Véronique Chauvy

Slow burn ++ ici vu que l'histoire se déroule sur plusieurs années !

Beaucoup de saut dans le temps à prévoir

On traverse certains événements historique

Quelques incohérences (l'utilité de Jérôme ?), les parents deviennent quoi ?

C'était pas un coup de cœur mais une agréable lecture

Une très belle histoire, qui se déroule sur plusieurs années. Nous suivons une jeune femme dont la vie bascule lorsqu'elle hérite d'une confiserie. J'ai apprécié ce personnage fort, courageux et tenace qu'était Juliette, dans ce monde où la place de la femme n'a rien à voir avec celle d'aujourd'hui.

J'ai aimé découvrir ce monde de la confiserie. La plume est douce, et le côté historique allié à l’aspect romancé m'a emporté !

Clermont-Ferrand, 1892. Lorsque Juliette apprend qu'elle est l'héritière d'une confiserie dont elle n'a jamais entendu parler, elle va tout faire pour monter sa propre affaire. Mais ce n'est pas du goût de tous...

J'avoue que je ne m'attendais pas tout à fait à cela. Je lis peu de feel good, et ceux que je lis ont tous pour sujet le monde du travail ou la cuisine. Aux douceurs du temps est particulier car l'histoire est fortement ancrée dans un terroir avec une tradition culinaire historique - les confiseries.

Toutefois nous avons quand même tous les points qui en font un feel good : des amours naissantes et contrariées, des obstacles sur le chemin de la réussite, etc.

En effet, Juliette luttera tout le roman pour se faire une place dans un monde d'hommes. Ce roman illustre bien la condition de la femme en ce début du XXe siècle. Mais aussi l'évolution du temps et des moeurs, avec l'exposition universelle, la première guerre mondiale...

Bref, un bon roman mais pas un coup de coeur, en effet Juliette, la confiseuse ne rencontre pas de réelles difficultés dans sa vie, tout est un peu facile. Aussi je trouve qu'il y a une incohérence à un moment, mais je ne peux pas dire laquelle sans spoiler. Enfin, certains personnages disparaissent sans que l'on ait de nouvelles.

Je remercie, chaleureusement, les Editions Borre de l'envoi du livre de Veronique Chauvy "Le dernier salut de l'amazone". C' est le premier livre de l'auteure que je découvre, mais surement pas le dernier. L'auteure happe ses lecteurs dés le début , et les tiens en haleine jusqu'au final. L'histoire est basée sur des faits réels.

l'auteure nous raconte l'univers du cirque et la place qu'il avait à cette époque. Une véritable effervescence, les yeux remplis de paillettes pour les enfants, les adultes à l'affut du clou du spectacle, qui sera la véritable vedette. Nous découvrons Jenny , qui est rentrée dans le milieu du cirque, elle en fait sa passion, et est totalement en osmose, avec ses chevaux. Suite à un revirement de situation, celles subvient au besoin de ses parents. Lors d'une représentation , elle rencontre le Baron de Balden, qui se soldera par un mariage, la belle Jenny devient baronne, . Une grande dame, qui est en osmose totale avec son cheval durant la durée du spectacle. La Baronne , par sa beauté attise le regard des hommes, rendant son mari dans une jalousie, intense.

Lors d'une représentation ,des coups de feux se font attendre, par qui pourquoi, qui est la victime, tant de questions qui j'espère trouverons leurs réponses a la fin de l'ouvrage, je ne vous en dis pas plus à vous de le découvrir.

Trente ans plutard, Wally, écrivain, devant un auditoire hypnotisé remet le sujet en avant, dans quel but?

Une thématique totalement originale , bien maitrisée ,mettant en avant avec brio, ce mélange réel et fiction. La plume de l'auteure est fluide agréable, visuelle. La lecture est envoutante, majestueuse subtile. L'auteure met met en avant la femme, au détriment de la notoriété de l'homme, un geste féministe mal vu à cette époque. Une histoire historique romancée, que j'ai lu avec passion. Une belle découverte.

