Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 705
Membres
1 027 559

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Philippe Henry

Auteur

15 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Philippe Henry, Le legs (sortie le 17 décembre aux Editions Nouvelle Bibliothèque)

FRÉDÉRIC FRÈRE·LUNDI 17 DÉCEMBRE 2018

Philippe... Aaah Philippe... Cet auteur ne laisse personne indifférent... Un franc parler qui parfois peut irriter, agacer, chatouiller... Mais un franc parler à bon escient. Honnêtement, il m’a fallu du temps pour appréhender Philippe... et ma patience, ma curiosité humaine s’en sont trouvées récompensées. Parce qu’au bout de ce chemin de la découverte, il y a un homme. Attachant et sincère. Loin de moi de prétendre que je décline Philippe sur les dix doigts des mains... très loin de moi... Mais le regard et l’approche sont très différentes aujourd’hui...

Philippe, nous l’avons découvert par hasard... Au gré d’une veille attentive... Un ouvrage découvert très atypique avec un titre qui, personnellement m’a fait rêver...et que je ne désespère pas d’éditer aux Editions Nouvelle Bibliothèque. Mais pas en guise de premier ouvrage ! Parce qu’il en est de son travail d’écriture comme de l’homme. Il faut prendre le temps de le découvrir et de l’appréhender... Et quand on commence à deviner qui est Philippe, alors à ce moment, nous sommes mûrs (enfin, cela n’engage que moi, bien entendu) à le découvrir pleinement et toutes œillères enlevées.

Aujourd’hui, je n’aurai pas à creuser beaucoup pour vous parler de cet auteur. Il le fait très bien (et à sa façon à lui) tout seul... Si vous n’avez pas encore découvert sa présentation sur le blog de Marie-Hélène Fasquel ( https://sharingteaching.blogspot.com/), je vous la livre ici. Tout ce que Philippe souhaitait dire s’y trouve... à sa manière.

“ On devrait laisser écrire sa biographie par les autres. Ce serait beaucoup plus simple. Une hagiographie, ce serait parfait. Mais peut-être trop long finalement. Le mieux, que j’essaye de résumer et de conclure par quelques flashs sur des périodes ponctuelles. Par contre, je vous préviens, je suis bavard. Le résumé est une chose qui me fait souffrir. Ou alors, se contenter des faits. Rien que les faits en reconnaissant toutefois que les sélectionner serait déjà sortir de la pure objectivité factuelle. Par exemple :

- Je m’appelle Philippe Henry (Henry, c’est le nom de famille. Les gens confondent souvent). Je suis né le 26 janvier 1950 à Paris dans le 10ème…. Et déjà, les problèmes commencent ! Jusqu’à 16 ou 17 ans, je croyais être né le 25 janvier. C’était le jour anniversaire de ma mère. Dans la famille, on avait regroupé. Vous voyez, déjà je parle de ma mère. Est-ce bien logique ? Ah aussi, j’ai vu sur la photocopie de l’extrait de naissance, c’est ma grand-mère qui est allée à la mairie me déclarer. J’ai vu sa signature. Pas normal non ? Que faisait-il mon père le 25 ou 26 janvier 1950 ? En plus, à cause de cette grand-mère, j’ai eu les cheveux longs entre un et deux ans. Que voulez-vous, elle voulait tellement une petite fille… A mon avis, cela laisse forcément des traces... Mais, faut-il vraiment que je vous parle de ma grand-mère ? Je ne sais plus. Revenons-en aux faits :

- J’ai été scolarisé très tôt. Du coup, lorsque mes parents ont déménagé, on m’a fait rentrer à 4 ans en 11ème. J’étais en avance sur le programme. J’en savais trop. En même temps, sans me le rappeler vraiment, je pense que je n’étais pas tout à fait en phase avec mes petits camarades. D’ailleurs, dans la cour de l’école, rue Boileau, je demandais souvent aux autres « On est le matin ou l’après-midi ? ». Pas normal non ? Forcément, j’ai redoublé ma sixième. A cet âge-là, je lisais beaucoup. Je me souviens, allongé sur mon lit, en Normandie, cet énorme livre des Misérables !

