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Fanny Chesnel

Auteur

37 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Née le 12 octobre 1980, Fanny Chesnel esquisse à 5 ans son tout premier roman - une sombre histoire de chasseurs lancés à la recherche de leurs gibecières, puis tragiquement engloutis par une bouse de vache géante… Cette œuvre, qui de façon très injuste ne sera jamais publiée, lui met cependant la prose à la bouche et elle poursuit ses tentatives littéraires tout au long d’une enfance par ailleurs joyeuse et sans histoires.

A 17 ans, elle quitte son cocon normand pour glaner à Paris des expériences insolites et, avouons-le, plus ou moins heureuses, goûtant au théâtre, obtenant un DEA de lettres, puis s’égarant devant une ou deux caméras de télévision, avant de passer de l’autre côté de l’écran pour travailler dans les coulisses de la production audiovisuelle. Son job consiste alors à chercher des jeunes talents et à les accompagner dans l’écriture de scénarios de films. Elle s’adonne avec ardeur à ce métier rencontré par hasard. Cependant elle n’oublie pas qu’elle a gagné deux concours de nouvelles lorsqu’elle avait 20 ans et continue à arroser régulièrement dans un coin de sa tête les germes d’une idée : « Et si j’envoyais un roman à un éditeur, pour voir, juste pour voir… »

A l’aube de la trentaine, elle se lance enfin et quitte tout pour écrire à plein temps.

Albin Michel publie en février 2011 son premier roman, « Une jeune fille aux cheveux blancs », salué par la critique.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.55/10
Nombre d'évaluations : 20

0 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Fanny Chesnel

Sortie Poche France/Français : 2020-11-04

Les derniers commentaires sur ses livres

Une jeune fille aux cheveux blancs

Un roman rafraichissant dans tous les sens du terme. J'ai adoré le personnage de Caroline. Lu très rapidement.

Et ô combien il était vrai que c'était un rôle pour Fanny Ardent.

C'est très drôle, c'est romanesque à souhait. Les dialogues sont enlevés, vrais, ciselés.

Alors oui, le cap de la soixantaine est surement compliqué mais c'est pas une raison pour penser qu'on est bon pour la casse ou bien que l'on devienne gaga ou grabataire du jour au lendemain !!!

Ne nous interdisons rien : Ce n'est pas parce que l'on pense qu'on a déjà l'essentiel, qu'on ne doit pas chercher ou réclamer autre chose...

Et plus je dirais aussi, qu' introspectivement, on est vieux que si on le veut bien. Psychologiquement, on a l'âge qu'on veut bien se donner.

A lire!

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Commentaire ajouté par lourita08 2019-03-05T16:00:35+01:00
Le Berceau

Même si le synopsis parle d'un accident qui coûte la vie à un fils, ce n'est pas ça que l'on retient de ce roman. C'est la beauté de l'âme et la ténacité d'un homme qui nous émeut. Le style d'écriture de cette auteure, pleins de comparaisons parfois insolites, nous accompagne dans cette histoire, et il lui va parfaitement.

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Commentaire ajouté par celinefuentes 2019-03-25T15:16:39+01:00
Le Berceau

Livre qui se lit facilement. Le scénario original m'a beaucoup attiré. Je ne regrette pas mon achat et ma lecture car j'ai découvert une auteure que je ne connaissais pas. Cependant, j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de détails inutiles et beaucoup trop de "nonobstant"... Je recommande toutefois la lecture de ce livre qui est bon mais sans prétention.

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Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2019-06-28T10:15:35+02:00
Le Berceau

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman contemporain lumineux et porteur d'espoir, d'un roman qui nous parle de la vraie vie et des sentiments humains avec beaucoup de fraîcheur, et une sincérité désarmante aussi. Je vais vous inviter avec ma critique à vous laisser emporter par Le berceau de Fanny Chesnel, une jeune autrice que j'ai découvert avec un immense plaisir grâce à ce livre qui sait nous prendre par la main et nous rassurer, sans pour autant nous bercer d'illusions. Comme je vous l'ai dit un peu plus tôt, ce titre nous parle de la réalité, sans chichis ni artifices. Cette réalité peut nous frapper de plein fouet, nous faire mal, nous forcer à nous réveiller et à faire face à un monde qui nous dégoûte, dans lequel on ne trouve généralement pas notre place. Mais elle peut aussi avoir un petit goût de miracle, qu'il faut prendre le temps de savourer à chaque seconde qui passe. Et je remercie infiniment le site lecteurs.com pour l'envoi de ce livre. Cette piqûre de rappel fut salvatrice.

Pour commencer, ce que j'ai énormément aimé avec ce roman, c'est la manière dont il est écrit. Non seulement on vit l'histoire à travers les yeux de Joseph, un retraité pas comme les autres qui s'est très vite fait une grande place dans mon petit cœur, mais en plus, j'avais l'impression d'avoir constamment accès à ses pensées en temps direct. C'était comme si je lisais littéralement son flot de pensées, c'est le cas de le dire. Enfin, presque, car Fanny Chesnel y met tout de même les formes. Si cela avait été écrit de façon toute spontanée, sans même corriger le premier jet comme pouvaient le faire d'immenses auteurs comme Virginia Woolf ou James Joyce, qui ont justement instauré le fameux principe du "stream of consciousness", j'aurais trouvé cela brillant mais aussi sûrement passablement indigeste. Ici, on suit ce qui se passe dans la petite caboche tourmentée de mon cher Joseph sans que l'on se sente perdu ou agacé. Juste profondément fasciné par la manière de réfléchir de cet être humain d'apparence insignifiant mais qui va accomplir de grandes et belles choses.

En effet, Joseph pourrait être M. Tout-le-monde, et c'est justement le rôle qu'il a joué une bonne partie de sa vie durant. Ce qui fait toute la différence avec Le berceau, c'est qu'à aucun moment l'autrice ne se permet de juger le personnage principal de son intrigue, de faire preuve de condescendance. Au contraire, elle traite son évolution avec énormément de tendresse et de sensibilité. Joseph m'a fortement rappelé le protagoniste décrit dans la superbe chanson des Innocents, Un homme extraordinaire, exception faite que l'on délaisse ici la Bretagne, son Finistère et ses longues plages de silence pour la beauté brute de pomme et sans fard de la Normandie. Joseph est tel l'homme dépeint dans les paroles extrêmement vraies et pleines de justesse de ce morceau : on se demande sérieusement si l'on se souviendra un jour de lui, de cet homme dont le seul exploit a été de construire sa vie autour de sa famille et des bêtes dont il a toujours pris soin dans sa ferme qui sent bon l'amour du bien fait et du solide. Eh bien moi, je peux vous assurer que je ne suis pas prête d'oublier Joseph. Cela serait fortement difficile et je n'en ai même pas la moindre envie. Je suis tombée amoureuse de la simplicité d'être profondément touchante de ce vieil homme éprouvé par la vie et par la perte, comme tout un chacun, de son petit côté taciturne irrésistible dans lequel je me suis beaucoup reconnue, et surtout de la façon dont il se sert de ses cinq sens. Joseph, dans sa façon d'être, vit profondément les choses, même celles les plus élémentaires, et, à travers lui, j'avais la sensation que ma vue s'était accrue, que mon ouïe s'était affinée, que mon toucher était plus alerte, que mon odorat était plus éveillé, que les choses de l'existence avaient plus de saveur. C'était comme si mon environnement, ou plutôt le sien, me paraissait plus lumineux, plus attirant, plus vibrant, plus savoureux, plus palpable. Il y avait définitivement quelque chose en plus, quelque chose d'indescriptible que Joseph m'a permis de ressentir, comme si cet éclat de magie que l'on recherche tous à un moment donné était à portée de main au cours de ma lecture. Cela n'a duré qu'un bref instant, le temps que je dévore ce livre et que j'atteigne à vitesse grand V son point final, à regret, mais cette étincelle était là. Elle a brillé, j'ai pu l'apercevoir, la ressentir au plus profond de mon être. En réalité, elle a toujours été là, et c'est Joseph qui me l'a rappelé. Je lui en serai toujours infiniment reconnaissante.

Ce récit est aussi teinté de nostalgie, une nostalgie qui broie notre cœur dans son étau mais qui panse aussi les blessures les plus béantes. Ces moments où Joseph se souvient de son fils qui était à la fois si différent de lui et dont il était tellement fier m'ont touchée en plein cœur. J'ai trouvé cela très fort car ces flashbacks qui ont un goût amer de bonheur perdu à tout jamais sont notre unique moyen de nous rapprocher d'Emmanuel, le fils bien-aimé qui a rejoint les étoiles, ou plutôt les profondeurs insalubres de l'océan Atlantique. En effet, en tant que lecteur, on ne rencontrera jamais cet homme accompli et qui se préparait à être un père formidable en chair et en os, si je peux m'exprimer ainsi. Il ne vit qu'à travers les instantanées que Joseph garde précieusement de lui dans sa mémoire, ces moments de vie commune, ces instants capturés aussi puissants et captivants que la plus époustouflante des magies. Et cela suffit. Cela suffit à nous faire ressentir tout l'amour que ce père taciturne, un peu rabougri, profondément touchant avait, a toujours pour son fils prodige. Cela suffit pour que nous entrapercevions le véritable Emmanuel, l'enfant rêveur, meilleur ami des livres et de tout leur savoir, baroudeur-en-devenir au cœur grand comme ça et à la volonté de titan. Surtout, cela nous rappelle l'amour qui nous étreint le cœur quand l'on songe à sa propre famille et à la préciosité de ce lien qui nous unit à elle, un lien qui demande à être soigneusement entretenu car il peut se briser en un instant, qu'on l'ait décidé ou non.

Concernant les deux autres personnages principaux de ce récit, ils ne sont pas non plus en reste. J'ai tout simplement adoré ce trio de choc qui se consolide progressivement, dont les trois membres apprennent à se connaître petit à petit, à se pardonner aussi les erreurs que chacun a pu faire par le passé pour mieux regarder vers l'avenir ensemble. Si Abigail, la fameuse mère porteuse, m'a pas mal agacée au début, je me suis vite rendue compte que je me permettais de la juger sans aucun scrupule, alors que son estime de soi est déjà faible et qu'elle essaye de s'en sortir comme elle peut. Ce roman m'a aussi appris à regarder au-delà de mon petit nombril, et je pense que c'est un travail auquel on doit tous s'exercer chaque jour de notre vie, qui que nous soyons. Mon plus gros coup de cœur va à l'enfant d'Abigail, Ava, cette petite fille qui est définitivement la chair de sa chair et qui m'a impressionnée de par sa déconcertante maturité, qui contraste singulièrement avec l'innocence et la joie de vivre qui se dégagent de ce si jeune être.

Pour conclure, je vous invite tous chaleureusement à plonger dans la lecture du Berceau, à faire la démarche de suivre Joseph, mon cher petit Bichon, dans son aventure trépidante en Acadie, région canadienne aux souches françaises que j'avais adoré étudier en cours et que j'ai été ravie de retrouver au cœur de ce récit. Ce qui fait surtout plaisir à voir, c'est cette communauté unie qui continue de célébrer ses racines, ses traditions immuables qui rendent ses membres à part, qui construisent leur identité, qui leur apportent félicité et fierté au quotidien, même quand ils l'oublient, ce qui arrive bien trop souvent. Cela résume bien le principal message véhiculé par ce roman : ne jamais oublier d'où l'on vient, toujours garder l'esprit ouvert et se soutenir les uns les autres. Il y a toujours une famille qui nous attend quelque part...

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Commentaire ajouté par ZouzouZouzou 2019-07-20T15:15:24+02:00
Le Berceau

Ce n'est pas tant la détresse d'un père après la perte soudaine de son fils qui occupe une partie du roman mais bien plutôt la quête d'un petit être cher au yeux d'un grand-père. Un bébé à venir qui reste le seul lien possible entre deux générations.

Une belle histoire et une fin qui peut laisser supposer une suite qui serait bienvenue.

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Commentaire ajouté par Hegoa 2019-08-27T08:25:44+02:00
Le Berceau

Le berceau de Fanny Chesney. Deux jeunes hommes sur le point de se marier trouvent la mort dans un crash aérien. Le père agriculteur de l’un d’eux décide de partir au Canada rencontrer la jeune femme qui porte le bébé de son fils décédé . Une très belle histoire sur l’amour filial, la tolérance. Beaucoup d’humour Pour traiter ce sujet...

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Commentaire ajouté par lefildemeslectures9177 2020-11-16T15:26:51+01:00
Le Berceau

J'ai été attirée par le résumé de ce roman !

Nous allons suivre l'histoire de Joseph alias Bichon qui fabrique un berceau pour sa petite fille à venir.

Son fils Emmanuel va devenir père, avec son compagnon Béranger et pour ce faire, ils ont fait appel à une mère porteuse au Canada. Malheureusement, les deux hommes vont vivre un terrible drame, durant un vol leur avion s'est crashé.

Joseph ne veut pas abandonner et pour faire son deuil il part à la rencontre de cette mère porteuse "Abigail" elle porte le dernier lien qui lui reste avec son fils.

Quant aux parents de Béranger, ils ne veulent pas en entendre parler.

Chaque famille va faire son deuil à sa façon.

Le scénario est touchant mais malheureusement je n'ai pas ressenti les émotions attendues.

Il y avait quelques longueur malgré les 250 pages !

Les passages du présent aux souvenirs de Joseph sont un peu déroutant comme les discussions avec Abigail en anglais

La fin est jolie, et plus fluide que le début.

Dans l'ensemble c'est un avis mitigé pour moi.

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Commentaire ajouté par Wyndon 2022-08-02T20:01:10+02:00
Le Berceau

Un bon livre. L'histoire est intéressante, mais ce n'est pas le style d'écriture dont j'ai l'habitude, et elle ne m'a pas permis de me plonger entièrement dans le récit. Un histoire pourtant chouette et émouvante.

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J'ai lu : 1 livre

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