J'ai apprécié la plume de l'auteure qui est très fluide et d'une grande douceur. Elle a su allier romance et histoire avec brio.⁣

J'ai aimé redécouvrir Clermont-Ferrand, faire un voyage dans le temps et naviguer entre deux siècles.⁣

J'ai essayé de m'imaginer cette jolie boutique entre la basilique Notre-Dame du port et la place Delille.⁣

Elle nous fait également voyager avec Juliette dans le Paris de la Belle époque où se déroulait l'exposition emblématique de 1900.⁣

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J'ai appris beaucoup de choses sur le métier de confiseur, un métier essentiellement réservé aux hommes à l'époque.⁣

Juliette, notre héroïne, va donc devoir se battre pour s'imposer dans ce monde du 19e siècle où les femmes sont encore si peu considérées.⁣

Les personnages sont forts et très attachants et ils donnent vraiment du corps à ce très beau roman.⁣

Hormis quelques soucis de rythme par moment, c'est un très bon roman feel good sur fond historique que je vous recommande et qui vous donnera peut-être également envie de visiter notre belle ville de Clermont-Ferrand 😊

J’ai eu un gros coup de coeur pour ce roman feel good “Aux douceurs du temps" paru chez J’ai Lu éditions que je remercie pour l’envoi de ce SP !

On fait la connaissance de Juliette, une jeune Clermontoise qui apprend qu’elle hérite de la confiserie léguée par un oncle dont elle ignore tout. Elle décide de tenter l’aventure mais parviendra-t-elle à se faire un nom aux côtés des plus grands artisans de la ville?

Cette histoire réunit tous les ingrédients d’un feel good envoûtant riche en rebondissements. On est tout de suite happés par l’ambition et les rêves de Juliette. L’héroïne est super attachante et courageuse. Elle ne se laisse pas faire et fait face avec courage à ses détracteurs qui ne cessent de lui mettre des batons dans les roues.

La plume de l’autrice est captivante et immersive. J’ai adoré suivre l’évolution de Juliette et sa confiserie tout en découvrant le métier de confiseur qui m’a longtemps intriguée.

A une époque où la femme est peu valorisée, Juliette casse les codes en prenant son destin en main et en s’affirmant coûte que coûte. Je suis sûre que son parcours va vous inspirer!

En bref l’intrigue est à l’image de la couverture toute mignonne qui m’a tout de suite attirée.

Un excellent moment de lecture qui nous ramène en 1897, mais également quelques 35 000 ans plus tôt…

J’ai été très attirée par cette image de couverture, et le récit m’a donné raison ! J’ai dévoré cette histoire, captivée par ma lecture. J’ai plongé à pieds joints dans ce roman, tellement même que je ne sais pas trop comment vous en parler.

Prenant, parce qu’on suit les découvertes de Julia et celles de Nicolaas (oui, avec 2 A). Qu’est-ce que j’aurais aimé être à la place de l’héroïne lorsqu’elle a découvert cette grotte ornée ! Je trouve très émouvant et magique d’être la première personne à poser les yeux sur des dessins vieux de 35 00 ans. C’est fascinant de constater qu’ils ont résisté au temps !

Et puis il y a la vie de Julia, celle d’une femme en avance sur son temps, dans un monde où les hommes « font la loi ». Une jeune institutrice déterminée, tenace, curieuse, qui cache un secret. Et surtout qui a une bien curieuse passion pour l’époque, la préhistoire. Ce qui n’a pas vraiment facilité son intégration.

La vie de Nicolaas aussi, l’étranger, qui vit à l’écart du village et dont les habitants se méfient. Un homme qui partage la même passion que l’institutrice.

Ce roman c’est aussi les connaissances de l’époque sur nos lointains ancêtres, la vie quotidienne dans un petit village du Périgord, avec ses ragots, ses jalousies, ses préjugés, ses médisances, sa bienséance parfois hypocrite.

Mais le livre nous réserve aussi en parallèle une plongée beaucoup plus lointaine, la destinée de Baram, notre ancêtre, que l’on suit à travers de courts chapitres écrits en italique…

Je n’ai qu’un seul regret, avoir déjà terminé. Mais c’est difficile de s’arrêter, de ralentir le rythme quand on aime une histoire. Je sais que vous me comprenez. On a beau se raisonner, le livre nous fait de l’œil et nous attire irrésistiblement...