Fantastique. J’avais le virus. Après, rien (enfin voyez quand même la rubrique des flashs à la fin de la bio…) Pas grand-chose de marquant en tout cas jusqu’au bac et la fac. Nanterre en 1967, cela ne vous dit rien ? Eh oui, j’ai suivi ma licence de lettres dans le berceau de la révolte étudiante. Bon, mais les évènements de 68, je les ai surtout écoutés à la radio.

- Dans ma famille, on était besogneux. Ma mère - toujours elle - s’esquintait à faire vivre la famille à défaut de voir mon père rapporter de quoi faire bouillir la marmite. Quant à moi, très jeune et jusqu’au moment où j’ai cessé mes études, je passais mes étés à gagner de l’argent. Pour arrondir mon argent de poche au début, et m’acheter à peu près ce que je voulais par la suite. J’ai exercé un nombre conséquent de petits métiers. Du Prévert ! J’ai gagné pas mal de sous d’ailleurs. Mais évidemment, je passais beaucoup plus de temps à travailler qu’à me faire des copains. Cette fois-ci, le problème n’était pas que j’étais trop jeune, mais que je travaillais et pas les autres.

- Comme le goût à travailler et gagner sa vie tout seul laisse des traces, à peine ma licence de lettres modernes obtenue, je me suis précipité dans la recherche d’un vrai travail. Je me serais bien vu enseignant mais ma grand-mère (encore elle) m’avait dit un jour en me montrant de beaux immeubles « Tu vois, pour habiter là, il faut que tu travailles beaucoup ». Alors, je voulais arriver à gagner plein d’argent. C’est comme cela que je suis très vite entré dans une banque. (Je note au passage que c’est principalement pour gagner de l’argent et se payer un logement que Céline a écrit Voyage au bout de la nuit. Évidemment, tout cela est sans rapport)

- Ma jeunesse m’a suivi tout au long de ma carrière dans cette banque. Le plus jeune gradé de Paris, le plus jeune cadre, etc… Un jour, je suis allé dire aux gens de la DRH que j’en avais assez que l’on me demande de prendre mon mal en patience. D’accord, mon tour viendrait, mais est-ce que l’on ne pouvait pas essayer tout de suite ? Évidemment non. On est en France. Alors j’ai changé de banque, et cela a plutôt bien réussi. Bref, j’ai eu la chance d’aimer mon travail et d’y très bien gagner ma vie. Au passage, je me suis marié et j’ai eu deux enfants. Il me semblait que j’avais atteint le summum.

- Bien plus tard, vers 50 ans, j’ai gagné pas mal d’argent en bourse. C’était l’époque de la bulle internet. Elle était tellement grosse que j’ai vendu un mois avant qu’elle explose. Je me suis fait quelque chose qui n’était pas très éloigné de la fortune. Cela m’a semblé être une position suffisamment assise pour dire à un nouveau patron (vous le retrouverez dans un de mes livres… devinette) que je refusais de travailler avec lui. On m’appréciait beaucoup dans ce groupe bancaire. Ils ont hésité, et puis quand même non, on ne désavoue pas un haut cadre que l’on vient de recruter et avec qui on fait des parties de golf. On m’a viré, et on m’a redonné encore de l’argent. Je n’ai jamais eu besoin de reprendre le travail, sans pour autant vivre dans l’opulence. C’est vers cet âge-là aussi que j’ai commencé d’écrire des vrais livres (enfin, ils étaient vrais selon moi. Comme ils n’avaient pas de lecteurs, personne ne m’a détrompé).

- Et donc maintenant je fais pas mal de choses. D’abord, nous avons beaucoup voyagé. Avec les enfants au début et puis après avec mon épouse. Nous ne sommes pas allés partout, mais quand même beaucoup d’endroits. Nous sommes souvent revenus plusieurs fois à certains endroits. Viet Nam, USA, Venise. Comment ne pas revenir souvent à Venise ?

