Margaret Atwood
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Note moyenne : 7.58/10Nombre d'évaluations : 1 711
3 Citations 713 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'avais de grandes attentes quand j'ai entamé cette trilogie, mais au bout du compte, je n'ai pas plus accroché que ça. J'ai un peu de mal avec le style d'écriture d'Atwood et sa tendance à trop se focusser sur le passé, plutôt que sur l'intrigue présente.
Afficher en entierJ'étudie actuellement The Tempest dans le cadre de mes études d'anglais et ma professeure a mentionné ce livre lorsque l'on est arrivé au passage où l'on désigne Caliban par "hag-seed". Et j'ai ainsi pu l'utiliser dans ma dissertation sur le thème de confinement dans la pièce.
J'ai réellement adoré ce livre et pourtant The Tempest n'est pas dans mes pièces préférées de Shakespeare. Mais Margaret Atwood à travers sa réécriture m'a fait ouvrir les yeux sur le chef d'œuvre qu'est The Tempest.
Shakespeare est réellement intemporel.
Afficher en entierCe sont des nouvelles et non des contes. Les trois premières sont en lien. J'ai abandonné à mi-chemin la 3ème par ennui profond. J'ai zappé pour celle annoncé "gothique", très basique et sans originalité. J'ai zappé pour une autre, et j'ai abandonné totalement en découvrant un thème récurrent : Le mari ou l'amant soumis, la mégère en face. Le thème principal, sinon, est la vieillesse.
Je n'adhère ni au contenu ni au style. C'est lent, soporifique et les personnages sont "pâles". On ne s'attache pas à eux, on ne les déteste même pas, tellement ils sont insignifiants.
Je n'ai pas du tout aimé. C'était ma première lecture de cet auteur. Je n'ai pas l'intention de faire un nouvel essai.
Afficher en entierEncore un livre tant vu sur les réseaux sociaux, dont l'engouement me promettait une claque...qui n'est jamais venue. Je ressors très déçue de cette lecture, comme vous l'aurez compris. Je n'ai ressenti aucune empathie pour la narratrice, que j'aurais voulu plus combative, c'est mou c'est lent et elle ne fait rien pour sortir de sa condition, même quand d'autres lui tendent la main, elle préfère rester dans son "confort" de femme-objet.
J'ai lu beaucoup d'avis de lecteurs qui disaient que ce récit faisait peur parce qu'il était possible que ça arrive un jour, et là j'ai envie de crier : "Mais réveillez-vous, ouvrez les yeux, ça existe déjà dans notre monde" ! Les femmes iraniennes, pakistanaises et bien d'autres sont traitées comme des esclaves, battues, violées, vendues par leurs familles, sans aucuns droits, tuées pour un simple regard dans la mauvaise direction et je n'entends personne s'élever ou se battre pour les défendre.... La communauté internationale se tait et ferme les yeux. Aucune résistance ne s'organise pour permettre à ses femmes d'avoir un autre destin. Et quand bien même cela arriverait, comme Margaret Atwood le dit si bien à un moment du livre, certaines ne réussissent pas à s'acclimater.
Donc même si ce livre a été écrit dans les années 80, il n'est en aucun cas visionnaire à mes yeux, hormis peut-être le côté scientifique et écologique, l'infertilité provoquée par les produits chimiques et les déchets radioactifs, mais certaines études prévenaient déjà à cette époque des risques que nous encourions et prévoyaient déjà des changements climatiques que nous connaissons aujourd'hui.
Pour moi, elle a savamment réussi à créer un roman mêlant le réel et le possible, recette délicieuse pour certains lecteurs et fades pour d'autres, mais ça un livre qui fait réagir et ça c'est un bon point.
Je vais quand même lire la suite parce qu'il me semble que ce premier tome n'est qu'un amuse-bouche, en espérant ne pas faire une indigestion.
Afficher en entierAlors clairement j'ai beaucoup plus aimé ce tome par rapport au précédent. Il y a plus d'action et le fait de faire parler 3 personnages, empêche une certaine lassitude de s'installer. J'ai préféré le récit de Tante Lydia personnellement, car on comprend beaucoup mieux comment cette civilisation a été mise en place à ses débuts, et j'ai aimé qu'elle ait construit sa vengeance et ses projets d'anéantissement ça prouve que finalement ils n'ont jamais réussi à la soumettre contrairement à ce que les dirigeants croyaient.
J'ai assez vite deviné la filiation des 2 filles mais je suis déçue de la fin car on n'assiste pas vraiment aux retrouvailles entre les filles et leur mère, et on ignore où sont les pères. Comment la mère a pu s'échapper.... L'auteur m'a laissé sur ma faim sur ce point là, ce n'est pas le simulacre de colloque explicatif qui peut me satisfaire.
Afficher en entierLes couleurs et les dessins sont resplendissants et représentent avec merveille l'histoire de Defred dans la République de Gilead. Toutefois, il est recommandé d'avoir lu le roman avant de lire ce roman graphique, qui n'est qu'un résumé de l'histoire originale.
Afficher en entierL'histoire évolue à un rythme parfait, suffisamment lent, pour s'imprégner de chaque (horribles) détails. Les informations nous parviennent petit à petit, jusqu'à construire l'univers entier.
Contrairement à beaucoup de héros de dystopie qui sont nés dans leur société et découvre qu'elle va de travers, Offred a connu une vie normale avant qu'on ne l'endoctrine de force et qu'elle vive le quotidien de Servante. Elle connaît la liberté, l'amour, se souvient de sa famille, et ça rend sa situation encore plus dramatique que si en n'en savait rien.
Beaucoup de passages m'ont horrifiée plaçant la femme comme objet. Defred n'est pas une héroïne qui va provoquer une rébellion, un renversement, et c'est ce qui rend le récit encore plus réel et glaçant.
Afficher en entierCe roman a commencé assez lentement et on déroule les fils petit à petit. C'était aussi intéressant que de Handmaid's Tale et on comprend plus le contexte.
Afficher en entierDans ce livre on suit plusieurs points de vue, donc pas de risques de se lasser ! On reconstruit le puzzle morceau par morceau au fil des pages...et on retrouve l'univers dystopique que j'avais personnellement beaucoup aimé découvrir.
Afficher en entierD'emblée, ce roman m'a mise mal à l'aise. Au point que je me suis posée la question à plusieurs reprises :" est ce que je comprends bien de quoi il est question", et il est difficile de ne pas faire certains parallèles avec la société dans laquelle nous vivons.
On n'en est pas au monde décrit par l'auteur bien évidemment mais certains points peuvent effrayer.
On a bien compris que la société décrite est une société hyper patriarcale, avec, quand même, certaines femmes dont le rôle est très particulier.
Si je devais résumer en un mot, c'est cette sensation de malaise qui perdure que je veux mettre en avant.
Au terme du roman, une "conférence" de spécialistes semble expliquer qui et comment.
Ce n'est pas un roman traditionnel, léger. Je crois que la servante écarlate, comme 1984 par exemple, est le genre de roman qui dérange et tend à faire réfléchir.
Ce que j'ai particulièrement aimé : la capacité de l'auteure a relever des éléments existants dans notre société et de les interpréter comme "responsables" du déclin.
Margaret Atwood est une écrivaine tout à fait particulière
Afficher en entierOn parle de Margaret Atwood ici :
2018-09-22T07:18:29+02:00
2018-03-08T16:44:36+01:00
2017-12-16T11:04:35+01:00
2017-08-18T15:47:07+02:00
2017-08-02T15:13:25+02:00
2017-07-13T18:19:55+02:00
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Dédicaces de Margaret Atwood
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Editeurs
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Biographie
Margaret Atwood, née à Ottawa en 1939, est l'auteure d'une quarantaine de livres – fiction, poésie et essais critiques. Traduite dans plus de cinquante langues, elle est l'une des plus grandes romancières de notre temps. Sont notamment parus chez Robert Laffont Le Tueur aveugle (" Pavillons ", 2002), La Servante écarlate (" Pavillons Poche ", 2017), un classique qui ne cesse d'être redécouvert et aujourd'hui une série TV unanimement saluée, ainsi que Captive (" Pavillons ", 2017), également porté au petit écran.
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