Jenny Colgan
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Note moyenne : 7.27/10Nombre d'évaluations : 1 616
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- Jenny T. Colgan
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Un roman simple qui parle finalement peu de Noël et de ses traditions hormis deux ou trois particularités écossaises (l'histoire se déroule à Edimbourg). Carmen, l'héroïne, et désinvolte. Depuis petite elle n'en fait qu'à sa tête, tout le contraire de sa sœur soit deux opposés que les fêtes de fin d'année vont rapprocher alors que Carmen tente de sauver une petit librairie de la faillite.
Carmen manque un peu de relief elle se veut singulière mais au final se rapproche assez des héroïnes des livres de Noël. J'aurais aimé que l'histoire de la librairie et son développement prennent plus de place dans le récit, que son propriétaire ait une place plus conséquente. La relation entre Carmen et sa sœur et somme toute banale. Attendrissante certes, sans que cela soit émouvant, à contrario de celle qui se tisse entre Carmen et ses neveux et nièces.
Dans l'ensemble les personnages sont sympathiques, attachants mais sans qu'il y ait un réel coup de cœur pour leur personnalité.
Il manque de magie, de traditions, d'ambiance de Noël, je n'ai pas eu d'étoile dans les yeux ni de papillon dans le ventre en ce qui concerne les histoires amoureuses, néanmoins "Noël à la petite librairie" reste un roman feel good qui se lit facilement et agréable à lire.
Afficher en entierJ'avais tellement hâte de découvrir le nouveau roman de Jenny Colgan, après avoir adoré la saga Une saison au bord de l'eau. J'ai eu la chance de rencontrer la romancière au Festival du Livre de Paris et de pouvoir acheter son roman en avant-première.
On y rencontre Morag, une jeune femme pilote, originaire d'Ecosse et qui suite à une mauvaise expérience de vol va être mise a l'épreuve avant de pouvoir à nouveau voler. En attendant un nouveau contrôle sur son aptitude professionnelle, elle va retourner dans les Highlands dont elle est originaire pour aider son grand-père, gérant d'une petite compagnie aérienne locale : La MacIntayre Air. Elle assure des liaisons locales et indispensables entre les petites îles écossaises. Morag ne le sait pas encore mais son retour aux racines va être un grand chamboulement dans sa vie.
J'ai passé un bon moment en retrouvant l'ambiance insulaire que Jenny Colgan sait si bien nous raconter. Au début de ma lecture j'ai eu un petit peu de mal à me mettre dedans, je crois que je cherchais à retrouver Mûre et ses habitants.
Ce roman feel good fait du bien, c'est sans prise de tête avec des sujets importants, j'ai aussi apprécié que l'héroïne remette en perspective ses objectifs de vie. La fin est toute tracée mais pour autant c'est un roman lumineux avec des personnages que je retrouverais avec plaisir (normalement ça sera une saga).
Alors qui prend son billet pour Inchborn ? 🛩
Afficher en entierUn roman sympathique mais sans plus, facile à lire et agréable pour une lecture détente. Malgré quelques clichés, l'histoire reste intéressante et l'environnement réconfortant (l'ambiance de petit village qu'on retrouve souvent chez Jenny Colgan).
Afficher en entierJe ne savais pas trop à quoi m’attendre en commençant ma lecture, n’ayant jamais lu l’auteure, alors quelle magnifique surprise. J’ai été complètement happé dans cette histoire, j’ai tout aimé (il y a peut-être quelques longueurs au début, mais rien de bien méchant).