Après avoir passé notre vie à Paris ou à proximité, nous nous sommes installés au pays basque, entre mer, piémont et Espagne. Entre autres, j’écris et je lis. Je relis beaucoup. Des grands « classiques ». Enfin mes classiques à moi : Céline, Proust, Woolf, Duras, Faulkner, Montherlant… Rien que des morts. Parfois quand même un livre récent qu’on me demande de lire. Au fond je ne regrette pas souvent. Récemment, ce qui m’a le plus plu c’est un recueil de nouvelles : L’enfant fou, de Brian Merrant. Et puis Corps et âme, à cause de la musique.

Pour ce qui est de l’écriture, j’ai un problème : j’écris des choses très différentes. Mon lectorat, si j’en ai un un jour risque de se perdre.

Le plus souvent, c’est assez sérieux. Des romans psychologiques, avec pas mal d’empathie pour mes personnages. Et peut-être un fond de sensibilité trop marqué (peut-être à cause de cette histoire de queue de cheval entre 1 et 2 ans ?) Et puis quelques romans « policiers ». Je mets des guillemets parce que je parle parfois de tout et de rien dans mes histoires. Enfin bref, j’essaye un peu tous les genres, parce que je suis du genre curieux.

Accessoirement, j’écris des romans déjantés, avec pas mal d’absurde. Pour vous dire le premier était une histoire qui se passait à Paris en 2020 et où intervenaient des inconnus et aussi François 1er et Céline. C’est complètement délirant mais moi, que voulez-vous, cela me fait rire et me détend.

Ce capharnaüm, cela fait un peu brouillon mais que voulez-vous, je déteste l’idée de me spécialiser.

Quelques flashs…

- Vers quinze ans, un monsieur aux cheveux gris, vêtu d’une pelisse de cachemire, tout droit sur son cheval, me demande, à moi qui viens de me faire embarquer sur une piste du champ de course avec un cheval dont je m’occupais en tant que lad « A qui appartenez-vous jeune homme ?». Le ton était sec. On aurait pu croire que c’était Louis XV qui m’interrogeait. Non, lui, c’était le baron de Rothschild.

- Vers la même époque, une dame délicieuse m’avait progressivement rempli un saladier de billets de 10 francs en guise de pourboire pour emmener sa toute petite fille se balader à cheval en longe sur la plage. Bon, le fait que quelques années plus tard cette gentille maman avait dû faire pas mal d’années de prison pour avoir fait assassiner son gendre ne pouvait pas me poser de problèmes. A l’époque, je ne voyais que mon saladier qui se remplissait, se remplissait…

- Une année plus tard, le président Senghor à qui je venais de servir un Schweppes me donne un billet de 500 francs (à l’époque c’était des francs) en guise de pourboire. Il ajoute sans rigoler : J’espère que cela ira, je n’ai jamais rien compris à l’argent français…

- Et puis quoi encore... ? Ah oui, toujours vers cet âge-là, il a fallu que je porte ma grand-mère dans un ascenseur, avec l’aide d’un ambulancier, pour la ramener chez elle. Un détail : elle était morte depuis déjà quelques heures…

- Juin 1970, je n’ose pas dire à la banque qui veut m’embaucher que je sortais de la fac. Ce que je voulais, c’était me mettre au travail. Alors je postulais pour n’importe quel poste. Les études, cela aurait fait curieux. Ils ont voulu me recruter sur une dictée. J’avais quand même une licence en lettres… J’ai fait volontairement quelques fautes. Il faut ce qu’il faut (en fait, j’en fais encore aujourd'hui…). Ils ont bien voulu de moi mais c’est une autre banque qui m’a pris. Cela a duré 10 ans. A celle-là, j’avais dit la vérité. Enfin pas tout. J’ai menti sur mon service militaire. Quand il a fallu partir, comme j’avais travaillé avec un certain acharnement, j’étais déjà cadre d’un niveau très correct. Là-bas, ils sont tombés des nues. Ils n’avaient jamais vu cela. Heureusement, tout s’est terminé à l’hôpital Percy dans le pavillon des malades mentaux. Mon service a dû durer une petite semaine. Un secret : en fait, je ne suis pas si fou que cela.

