Tony Hillerman
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 8.1/10Nombre d'évaluations : 90
0 Citations 72 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Plus je lis les livres de Tony Hillerman plus j'en redemande. Les intrigues sont riches mais sans épater par le sang, le glauque, le violent. Les personnages attachants. La nature omniprésente et magnifique. Et la culture et traditions amérindiennes fidèlement rendus. Loin des polars "à la mode", les livres de Hillerman sont une valeur sûre.
Afficher en entierDans ce volume, toutes les histoires deviendront les supports pour d'autres volumes. Une manière de découvrir comment Tony Hillerman a construit son univers
Afficher en entierCe roman a deux avantages pour moi, c'est un polar parmi les Amérindiens.
Deux sujets que je convoite. J'aime aussi les grands espaces, la nature, leurs coutumes… Il y a même un glossaire à la fin du livre pour mieux comprendre les navajos.
L'histoire est palpitante, mais trop répétitive au début. Il faut bien un hic…
Une fin évidente, mais j'ai apprécié les petits rebondissements, une issue somme toute très américaine…
Une sorte de western moderne, qui me pousse à découvrir d'autre ouvrage de cet auteur.
Bonne lecture !
Afficher en entierSi vous aimez les romans policiers, les Amérindiens et la nature, ce livre est fait pour vous.
J’ai découvert cet auteur, il y a peu avec « l’homme squelette » depuis dès que je déniche une de ses œuvres, je l’achète.
À force de lire, je me découvre une nouvelle passion pour la littérature dite « western » et « vieux polars ».
J’ai donc passé un agréable moment, jusqu’au bout, je me suis laissé emporté par ses intrigues.
Et Jim Chee est un policier de la réserve hors pair. Je crois que je suis amoureuse…
Bonne lecture !
Afficher en entierPersuadé de tenir une pépite entre mes mains fébriles avec ce polar navajo susceptible de se trouver en bonne place aux côtés des polars samis de Olivier Truc, mongols de Yan Manook ou zoulous de Caryl Férey, je suis tombé de haut. Sans me faire mal, fort heureusement.
Les héros, Jim Chee et Joe Leaphorn, travaillent pour la police tribale navajo (à rapprocher de la police sami des rennes, d’Olivier Truc), ce qui laissait augurer de très bonnes choses.
Mais, problème, le côté Navajo de ce polar, ethnologique à l’extrême, est carrément universitaire. J’ai eu l’impression de lire une thèse de doctorat, intéressante, certes, mais réservée à des spécialistes : « Premièrement, personne ne pouvait affirmer avec certitude que cette fille de l’homme du Peuple de la faim était une sœur de clan de ce fils du Peuple à la Parole Lente et du Dinee de l’Eau Amère, et deuxièmement, la voie de la Beauté du Peuple Navajo était minée par de jeunes shamans qui étaient trop paresseux pour apprendre les règles que le Peuple Sacré avait enseignées, ou trop disposés à mal exécuter les rites cérémoniels et, par conséquent, à les adapter au monde des biligaana. » Glossaire obligatoire (disponible à la fin de l’ouvrage), ce qui altère forcément la lecture. Et, en ce qui me concerne, le plaisir.
Quant à l’intrigue, un trafic de cannes sacrés qui fait, là encore, penser aux tambours samis de Truc, elle se révèle terne à souhait et ne parvient malheureusement pas à faire décoller l’ensemble.
La série navajo de Tony Hillerman comportant dix-huit romans (celui-ci est le onzième), je retenterai ma chance. En commençant, tant qu’à faire, par le premier. Affaire à suivre...
Afficher en entierPour une fois, Tony sort de sa réserve, petit clin d'oeil à ses principaux écrits, et s'aventure en Asie au moment où son pays perd la guerre du Vietnam et dont les conséquences seront terribles.
Afficher en entierTrès bonne histoire. C'est toujours un plaisir d'en découvrir davantage sur le peuple navajo, d'autant plus au travers d'une intrigue policière. Spoiler(cliquez pour révéler) Dommage cependant, je n'ai pas compris pourquoi le tueur à gage a tué son commanditaire lorsqu'il a découvert son identité...
Afficher en entierUn très bon volume des enquêtes de Leaphorn et Chee. Les sites archéologiques, une disparition mystérieuse, des rivalités, une vielle histoire. Tous les ingrédients sont réunis pour un polar captivant. Et les personnages récurrents rendent la série très addictive.
Afficher en entierCette enquête me semble moins passionnante que les précédentes. On quitte les paysages de l'ouest américain pour Washington où deux policiers Navajo se croisent en suivant deux pistes qui les mèneront vers une affaire complexe.
Afficher en entierTony Hillerman dans ce roman a changé de registre.
Ce n’est plus un policier navajo, mais un journaliste surnommé Moon, qui part au philippines, puis au Vietnam cherché sa nièce et comprendre comment son frère est mort.
Une histoire fascinante loin de ce que cet auteur faisait d’habitude, mais tout de même intéressante.
J’ai , tout de même, moins accroché, mais je ne regrette pas ma lecture, une dès raison première c’est que j’apprécie cet auteur et que je compte bien lire tous ses ouvrages…
Bonne lecture !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Tony Hillerman
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Rivages : 35 livres
HarperCollins : 17 livres
University of New Mexico Press : 3 livres
Gallimard : 3 livres
Penguin Books Ltd : 2 livres
Emmanuel Proust : 2 livres
HarperAudio : 2 livres
HarperTorch : 2 livres
Biographie
Tony Hillerman (né le 27 mai 1925 à Sacred Heart (Sacré Cœur), Oklahoma) est un auteur américain de romans policiers ethnologiques et d'essais. La plupart de ses romans se passent dans la région des « Four Corners », (les quatre coins) à la frontière du Nouveau-Mexique et de l'Arizona : les protagonistes en sont Joe Leaphorn et Jim Chee de la police tribale Navajo.
Tony Hillerman est un ancien combattant décoré de la Seconde Guerre mondiale qui a travaillé comme journaliste de 1948 à 1962. Il réussit alors une maîtrise de journalisme qu'il enseigna de 1966 à 1987 à l'université du Nouveau-Mexique à Albuquerque.
Ses écrits sont appréciés pour la qualité des détails culturels qu'il utilise pour décrire ses personnages : les Hopis, les Navajos, les immigrants européens, aussi bien que les agents fédéraux. Ses travaux, romancés ou non, reflètent son goût profond pour les merveilles et les habitants du sud-ouest nord-américain et particulièrement pour les Navajos.
Tony Hillerman a reconnu s'être inspiré de l'écrivain australien Arthur Upfield pour introduire l'ethnologie dans un polar, ce qui n'enlève rien à la qualité de ses romans, dont les personnages paraissent bien plus actuels et travaillés que ceux de son prédécesseur.
(Wikipédia)
Afficher en entier