J’ai beaucoup aimé l’héroïne, Morag, cette petite fille timide, de qui les autres enfants se moquaient quand elle était petite. Quand elle a découvert le pilotage, qui est une institution dans sa famille depuis plusieurs générations, ça a été une révélation pour elle. Elle se sentait libre quand elle montait à bord de Dolly, l’avion familial. Lorsqu’on découvre Morag, elle est à un virage de sa vie, après cette presque collision, elle se remet en question, retrouve son manque de confiance en elle. Mais elle tombe sur un homme qui la fait tout oublier, avec qui elle voit un avenir, peut-être même à Dubaï sur un poste pour lequel elle vient de postuler. Mais le retour forcé dans sa région natale au fond de l’Écosse va tout remettre en question. Quand Morag échoue sur cette île presque déserte, ou règne le silence et les animaux, elle va devoir ralentir le rythme. J’ai adoré voir cette évolution, finalement, cet atterrissage en pleine tempête sur cette île, c’est une bénédiction pour elle. Une pause nécessaire dans cette vie à cent à l’heure. Une fois sur l’île, Morag va devoir faire les choses différemment, elle va devoir lâcher prise. Le courant est coupé partout, elle n’a d’autres choix que de patienter, en essayant de ne pas rendre chèvre Gregor qui l’a accueilli chez lui. J’ai aimé voir Morag changé, prendre du temps pour des choses simples, même se rapprocher de Frances la chèvre et Barbara la poule (ces deux-là, franchement, je les ai adorés, surtout Barabara qui m’a fait beaucoup rire).
J’ai aussi beaucoup aimé Gregor, cet ornithologue passionné qui vient vivre en solitaire sur cette île six mois de l’année. Même s’il peut paraître plutôt froid et bougon, je l’ai tout de suite trouvé attachant. Il va se plier en quatre pour que Morag soit bien, au chaud après avoir été prise dans la tempête. Il va d’ailleurs agir comme ça pendant tout le séjour, on voit que c’est quelqu’un de patient et de bienveillant. Parce qu’il supporte plutôt facilement Morag, alors que cette dernière n’est pas toujours facile à vire, il faut le dire. Elle s’impose beaucoup, prend beaucoup de place, c’est une tornade hyperactive qui vient bouleverser le quotidien de Gregor qui est là pour le calme. Mais Gregor reste toujours gentil avec elle.
J’ai aimé la relation entre Morag et Gregor, ce sont de vrais opposés qui doivent cohabiter du jour au lendemain dans la seule maison de l’île. Ils m’ont fait beaucoup rire, Gregor ne comprend pas ce besoin frénétique qu’à Morag de devoir toujours faire quelque chose. Morag, elle, ne comprend pas cette passivité qu’à Gregor. Ce qui donne des scènes plutôt cocasses et vraiment drôles. J’ai aimé leur façon de se rapprocher, petit à petit, ils s’ouvrent l’un à l’autre, se confient. J’ai aimé ces moments simples de complicité. J’ai aimé que Gregor fasse découvrir sa passion pour les oiseaux à Morag, elle qui se plaît tellement à voler dans ses avions.
Parce que cette histoire, c’est ça, les métaphores et les rapprochements entre les oiseaux et les avions. On est complètement plongé dans l’univers du vol, que ce soit à bord des gros avions, des petits coucous, où grâce à l’observation des oiseaux sur l’île qui est une réserve ornithologique. J’ai beaucoup aimé les descriptions du ciel, j’ai ressenti le sentiment de liberté, la chance de voler au-delà des nuages que ressent Morag.
L’auteure en profite pour nous rappeler l’importance de la nature. En nous montrant que l’homme n’est rien face à elle. Quand la nature est tourmentée, qu’il y a des tempêtes, des orages, personne n’y peut, rien, elle gagne toujours. Même quand la marrée monte pour ensevelir un petit avion sur la plage, c’est elle la plus forte, nous devons nous en accommoder. Grâce à cette île ou les oiseaux sont rois, Jenny Colgan nous rappelle aussi qu’on se doit de protéger la nature, la faune comme la flore.
J’ai adoré me retrouver sur cette île avec les deux héros. Un endroit où le temps s’arrête, où les soucis ne sont plus les mêmes, où le réseau téléphonique ne passe pas, où on prend le temps de vivre l’instant présent. C’est un des messages les plus forts de cette histoire, il faut savoir profiter de l’instant présent, sans se laisser envahir par la vie qui file à toute allure, pas les notifications et les mails qui nous engloutissent au quotidien. Sur cette petite île, on peut souffler, on peut laisser les soucis un peu plus loin et profiter de ce que la vie et la nature nous offre.