- Plus tard, dans la banque où je travaillais, je me permets devant un public d’une centaine de personnes de rabaisser le caquet à un monsieur qui avait été directeur du trésor, secrétaire général de l'Élysée et d’autres choses encore que je ne vous dirai pas. Je crois qu’il a fait

“Oups “. Vers cette époque-là, j’ai indirectement participé, mais en tout cas parfaitement compris un petit montage financier qui avait permis à une grande famille d’industriels de ramener en France une partie de sa fortune. L’ingénierie financière, c’est beau comme de la poésie !

- Cela est absolument sans rapport avec le fait qu’on ait retrouvé celui qui fut mon patron pendant 10 ans dans une forêt près de Paris avec une balle dans la tête. Ce sont, après tout, des choses qui arrivent.

Il y a sûrement d’autres choses, mais là, cela ne me vient pas. Et puis, il ne faut pas exagérer. Tout le monde a eu des petites aventures dans sa vie.

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
4 lecteurs
Or
14 lecteurs
Argent
3 lecteurs
Bronze
1 lecteurs
Lu aussi
1 lecteurs
Envies
19 lecteurs
En train de lire
0 lecteurs
Pas apprécié
0 lecteurs
PAL
3 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 6.78/10
Nombre d'évaluations : 9

0 Citations 18 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Philippe Henry

Sortie Poche France/Français : 2009-04-02

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Philippe-85 2019-02-28T16:59:49+01:00
Le Cri

5

Suzanne Drouin sur MBS

J'ai beaucoup aimé le sujet de ce livre ainsi que le suspense que l'auteur a su transmettre au lecteur. Je dirais même que plus j'avançais, plus le suspense était intense. Bravo ! C'est bien écrit et très intéressant. Depuis que j'ai rejoint bestsellers.com, c'est le meilleur livre que j'ai lu.

Publié le 26 Décembre 2018

Afficher en entier
Commentaire ajouté par guigand 2019-03-01T17:51:15+01:00
Le Legs

Un roman puissant, qui nous rappelle la souffrance de notre passé.

Un après guerre si paisible, pourtant des secrets, des non dits vont tout chambouler.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Constancedufort 2019-03-28T18:52:08+01:00
Le Legs

Un livre qui se lit d'une traite en alternant plusieurs voix. La lourdeur du secret de famille est palpable et les personnages attachants. Un bon moment de lecture.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Constancedufort 2019-03-30T08:31:36+01:00
Le Legs

Une plongée dans la vie d'une famille dont le bonheur apparent cache un lourd secret. Un grain de sable enraye la machine et ... Un roman choral qui plonge dans la psyché des 5 protagonistes de cette histoire de mémoire et d'oubli. Si parfois la redondance de certains événements racontés par plusieurs protagonistes a pu freiner ma lecture, j'ai apprécié cette histoire simple dans son déroulement mais complexe dans ses sentiments.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Marie-Helene-7 2019-07-09T13:40:54+02:00
Le Legs

Un livre très bien écrit, tel que nous les aimons : fin, délicat et tout en nuance lexicale.

Un suspense créé en partie par le mode d'écriture : cinq personnages - une famille - sont narrateurs et construisent le récit, progressivement. Une histoire de vengeance dans un contexte cruel. Ou comment s'en sortir et faire ou non les bons choix pendant la guerre, dans des moments où tous les repères, la morale et beaucoup de notions perdent, malheureusement, de leur sens.

L'ironie dramatique, qui résulte de l'absence d'un narrateur omniscient, permet au lecteur de mieux comprendre les différents personnages ainsi que leurs motivations.

Un texte très fort que l'on doit découvrir et non révéler dans une chronique...

Un ouvrage qui ne cède pas à la facilité, qui rend compte d'une réalité mouvante, contradictoire et dure, sans jamais tomber dans le pathos.

