Koyoharu Gotouge

Une suite à la hauteur du premier, j'ai hâte de lire la suite...

Bonne lecture à tous !!!

J'ai un peu moins aimé celui ci avec l'arrivée d'un nouveau un peu dérangé, j'attends tout de même la suite...

Bonne lecture !!!

Une nouvelle mission dans le quartier des plaisirs.

Un très bon tome Uzui me fait beaucoup rire avec sa fausse arrogance et sa manie de vouloir qu'on l'appelle Dieu ! J'aime particulierement la transformation des 3 disciples !

Toujours un plaisir de poursuivre les aventures de Tanjiro ! J'adore découvrir le coté plus doux et plus incertain de Uzui, cela le rend infiniment touchant

Depuis ma lecture, je ne me souviens plus vraiment de mes impressions. Mais il me semble que j'avais vraiment beaucoup aimé! Voir Tanjiro faire tout son possible pour apprendre à devenir Pourfendeur dans l'espoir de soigner sa sœur montre à quel point on peut être prêt à tout pour les personnes qu'on chérie!

Nous sommes au Japon de l'ère Taishō (1912-1926).

Après le massacre de sa famille, un jeune garçon tente de sauver sa jeune sœur Nezuko, transformée en démone.

Tanjiro souhaite à tout prix devenir un pourfendeur de démons, et trouver un antidote afin de rendre une apparence humaine à sa sœur...

Un plaisir de revenir dans cet univers, ou la fraternité à une grande place. Tout aussi grande que le combat contre les démons.

On passe par la camaraderie, à l'humour, au cauchemar. C'est vraiment l'atout clef de ce manga

Koyoharu Gotouge ne ménage pas ses personnages et encore moins ses lecteurs. La bataille se déchaine avec son lot de conséquences. Les piliers tombent et il est difficile de leur dire au revoir.

Un tome encore intense où on découvre une fois de plus toute la puissance de Muzan. Cet être infâme dont le cœur est aussi cruel que la version de son corps de démon. Les combattants restants s'unissent guidés par Kiriya Ubuyashiki, le fils de Kagaya Ubuyashiki. Après le décès de son père, il dirige l'Armée des pourfendeurs de démons en tant que 98ème chef. Mais la force dévastatrice de Muzan ne cesse de faire des victimes.

C'est un tome poignant et sanglant, où on prie à chaque page pour que les victimes arrêtent de tomber comme des mouches. Tous sont blessés et dans un état critique, pourtant, ils luttent !

Koyoharu Gotouge enfonce le clou avec des adieux déchirants, des retrouvailles inespérées après la mort et un Flash-back sur Yoriichi.

La suite promet de nous comprimer le cœur surtout que Nezuko semble rejoindre son frère en très mauvaise posture.

J'en suis à me demander s'il y aura des survivants ou si Demon Slayer reprendra la même phrase culte de Koh Lanta : à la fin, il en restera qu'un !

La tension est à son paroxysme dans ce tome consacré au combat final entre les piliers et Muzan. Les pourfendeurs de démons sont tous physiquement à bout, les blessures sont profondes et certains repoussent leur limite. Ils sont prêts à se sacrifier pour permettre aux autres de réussir. Ils se soutiennent, s'épaulent, on les sent plus unis que jamais. 

Muzan démontre une fois encore sa puissance avec ses nombreux cœurs et ses cerveaux, mais c'était sans compter sur l'intervention de Tamayo. En voyant les souvenirs de Tamayo, Muzan apprend que Tamayo, Yushiro et Shinobu ont développé un médicament en y ajoutant un poison capable d'accélérer le vieillissement. Le corps de Muzan s'affaiblit donnant l'occasion aux pourfendeurs de démons de reprendre la main. 

Une fois de plus, on assiste à la chute des pourfendeurs de démons. Entre les morts et les blessures graves, on retient notre souffle et on reste admiratif face à tant de détermination. 

Ce tome nous permet également de découvrir le passé d'Iguro Obanai et de son lien avec Kanroji. Le flashback est court, mais suffisant pour voir toute la noirceur de son enfance. 

La connexion entre Tanjiro et Yoriichi va permettre au jeune pourfendeur de découvrir une technique qui pourra faire toute la différence contre Muzan. 

La fin donne des frissons : Nezuko se souvient de qui elle est et redevient humaine... 

Un tome incroyable, même si le combat traine un peu en longue. On sent que la fin est proche et on n'a pas fini d'être surpris !