J’ai beaucoup aimé trouver le thème de l’aviation dans cette histoire, j’ai lu peu de livres sur ce thème et ça change. J’ai aimé la façon dont l’auteure parle de l’aviation, elle transmet à merveille la passion de l’héroïne. Mais elle nous parle aussi de la place des femmes dans ce milieu plutôt masculin, la surprise des gens face à une pilote, j’ai trouvé ce point de vue très intéressant. Et puis, il y a Dolly, l’avion familial du grand-père de Morag, c’est un personnage à part entière dans cette histoire. L’auteur lui a donné une âme, je me suis autant attachée à Dolly qu’aux deux héros, j’ai eu très peur pour ce petit avion attachant.
J’ai adoré la plume de l’auteure, je l’ai trouvé belle, coloré, elle décrit à merveille les paysages écossais. Mais surtout, je l’ai trouvé très poétique, j’ai relu certains passages deux fois, tellement je les ai trouvés beaux.
J’ai adoré ce voyage dans les îles du nord de l’Écosse, un dépaysement complet le temps de ma lecture, c’est exactement ce que je cherchais. J’ai adoré le thème de l’aviation, que je n’ai quasiment jamais retrouvé dans une de mes lectures. J’ai adoré les deux héros, ils sont tous les deux très attachants et leur relation est belle et sincère. Il y a beaucoup d’amitié, d’amour familiale et une belle romance dans cette histoire, un coup de chaud au cœur pour traverser la tempête qui va changer la vie de notre héroïne. Ce livre m’a donné envie de partir en Écosse (encore un peu plus), de me poser sur les falaises, observer les oiseaux, entendre la mer et sentir le vent tout autour de moi. j’ai ressenti le sentiment de liberté, la chance de voler au-delà des nuages que ressent Morag. Bref, un coup de cœur que je ne peux conseiller, un livre qui fait du bien au cœur et qui donne des envies d’ailleurs…
Afficher en entierBof il y a beaucoup mieux
Afficher en entierConseillé par une libraire, j ai été agréablement surprise bien que j'ai eu du mal à m'accrocher. Les personnages sont drôles ( Edison, Lilian, Moray, Stephen)
Je me laisse aller à suivre leur quotidien campagnard et leur vie "simple".
La double temporalité entre Lilian et Rosie est intéressante et nous fait comprendre le chemin qu'à parcouru Lilian pour en arriver où elle en est. L' introsperion de Rosie est pas mal aussi.
J ai apprécié les recettes de bonbons qui accompagnent les débuts des chapitres et leurs anecdotes.
Serions nous tout(e)s prêt(e)s à faire de même?
Afficher en entierCarmen perd son travail et se voit dans l'obligation d'aller vivre chez sa soeur à Édimbourg. qui lui a trouvé un job pour la période de Noël. Peu enchantée par ce job, elle va faire de nouvelles rencontres qui pourraient bien la faire changer d'avis sur sa vie à Édimbourg. C'est le genre de roman à lira quand on a besoin de s'évader.
Afficher en entierUne lecture qui fait du bien.
Afficher en entierJ'ai adoré ! Coup de coeur !
Un roman fxeelgood, mais plus de 500 pages donc les personnages sont bien développés, les relations entre eux également. J'ai adoré l'histoire, l'univers des cupcakes... un bonheur !!
Et le petit plus : les recettes proposées tout au long du livre 😊😊
Vraiment une très jolie découverte !
Je vais essayer de me procurer la suite ! "Le cupcake café sous la neige"
Afficher en entierJe découvre Jenny Colgan avec ce livre. C'est une petite romance feel good sympathique, sans prise de tête et qui fait du bien après certaines lectures. On devine assez vite la fin mais les personnages sont attachants et, en plus, l'histoire se déroule en Ecosse, un pays que j'affectionne tout particulièrement.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jenny Colgan
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Editions Prisma : 15 livres
Pocket : 8 livres
Sphere Books : 4 livres
J'ai lu : 3 livres
Milady : 2 livres
France Loisirs : 2 livres
Berkley Books : 1 livre
Charleston : 1 livre
Biographie
Jenny Colgan est une romancière britannique, auteur de nombreuses comédies romantiques, et d’autant de délicieuses recettes de cuisine.
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