Douce et même poétique, l’écriture est parfois acidulée sur certains sujets (la condition de la femme à cette époque, ou la préservation des vestiges par exemple). Elle est aussi très visuelle et décortique parfaitement les personnages que l’auteure sait rendre tellement vivants. Des images me sont venues spontanément à l’idée et je me suis surprise à encourager Julia, que j’ai adoptée tout de suite.

L’auteure nous offre un roman très bien documenté et une intrigue que j’ai suivie avec un plaisir non dissimulé. Et j’ai eu bien du mal à tourner la dernière page, à me dire que j’avais déjà fini.

Je ne connaissais pas Véronique Chauvy, mais je vais me pencher sérieusement sur le sujet…J’ai comme l’impression qu’elle n’a pas fini de me surprendre…

Il s’agit d’un roman historique aux accents féministes et provinciaux (dans le bon sens du terme !). J’ai aimé la visite de Clermont-Ferrand et celle de l’Exposition Universelle de Paris en 1900 ainsi que le contexte historique avec les thèmes abordés notamment l’émancipation des femmes, la mise en place de la loi de séparation entre l’Etat et l’Eglise…Pour les aspects négatifs, j’ai trouvé le style d’écriture un peu vieillot et une certaine lenteur dans le style. Le contexte de la confiserie est certes abordé mais on manque parfois du côté « gourmand-craquant » qui aurait pu faire saliver. L’héroïne manque aussi de charisme.

Un joli roman, qui dévoile la dureté d'être une femme dans un monde d'hommes ( et encore, c'est bien édulcoré !)

La lecture est facile, assez addictive. J'avais vraiment envie de savoir comment tout cela allait finir. J'ai tout de même eu l'impression que la fin était bâclée, vite fait, bien fait pour que ça finisse bien !

L'ivresse du vent par Véronique Chauvy

Publié en 2022

450 pages

J'ai lu ce livre au format papier

1905 : la sixième édition de la coupe Gordon Bennett, du nom du célèbre homme de presse américain, se prépare. L'Automobile Club de France a choisi pour cadre Clermont-Ferrand et son «circuit de la mort». Début juillet, dix-huit pilotes, de six nationalités différentes, s'affronteront le long des 549 km du circuit. Alors que se dévoile en filigrane une rivalité franco-allemande à travers coureurs et constructeurs, l'enthousiasme et la curiosité suscités par l'événement prévalent. Ainsi, hommes, femmes et enfants se pressent pour assister à la course et admirer les bolides. Il faut dire qu'à l'époque, rares sont les privilégiés à posséder une automobile. Gabrielle, jeune femme audacieuse et émancipée, a cette chance et compte bien faire sa place parmi les hommes. Autour d'elle, d'autres femmes de tous âges et d'horizons divers, sont bien décidées à s'affirmer elles aussi, en cette période de progrès et d'évolution.

Mon avis

J'ai passé un très bon moment de lecture grâce à Aymeric, mon libraire kube pour le mois de juillet.

Je dois dire que pour moi, en temps normal, ce livre est une lecture improbable.

Quand Aymeric me l'a proposé je l'ai accepté sans faire de recherche. Quand je l'ai reçu et en lisant la quatrième de couverture ça va être une catastrophe vu le sujet. Ceux qui me connaissent savent que j'ai horreur des sports mécaniques.

Ceci dit continuons.

Malgré tout, je dois dire que ce livre a été une belle découverte et surtout plein d'enseignement car même si le sujet central est la dernière Gordon Bennett automobile j'ai adoré le fait que 3 femmes du début du XXe siècle se battent, chacune à sa manière, pour que nous ayons les même droits que ces messieurs.

Je ne peux pas qualifier ce livre de féministe. Ce serait trop réducteur. Heureusement que des femmes comme Gabrielle, Hélène et Sabine ont existé pour essayer de faire évoluer la situation. Car il ne faut pas se leurrer que ce soit en 1905 ou en 2023 c'est le même combat même si notre situation en temps que femme a bien évoluer. Il reste tellement à faire.

Merci à ces pionnières