Karin Serres
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.76/10Nombre d'évaluations : 29
0 Citations 19 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
je l'ai joué en troupe de théâtre... c'est, je trouve, une très belle histoire touchante... même si l'histoire est un peu... particulière
Afficher en entierUn livre... étrange, qui regorge de sens cachés. C'est un livre à lire plusieurs fois, pour une meilleure compréhension.
Je ne pourrais pas expliquer ce que je viens de lire, mis à part le fait que l'on suive une dame: de sa naissance, à sa fin.
Une écriture très poétique (qui, avec une grande surprise, j'ai fortement accroché !), dans un "univers" qui me fait pas mal penser à celui de Miyazaki.
C'est une histoire à qui il faut laisser le temps de murir dans nos têtes... Je pense que j'en aurais le souvenir pendant un bon moment.
Au final, c'est un livre que je conseille, tout en ne le conseillant pas ahahah. (Restons dans le vague ! C'est une histoire dans laquelle il faut se lancer sans rien en connaître, il faut y aller tête baissée et se laisser emporter...)
Afficher en entierUn album sympathique sur un cochon qui devient électrique et attire la convoitise de ses propriétaires.
Afficher en entierhttps://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2019/01/happa-no-ko-de-karin-serres.html
On rencontre Madeleine, une ado banale, qui va se retrouve avec des mains vertes du jour au lendemain. Elle vit dans un monde futuriste dans lequel les robots et les jeux dominent. Kenji, un japonais du même âge, va aller à sa rencontre. Il a également les mains vertes. Leurs personnalités sont opposés. Madeleine s'inquiète de la couleur de ses mains et cherchent juste à se débarrasser de la couleur de ses mains. Kenji, lui, veut convaincre Madeleine de ce que son grand père lui a laissé. Je n'en dis pas plus.
Ce roman est un véritable mélange des genres en si peu de pages que c'en est dingue. Surtout qu'il est court. On y trouve du cyberpunk, de la dystopie, de l'écologie et c'est destiné à la jeunesse. Malgré le peu de pages, ce roman est cohérent et simple. En plus de tout ça, l'autrice a utilisé une légende japonaise : les "Happa no ko" (le peuple des feuilles). Tout s'enchaîne rapidement ce qui fait qu'on n'a pas le temps de ressentir grand chose. Dommage. Il y avait pourtant des scènes qui auraient pu faire réagir mais pas le temps du à l'enchaînement des scènes.
En bref, un roman fort sympathique qui aurait pu être mieux avec un rythme moins élevé.
Afficher en entierLecture très moyenne. Attirée par la couverture et l'esprit japonais qui semblait émaner du livre, ainsi que par le propos (l'humanité ne travaille plus, remplacée par les robots, et passe ses journées à jouer), j'ai été plutôt déçue par l'ensemble.
Malgré un super potentiel pour questionner la valeur travail, le récit tourne à la dystopie classique, parfois décevante parce que l'autrice n'explique pas, ou trop simplement, certaines idées.
Le côté japonais est très peu exploité - en dehors du titre et d'un protagoniste japonais, au final c'est presque plus un "appât" que quelque chose de réellement utile au texte.
Le style m'a paru très moyen, et pêche parfois par sa rapidité : on zappe des passages, si bien qu'au final on ne sait pas très bien pourquoi ni comment les adolescents se battent. D'ailleurs côté psychologie, on repassera aussi : Madeleine passe son temps à vouloir quitter ses mains vertes, peu importe leur signification, et le motif qui est donné à sa soudaine "rébellion" m'a paru bien faible.
Dommage, parce que je trouve que l'idée de départ était franchement bonne, mais je n'en ai pas du tout aimé l'exploitation. Une lecture en demi-teinte, donc, ni agréable, ni désagréable, et qui ne me laissera certainement pas de souvenir impérissable.
Afficher en entierDans un monde où la nature et le travail ont disparus, quoi de plus ironique que de se réveiller avec la main verte? Littéralement. Mais a quoi cela va t'il donc pouvoir servir? Madeleine française le découvrira petit à petit aux côtés de Ken japonais.
Une belle lecture poétique au cœur d'une dystopie écologique.
Afficher en entierC'est un livre dont il m'est difficile de parler, composé de trois romans courts, qui forment pour l'auteure une trilogie féminine.
Chaque histoire est celle d'une femme, sans nom, solitaire, entre deux âges, qu'on ne regarde pas et qui fait face à la vie.
Mais chaque histoire porte le nom d'une créature ou d'un animal : sirène, chien et limule.
La première histoire est, en un sens, la plus farfelue et poétique, et c'est celle que j'ai préférée !
La deuxième histoire, malgré une fin plus lumineuse que ce que j'attendais, est la plus tragique et la plus forte : elle traite de misère sociale de manière crue, sans concession.
La dernière est la plus banale en apparence mais a son charme et résonne avec les autres.
Chronique complète à retrouver sur mon blog :
http://tralilou-lit.over-blog.com/2019/09/les-silences-sauvages.html
Afficher en entierLisez ce recueil pour la nouvelle Chien. C'est la plus aboutie des trois. Elle a été pour ma part une grosse claque. Mais attention ce recueil plombe facilement l'ambiance. A résumer je parlerais de la violence de la société à laquelle trois femmes opposent leur silence.
Afficher en entierMalgré le nombre de pages qui est assez petit et un rythme très soutenu, cette lecture m'a parut une éternité. L'histoire ne m'a pas passionné plus que ça. Ce livre aurait pu permettre de faire passer de beaux messages, qui n'étaient pas présents ou bien que je n'ai pas perçu (à part un, celui qui est très explicite, sur le fait que les machines peuvent prendre contrôle des sociétés et les mener à leur perte).
Pour moi, le plus gros problème du livre est que son résumé donne plus envie que la lecture en elle-même. En suite, l'histoire est selon moi ce qui pêche après le résumé, car il y a beaucoup de facilités prise ( à chaque fois qu'un personnage a besoin de partir, il le peut grâce au trampoline, au café, à la pluie ... Clairement, il n'y a pas de moments où les personnages doivent assumer leurs problèmes.)
Au final, j'ai mis beaucoup de temps à me mettre dans le livre, je pense que si le livre avait été plus long, avec plus de détails et plus de péripéties, ce livre aurait pu me plaire un peu plus.
Afficher en entierUne histoire vraiment trop triste que j'ai lu quand j'étais au collège et qui m'a fait beaucoup de peine, ayant moi-même été victime de harcèlement à l'école. Un livre pas très épais et très facile à lire pour les jeunes lecteurs.
Je recommande
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Karin Serres
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Éditions du Rouergue : 3 livres
Flammarion jeunesse : 2 livres
Alma Editeur : 2 livres
Monica Companys : 1 livre
Lansman : 1 livre
L'Ecole des loisirs : 1 livre
Stock : 1 livre
L'école des loisirs : 1 livre
Biographie
Née en 1967, Karin Serres a écrit une quinzaine de pièces pour le jeune public, presque toutes créées, parmi lesquelles Katak, Chlore, Bitume Farouche, ainsi que des histoires. Elle écrit aussi pour les adultes.
Afficher en entier