Un très grand livre !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Marie-Helene-7 2019-08-29T09:35:42+02:00
L'Ultime Tenant

Comme d’habitude (j’ai adoré les deux autres romans de Philippe Henri), l’auteur nous comble avec son style, son écriture élégante et fluide, mais aussi avec une intrigue originale et passionnante. Les thématiques de la famille dans laquelle chacun haït son prochain, dans laquelle les reproches fusent, des aléas de la vie, le cancer, le bénévolat, sa propre personnalité qui ne nous aide pas toujours,… alliées à de nombreux rebondissements, à un incipit fabuleux, font de ce livre une pépite à dévorer avec gourmandise !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Philippe-85 2019-08-29T16:35:56+02:00
L'Ultime Tenant

Critique d'un Client d'Amazon

4,0 sur 5 étoiles

Un récit attachant qui vous capte

27 août 2019

Format: Broché

Julien, devenu gendarme comme on se jette à l'eau, pour lutter contre une sensibilité excessive, se partage entre le bénévolat au profit d'enfants cancéreux et les contraintes de son métier, à l'opposé de sa sensiblerie.

Ainsi, il pénètre au sein de la famille Frioux, chez qui un meurtre a été commis. Tout le monde se hait au sein de cette famille. Ils ont tant de choses à se reprocher...

Julien va les affronter pour percer leurs secrets et expliquer pourquoi on a assassiné une femme déjà aux portes de la mort à cause de son cancer.

Des mystères, des rebondissements... on est impatient d'avoir le fin mot de l'histoire.

C'est bien écrit, des dialogues animés. 2 heures de lecture très agréables.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par phil64 2020-10-06T16:54:50+02:00
La montre à complications

06 octobre 2020

Ce pourrait être un roman policier. Il y a effectivement un crime et une enquête. Mais ce roman parle de beaucoup d'autres choses. Une vie de famille difficile, l'univers carcéral, la justice, l'injustice, les petits truands, les grands truands, la mort qui s'approche aussi.

Au fond, le projet de ce livre est, sur la base d'une intrigue qui donne envie de tourner les pages, de parler de ce qui concerne notre vie, dans tous ses aspects, du sourire à la tristesse.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par DANKAD 2020-11-10T14:34:02+01:00
La montre à complications

J'ai commandé le livre aux Editions Nouvelle Bibliothèque. Et c'est là que les complications vont commencer. D'abord parce que les Editions Nouvelle Bibiothèque vont faire faillite. Il n'y a qu'à moi que cela arrive, des choses pareilles! Et bien non. J'ai finalement bien reçu le livre, et là je me suis rendu compte qu'il y a des gens bien plus malchanceux que moi. Comme Maxime Loubet qu'on accuse d'avoir commis un crime absolument odieux. Par contre, ce n'est pas vraiment le crime parfait. Alors comment s'en sortir? L'auteur nous accompagne dans le cauchemar que vit Maxime en nous faisant réfléchir au passage et avec beaucoup d'humour sur la famille, l'honnêteté, le système judiciaire...

Mais les complications continuent, puisque je ne peux pas poster mon commentaire sur le site où j'ai acheté le livre. Heureusement j'ai pu le poster ici.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Philippe-85 2021-05-16T10:03:00+02:00
Le coquinovirus

Ce petit livre a été écrit un an avant l'arrivée du Covid 19 dans le monde. Un hasard curieux, puisqu'il parle d'un virus envoyé sur le monde par un dictateur asiatique fou. Résultat : quand il arrive à l’Élysée, le virus fait des dégâts.. étonnants. Au palais, les gens deviennent bizarres. Ils retombent en enfance. Le problème, c'est que là-bas, il y a un président de la république.

Les quelques ministres non encore atteints par le virus vont devoir le faire abattre.

Attention, il n'y a pas grand chose de sérieux dans ce livre. C'est comme une bande dessinée. Une bande dessinée sans image....

Afficher en entier

Dédicaces de Philippe Henry
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode