle-class américaine des années d’après-guerre. Mieux que personne, John Cheever (surnommé « le Tchekhov des banlieues ») sait décrire la vie quotidienne des faubourgs et quartiers résidentiels aisés de l’Est des États-Unis, ces familles qui, sous l’apparence d’une vie heureuse sans histoires, recèlent souvent de petites névroses et haines sous-jacentes. Cela n’est d’ailleurs pas sans évoquer l’œuvre picturale d’Edward Hopper qui, sans avoir témoigné de la même époque, a souvent peint les mêmes lieux et les mêmes ambiances légèrement sombres et mélancoliques.
John Cheever a également écrit quelques romans, certains récemment traduits en français : Les Wapshot (1957) et Les Lumières de Bullet Park (1967), parus respectivement en 2008 et 2009 aux Editions Gallimard (Folio), ainsi que On dirait vraiment le paradis (1982) traduit en 2009 aux Editions Joëlle Losfeld.
Une Américaine instruite présente deux nouvelles : Adieu, mon frère et la nouvelle éponyme, toutes deux extraites du recueil Déjeuner de famille publié en 2007 aux éditions Joëlle Losfeld.
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