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Jean-Luc Englebert

Auteur

26 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par diablotin 2022-09-09T16:21:41+02:00

Biographie

Jean-Luc Englebert est né le 13 mars 1968 à Verviers et, du plus loin qu’il s’en souvienne, il a toujours voulu faire de la BD. Après ses humanités artistiques à Liège où, dit-il, il avait « un style Spirou » assez stéréotypé, il s’inscrit en section « bandes dessinées » à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles.

« A Saint-Luc, je rencontrais des gens qui avaient subi d’autres influences que les miennes. Ils me faisaient découvrir des univers différents, à mille lieues de la bande dessinée belge classique. (…) Anne Brouillard (…) Solotareff… Cela ne m’a pas empêché, à la sortie de Saint-Luc, de participer, avec des copains de cours, à l’unique numéro de « Mokka », une revue de BD aussi intello qu’éphémère. C’est là que j’ai commencé à comprendre que cette voie n’était peut-être pas la mienne. (…) C’est en retrouvant des albums de Solotareff à la Fnac que l’idée s’est imposée : Et si, moi aussi, je faisais un album pour enfants ? » Dès lors, tout est dit, rien n’est fait.

Il faudra trois ans à Jean-Luc Englebert pour « faire son apprentissage sur le tas et suivre, tout seul, le chemin que des études d’illustration auraient balisées de conseils, de rencontres et d’enrichissements mutuels. Plus que l’enseignement des techniques, c’est cela la richesse des écoles d’art : la confrontation des regards. Presque totalement isolé, j’ai progressé beaucoup plus lentement. »

Possible ! Mais peut-être aussi tant mieux ! Car les illustrations de Jean-Luc Englebert sont tout à fait particulières : des tons ocres, un peu éteints, en parfaite harmonie avec le dépouillement du décor. Sobriété des couleurs, sobriété du trait, comme pour mieux valoriser le personnage, comme pour souligner l’intimisme de l’histoire.

Ourson a disparu, Je suis le Roi (histoire plutôt biographique, selon ses sœurs…) puis Le petit cheval de bois dont le texte est d’Andréa Nève. Nouvelle expérience enrichissante pour Jean-Luc Englebert qui dit avoir éprouvé de terribles difficultés à tremper son pinceau dans les mots d’une autre pour leur créer un répondant visuel.

Jean-Luc Englebert est manifestement un dessinateur sans regret d’avoir renoncé à la BD. « Au fond, dit-il, je m’étais seulement trompé de voie, pas de destin ! »

Source : http://www.ac-reims.fr/

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Note moyenne : 6.13/10
Nombre d'évaluations : 8

0 Citations 7 Commentaires sur ses livres

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de Jean-Luc Englebert

Sortie France/Français : 2022-09-14

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Cellophane 2016-12-18T09:01:28+01:00
Un ours à l'école

Bon, c’est mignon. Petit album pour enfants qui devraient leur plaire : découverte d’un nouveau monde qu’est celui de l’école, dédramatisant l’endroit en le présentant comme étant cool ; entraide puisque tout le monde permet à l’ours de retrouver sa maman ; l’apprentissage, c’est chouette ; maman est câline ; acceptation des autres… C’est édité dans la collection Pastel et ça l’est cependant un peu, Pastel. Pas de grandes émotions, tout se suit de façon fluide, sans surprise, sans réel émoi (à part la maîtresse qui est tout de même bien embêté qu’il y ait un ours dans sa classe, oh, là, là…). Et ce côté un peu fade gâche à mon goût la puissance des sentiments que pourrait inspirer cette histoire.

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Commentaire ajouté par Amok66 2019-08-20T17:26:05+02:00
Ourson a disparu

Une histoire simple mais efficace. Petit reproche sur les illustrations que je trouve très sombres, bien que ce soit clairement un choix.

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Commentaire ajouté par Amok66 2019-09-20T00:23:33+02:00
Une histoire et un câlin !

