Dave Stewart

Avec ce tome, on à le plaisir de retrouvé Faith et on constate que sa relation avec Buffy est toujours aussi difficile se que je trouve dommage car j'aurais pensé qu'elle aurais évolué avec leur combat contre la force.

Cette bande dessinée est une excellente surprise. Neil Gaiman crée une belle rencontre entre les univers d'Arthur Conan Doyle et Howard Phillips Lovecraft.

Un bon tome sympathique mais avec un potentiel mal exploité. Avec le retour de Zola, on aurais put s'attendre à quelque chose de beaucoup mieux comme les deux premiers tome de la série. Spoiler(cliquez pour révéler)Par contre, je trouve le fait que Jet fasse la girouette aussi facilement rend se personnage un grand gachis.

La déception. Sur le papier, mêler Sherlock Holmes et Lovecraft peut fonctionner, mais l'histoire va très vite, se résoud trop vite et nous laisse sur notre faim. Dommage.

Quelque part entre les univers de David Lynch et Howard Philip Lovecraft, LE MYTHE DE L'OSSUAIRE présente un univers aussi original qu'effrayant.

Au départ je n'étais pas attirée par le style graphique, mais il accentue l'ambiance particulièrement malsaine et malaisante du récit.

C'est prenant, blocant même, et passionnant.

Nouvelle plongée dans l'horreur et l'étrange pour ce second opus du Mythe de L'Ossuaire

Étrange, dérangeant et possédant une atmosphère particulière, on est totalement pris dans le tourbillon des souvenirs de Trish.

La narration est encore une fois géniale, on a une vraie cassure visuelle entre le passé et le présent... et le monde de l'autre bout du tunnel.

Du début à la fin, on est totalement transportés jusqu'aux dernières cases glaçantes.

Coup de cœur confirmé pour ce cycle absolument génial. Étant fan des univers de Lovecraft et de la Dark Fantasy, forcément c'est un titre qui répond à mes attentes en terme d'univers et d'ambiance

Ce dernier tome est un peu plus difficile à suivre, assez déstructuré, et le lore multiversel du scénariste paraît parfois assez obscur. Au final, on se rend compte qu'encore une fois on a une lutte du bien contre le mal, ce qui pour ma part rabaisse la qualité de la série à quelque chose de très conventionnel, pour un comics. La fin, elle aussi, est assez convenue.

"L'essentiel, c'est ce qu'on fait pour survivre. Ça montre notre vraie nature."

La première chose qui m'a sautée aux yeux c'est l'illustration. Les couleurs, l'ambiance sombre de l'espace avec ce contraste de noir face au rouge. Cette texture très intéressante, qui donne de la pâte. Et qui nous plonge dans le côté SF, dérangeant, nouveau, mystérieux de ce qu'il se passe.

"Tu voulais une arme ? Eh bien, cette arme, c'est nous."

L'histoire est au final très introductive, mais du coup je découvre qu'il y a une saga entière qui m'attend si je décide de me lancer. Prométhée étant un préquel. Les plans dans l'espace sont beaux, c'est ce que je préfère. Il y a une part de grandiose, de terrifiant, c'est plus beau et plus cru en même temps.

J'ai apprécié les différents points de vue qui apportent une richesse au récit. Surtout du côté des astronautes de la NASA. C'est assez intéressant de lire ça juste après avoir lu le premier tome du problème à trois corps, et vu son adaptation, sortie il y a quelques jours.

J'ai apprécié voir la galerie des couverture à la fin, ça apporte beaucoup je trouve. J'ai adoré la couverture alternive du numéro 1 par Andrea Sorrentino, l'alternative du 2 par Shawn Martinbrough. Et les autres également.

"Les révélations ? Chapitre treize, verset treize... "Le feu des cieux""

Un bon préquel, je n'ai pas du tout lu la série et je ne connaissait pas mais il donne fortement envie de se pencher dessus et d'explorer cet univers!

D'habitude je n'aime pas ce genre de trait mais ils collent parfaitement avec l'ambiance de la BD et certaines planche sont magnifique!

Je me suis beaucoup attaché au personnage de Darla que j'ai trouvé très touchant.

#NetGalleyFrance

Une lecture assez sympathique bien que pas du tout mon style habituel. Pour connaître un peu le genre, je n’ai pas trouvé l’histoire bien originale, on est sur un « début » relativement classique.

Il n’empêche que je suis assez curieuse de découvrir cette série.