Dustin Thomason

L’engouement pour le polar ésotérico-religieux engendré par le succès du « Da Vinci Code » a fait des émules. En voilà un exemple.

C'est un livre rempli de bonnes idées.

Mon avis va rejoindre celui de la plupart des autres lecteurs, pour moi ce n'est absolument pas comparable à un Dan Brown ou un UMBERTO ECO et il ne me paraît pas vraiment être un thriller. La majorité du livre est axée sur le décryptage du livre et ça manque cruellement d'action et de suspense, seules 2 ou 3 scènes sont plus rythmées.

Bon, eh bien j'avoue ne pas avoir tout compris...

Ce livre est pour moi ni bon ni mauvais, je dirais simplement qu'il est intéressant, prompte à la réflexion, mais très compliqué. Surtout si vous êtes des non-initiés, comme moi, et que cet univers de Renaissance, de codes, de mystères et d'hypothèses, est trop tiré par les cheveux pour vous.

En effet, très peu d'action jalonne ce roman, cependant, j'avoue ne pas m'être ennuyé, étant donné que la curiosité faisait office d'aimant, pour que je ne puisse pas lâcher le livre. Le suspens était là, les personnages étaient intéressants et le sujet tout entier également, seulement, de là à comparer cette lecture à du Dan Brown ou du Umberto Eco, je ne suis pas d'accord.

Le point positif à ce récit, c'est qu'il n'est pas extrêmement long et qu'il n'a donc pas la lourdeur d'un pavé indigeste. Les énigmes et décryptages sont résolues de manières assez légère, avec un récit entrecoupé de choses qui n'ont aucun rapport avec, histoire de ne pas nous bourrer le crâne à chaque page. C'est donc plutôt agréable à lire et même si j'avoue être resté sur ma faim, (à la fin), je pense que la Règle de quatre est un bon roman, qui a nécessité beaucoup de recherches et de travail et qui mérite que l'on garde cela en tête, après l'avoir fini.

Parce qu'écrire un livre n'est jamais une partie de plaisir, et qu'il y en a qui sont plus difficile à écrire que d'autres...

Vous aimez les thrillers et les récits à énigmes qui explorent l’Histoire? Alors ce roman est fait pour vous. Ici, une bande d’étudiants se retrouvent face au mystérieux Hypnerotomachia Poliphili, un récit écrit au XVè siècle et dont l’identité de l’auteur et la véritable teneur enfermée dans ses pages restent non identifiés. C’est ainsi que Paul va faire de cet ouvrage le sujet de sa thèse et va aussi par la même occasion être totalement aspiré par cette énigme. Le narrateur de ce récit, Tom, dont le père à lui-même eut à faire à l’Hypnerotomachia, va lui prêter main forte, et sera « sauvé » de cette sorte de vampirisation qu’exerce ce texte de la Renaissance sur ceux qui l’étudient par sa petite amie. Mais, même de loin, Tom va veiller à sa manière sur Paul ou plutôt, Paul le tiendra au courant de ses découvertes. Et ces découvertes sont tellement convoitées que bientôt, un meurtre est commis sur le campus de Princeton…

Impossible de ne pas faire le lien entre ce roman et le Da Vinci Code de Dan Brown paru l’année précédant la publication de cet ouvrage. Si chez Dan Brown est davantage avec des courses poursuites, des explosions, bref dans un style très hollywoodiens, La Règle de quatre est plus sobre, davantage dans l’étude de ce texte aux apparences obscures qu’est l’Hypnerotomachia. Le rythme est plutôt lent, les péripéties moins spectaculaires que chez Dan Brown, mais cela reste cependant une plongée intéressante dans une des grandes énigmes de l’Histoire. J’ignorais, pour ma part, l’existence de ce texte. Je n’irai pas pour autant tenter de le lire, mais c’est toujours bien de découvrir des choses à travers la lecture. Le rythme peu soutenu fait ressentir quelques longueurs, et j’ai eu plusieurs fois envie de secouer tout ce beau monde pour qu’ils se bougent, qu’il y ait un peu d’action. Si Dan Brown était dans le « trop », le duo présenté aujourd’hui est dans le « trop peu »…

Instructif, ce roman se traîne un peu et ce qui est présenté comme un thriller devient plus une chasse au trésor gentillette entre étudiants. Une lecture agréable mais sans plus, qui ne me laissera pas un souvenir impérissable

J'ai bien apprécié ce mélange de Dan Brown et de Umberto Eco. EN revanche a part quelques références à FS Fitzgerald je ne vois pas où est l'univers de l'auteur. Peu importe. J'ai trouvé la plume agréable, fluide, et l'on avait grand envie de connaitre la fin avec ce manuscrit au nom imprononçable. En revanche je suis restée un peu sur ma faim quant au dénouement, car cela s'est terminé bien trop vite.

Bon roman, lu en période de pandémie. C'est intéressant de faire des parallèles .

Un roman qui mêle intrigue, enquête et Histoire... une lecture agréable et facile.

Un roman intrigant, qui saura peut-être vous charmer.

Pour ma part, ce ne fût pas le cas malheureusement.

Je trouve que le début est bien mais j'ai eu du mal à m'y accrocher

Ca devient tellement complexe pour rien que je ne l'ai jamais fini

Peut-être qu'un jour je le ferai mais pas sûr

Il y avait pourtant de bonnes idées

La Règle de Quatre est une déception! Et ce à plus d'un titre.

Déjà, le 4e de couverture nous vend quelque chose que je n'ai pas retrouvé dans le roman, dû moins, certainement dans la manière où je l'attendais. L'intrigue qui nous est avancée se fait attendre, très longtemps.

Il faut quasi attendre d'être arrivé à la moitié du livre pour avoir les premières actions significatives de cette malédiction. En plus, ce fameux décodage commence à être représenté à la page 300. Le livre en fait 460!

Maintenant, au point de vue de l'histoire des personnages, je ne suis jamais rentré au sein de leur "aventure". Il n'y a pas grand chose en faite à se mettre sous la dent tout au long du récit. Cela reste comme superficiel. J'ai lu ce livre en lecture commune et je reprendrais ses termes qui sont on ne peut plus juste. "C'est juste brouillon" On s'attend toujours que cela démarre, mais en faite cela ne démarre jamais. Ce n'est pas un thriller qui monte crescendo, cela reste juste plat quasi du début à la fin, avec quelques sursauts qui retombent très vite comme un soufflet trop cuit.

C'était un one-shot, une chance.