Excellente petite histoire, très mignonne, qui parlera à tout les enfant qui ont tous au moins une fois tentés de dire à leurs parents :

"Mais j'ai pas sommeil..."

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Commentaire ajouté par Chachouw 2020-03-03T15:44:19+01:00
Hortensia

Autrice et illustrateur mettent en mots et en images une histoire de compassion et d'entraide mais sensibilisent également le lecteur à la question de la maltraitance animale de manière subtile à travers le personnage d'Hortensia.

Avec une narration à la première personne, Marie Chartres nous entraîne dans le quotidien difficile d'une chienne, Hortensia, attachée constamment à sa niche et ce, qu'il pleuve ou qu'il vente. Toujours seule, Hortensia tente de faire entendre son mal-être aux animaux qui l'approchent. Elle leur demande de l'aide car, plus que tout, elle souhaite être libre. Mais, hirondelle, chat, souris, mouton lui tournent le dos systématiquement fuyant ses aboiements et sa colère. Hortensia peine à se faire comprendre et n'a rien d'autre à proposer en échange de sa liberté, que de leur apprendre à aboyer à leur tour ce qui ne les intéresse guère...

Jusqu'à ce que l'âne prenne conscience de sa détresse...

Voici donc un récit touchant où l'illustration, lisible et expressive, tient une grande place.

Un album attendrissant à conseiller dès 6 ans.

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Commentaire ajouté par dadotiste 2021-10-20T23:13:59+02:00
Anna

Une douce histoire, idéale pour entrer dans l'automne !

.

Anna habite une maison qu'elle aime beaucoup, dans laquelle il est idéal de boire des chocolats chauds. Mais elle s'ennuie un peu car... il n'y a personne pour jouer avec elle.

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Un jour, pourtant, alors qu'elle est allée cueillir des châtaignes, elle remarque de la fumée dans la vieille maison abandonnée... Le lendemain, elle observe un jeune garçon qu'elle ne connait pas en train de pêcher. Viendrait-il d'emménager dans le coin ? Elle n'a pas le temps de plus y réfléchir qu'une bande de garçons méchants arrive et commencent à harceler le petit nouveau... Et il va se passer quelque chose qui va beaucoup inquiéter notre petite fille... Quelque chose de... magique !

.

Je ne vous en dis pas plus, je vous laisse le découvrir !

.

Un petit bémol toutefois pour la fin que j'ai trouvé beaucoup trop rapide... En effet, j'aurais voulu en savoir ... Ça pourrait être un très beau petit roman et, c'est déjà fini...

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Commentaire ajouté par Shaynning 2022-11-29T05:21:57+01:00
Frankie: Quel cinéma!

Incontournable Novembre 2022

Roman rocambolesque et déjanté, c'est le moins qu'on puisse dire, "Frankie: Quel cinéma!" propose l'histoire de deux personnages dépareillés, une jeune fille et sa tante.

Frankie une jeune fille qui aime la tranquillité, préfère le confort et n'est pas du genre bavarde. Au contraire, sa tante Paulie est exubérante, extravertie et créative. Frankie vit avec sa tante depuis le décès tragique de ses parents et leur cohabitation ne se fait pas toujours sans heurts. Avec leur sens du théâtre et leur vocabulaire un peu pompeux, Alphonse et Gustave, les deux majordomes de la riche Paulie, nous raconte ce jour post-anniversaire de Frankie, alors que Paulie veut rattraper le coup avec une activité hors de l'ordinaire. En cela, effectivement, proposer un rôle sur un plateau de tournage est une idée originale. Néanmoins, du matin au soir, tout va de travers, de leur arrivé couvert d'eau de pluie à cette scène de tournage qui tourne au désastre. Entre une brioche mal perçue, un garçon trop plastique, une équipe de tournage en sous-effectifs et des cheveux beaucoup trop huilés, le duo tante-nièce trouvera-t-il tout de même quelque réconfort à tout ce bazar?

Un des points forts du roman, à mon sens, est le choix de la narration par Gustave et Alphonse, de sensibles, distingués et dramatiques majordomes vraiment adorables. Un récit servit au "nous", donc, avec leur états d'âme et leurs réflexions conjointes toujours partagés. Un cas rare, en fait. L'humour est grandement servit par leur côté drama-queen, leur impuissance et leur évidente tendresse pour ces deux femmes qui partagent leur vie. Ces narrateurs témoins sont néanmoins participatifs et auront même été la cause de quelques unes des micro-catastrophes qui entraine la débâcle générale. Ce sont mes personnages préférés.

Frankie est un personnage introvertie, marabout, solitaire, timide et qui déteste être sous les feux de la rampe. Elle a néanmoins une réelle passion pour le cinéma, d'où la folle idée de s'improviser une journées sur les plateaux de tournage. Ça c'est l'idée de Paulie, qui est assez contraire de tempérament. C'est une optimiste, une entrepreneuse, une grande curieuse qui ne tolère pas un "non" comme réponse. Sa façon de s'imposer peut cependant être lourde, surtout pour une jeune fille qui aspire au calme et à l'intimidé.

Le personnage de Beauté est un réel rafraichissement. Je n'avais jamais vu un garçon englué dans le rôle superficiel du "Mini-Mister", car d'ordinaire, ce sont les filles qui écopent de ce rôle ingrat. Mais ici, nous avons un garçon qui fait des concours de beauté, avec un prénom ridicule, un masque de maquillage, un casque de produits capillaire et des vêtements stylés en toute circonstance. C'est un gentil petit bonhomme, un peu indélicat et naïf, mais bienveillant et enthousiasme.

Nos personnages haut en couleurs se partagent donc une journée sur un plateau de tournage, où les catastrophes ( relativement mineurs) s'enchainent. On en profite pour découvrir un peu l'histoire de Frankie, devenue orpheline. On découvre aussi son éloquence, trait qu'elle peut assurément employer pour cette publicité sur du jambon qu'elle doit tourner avec Beauté et tante Paulie. Un trait qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler sa tante.

Le roman traite assurément de la difficulté d'un enfant à survivre à ses parents et faire confiance à son tuteur, ici la tante Paulie, bien-intentionnée, mais souvent maladroite. Pas simple de concilier deux personnes à la personnalité si divergente. Aussi, il y a la question de prendre confiance en ses habiletés. Frankie le découvre en travaillant sur cette publicité, qui n'a finalement pas du tout la forme anticipée. Cela me rappelle les nombreuses histoires réelles de gens qui ont apprivoiser leur timidité grâce au théâtre et aux arts de la scène. Enfin, il y a la question des liens, que ce soit celui du sang ou celui de l'amitié. Frankie réalise la chance d'avoir sa tante, qui l'aime sincèrement, ainsi que les deux narrateurs, toujours aux petits soins pour elle. Également, l'une comme l'autre sont douées d'un certain engouement pour le monde des arts de la scène.

C'est donc une histoire mignonne, loufoque, remplie d'action et de bonne humeur malgré les dérapages cocasses. Une histoire pétillante, mais néanmoins sensible. Un roman illustré au crayon de bois, qui permet d'admirer la sympathique tête broussailleuse de Frankie, notamment.

Un petit remontant contre la morosité!

Pour un lectorat du second cycle primaire, 8-9 ans.

P.S: La phrase "comme un dictateur sur le point de faire une guerre éclaire", ainsi que le nom de famille Zilensky, me semblent être des clin d’œil à ce qui se passe actuellement en Europe de l'Est.

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Dédicaces de Jean-Luc Englebert
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Editeurs

L'Ecole des loisirs : 6 livres

Pastel : 4 livres

Dupuis : 3 livres

Lito : 1 livre

abc melody : 1 livre

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