R. Cooper

J'aime beaucoup l'univers créé par l'autrice. Les créatures mélangé avec les humains, et le grand point positif pour moi, c'est la variété de créatures qui sont représenté dans le livre. 🧚‍♂️

Le point négatif, c'est que l'histoire à beaucoup tourné en rond. ⭕

On finit par une note positive, l'intrigue policière été très intéressante 🧐

Aucun intérêt.

J'ai passé des chapitres tellement je me suis désintéressé de cette série...

Très déçu des écrits de cette actrice.

Ce livre est court et ce lit assez bien, car, je ne sais pas si c’est la traduction qui ai mal faite ou si le récit qui est bancal, mais certain passages ne voulaient rien dire ! Même en lisant trois fois, je n’ai pas compris la phrase. Elle est moins aux fraises que celui de La prisonnière des Faes, ça reste compréhensible, mais c’est très dérangeant.

Je sens que l’autrice a du mal à certains moments. Le récit est assez fluide, mais il manque un peu plus de construction. Certains moments manquent de dialogue pour mieux faire ressentir la relation entre certains personnages (notamment entre Pénélope et Ray). Ils sont co-équipier, mais on dirait plus de simples collègues qui se connaissent depuis longtemps parce qu’ils se voient tous les jours, que de co-équipiers qui ont vraiment confiance l’un dans l’autre. Quand je dis que le récit est mal construit, c’est que ce dernier se concentre sur la frustration sexuelle et l’enquête. Il n’y a pas de moment de pause pour expliquer un peu l’univers, description de la ville ... C’est direct sur Ray et sa frustration ou l’enquête.

Cette dernière est intéressante, mais ça va revenir sur le fait que le récit n’est pas assez étoffé. Il n’y a pas assez d’indice disséminé ou de moment pour nous laisser réfléchir sur qui ça pourrait être et le pourquoi. C’est souvent Cal, qui fait : Ah c’est surement un Être de telle espèce qui a fait ça pour X raisons (je ne vais pas spoiler). Ça sortait tellement de nulle part que c’était surprenant.

J’ai eu du mal avec le terme Fae, car il est remplacé par fée par moment. Or fae et fée ne sont pas les mêmes espèces pour moi. C’est assez déconcertant.

En dehors de tout ça, j’ai trouvé l’univers plutôt cool et les personnages sympas malgré les défauts évoqués plus haut. J’ai bien aimé ce message sur les préjugés et qu’il faut arrêter de les écouter. L’autre message est qu’il faut se parler dans un couple ^^.

Il m’a tout de même une bonne impression malgré ces défauts. Si vous chercher quelque chose de complexe et de tenant, passé votre chemin. Il vous donnera satisfaction sur le moment, mais c’est tout.

L’histoire aurait pu être bien et l’univers aurait pu être intéressant malheureusement on se perd dans le livre et sa devient un casse tête pour l’esprit. Franchement je trouve que ça part dans tout les sens, les dialogues entre les deux protagonistes sont quasiment inexistant et quand ils se parlent c’est à demi-mot ou sans finir leurs conversations. Si on avait lu l’histoire du point de vue de Cal j’aurais pu comprendre à la limite mais j’ai l’impression que l’auteur c’est perdu dans la description de chaque bribe de pensée que Ray peut avoir. Il y a de la matière mais ce n’est pas pour moi.

J'étais plutôt emballée par cette histoire en lisant la quatrième de couverture, j'adore tout ce qui est fantastique et le côté histoire policière semblait intéressant.

Cependant, ça n'a pas été le coup de cœur auquel je m'attendais. L'histoire est intéressante mais il manque quelque chose pour être réellement accroché. On apprend très peu sur les personnages et même si ce tome est court, je l'ai trouvé longtemps à certains moments. Les dialogues sont bizarrement construit et peu présent.

C'est presque décevant car cette histoire avait tout pour plaire.

Un second tome mieux apprécié que le premier. Cependant l'histoire manque de rebondissement, c'est relativement plat. Il est parfois difficile de suivre l'histoire qui traîne un peu en longueur à certains moments.

Ce second tome reste, néanmoins, un bon moment de lecture .

J'ai beaucoup aimé ce tome. Les personnages sont attachants et touchants. Zarrin sur de lui sur ses sentiments envers Joe, mais moins envers sa propre valeur. Joe, quant à lui, s'interdit de trop s'attacher aux gens de peur d'être encore blessés. Une belle romance, tous en douceur. J'ai hâte de lire le tome 8, surtout j'aime bien Ian Forrester.

Un tome qui change un peu du reste de la série, avec 7 nouvelles qui suivent des personnages qu'on a déjà vus (ou pas), qui reviennent (ou pas), dans un lieu connu (ou pas).

Globalement, j'ai trouvé une grosse disparité entre les nouvelles, d'autant plus que le format ne permet pas toujours de beaucoup creuser le passé des personnages.

Dans le détail des nouvelles :

N°1 : le Phénix

On tourne en rond dans un "je te veux - ah bon vraiment ?" qui devient vite fort lassant. J'avoue ne pas avoir accroché à Kazimir en plus, ce qui n'a pas aidé, mais je déteste ce genre de personnage hautain et imbu de lui-même qui veut voir les autres ramper. (Oui, d'accord, j'entends bien que c'est surtout une défense par rapport à ce qu'il a subi mais justement, j'ai trouvé qu'on ne s'attarde pas assez là-dessus et ça rend Kazimir juste capricieux)

N°2 : le Jaguar

J'ai trouvé ça intéressant de voir un métamorphe jaguar mexicain et les coutumes locales, les traditions qui lui sont associées. Pour le reste, j'ai trouvé Teo beaucoup trop bavard, ce qui le rend un peu sot des fois, et Carmelo est franchement taciturne, même s'il aurait pu avoir un côté plus attachant si on avait un peu plus creusé le personnage et son passé (à la guerre notamment).

N°3 : le Fae

Plutôt sympa. J'ai bien aimé Jace, un brin insolent et résolument insouciant, mais l'absence de communication de Walter pendant une bonne partie du récit rend le tout un peu pesant et lassant à force. Sans compter que comme on ne sait rien de lui ni de ce qu'il pense, j'ai trouvé son changement d'attitude radicale et trop rapide.

N°4 : le Troll

Les nouvelles se passent à plusieurs années d'intervalle les unes des autres mais c'est vraiment marrant de voir apparaître en caméo les personnages des nouvelles d'avant :)

Pour le reste, j'ai bien aimé Tank : son manque de confiance en lui et sa fragilité (émotionnelle notamment) sont touchantes chez quelqu'un d'autrement très fort et costaud physiquement. J'ai trouvé que Simon lui correspondait bien, plus assuré et plus à l'aise dans ses baskets finalement

N°5 : le Diablotin

Encire une fois, on se retrouve dans un endroit connu, avec un personnage déjà aperçu. Ici, le Rainett enfant de la première nouvelle a bien grandi pour devenir un parfait petit diablotin semant partout le chaos (souvent bien malgré lui). On découvre aussi John, l'adjoint au maire, dont j'ai bien aimé le caractère imperturbable.

Néanmoins, c'est encore un manque de communication entre nos deux tourtereaux (et une bonne dose d'aveuglement de la part de l'Etre) qui va constituer l'intrigue de la nouvelle. En cela, ça manquait un peu de nouveauté par rapport aux autres nouvelles. Pourtant, avec la position de John à la mairie, on aurait pu voir un peu plus comment a évolué Los Cerros depuis les nouvelles 2 et 4.

Cette nouvelle est quand même mignonne, et surtout marrante parce que Rainett est un peu dépassé par tout ce qu'il provoque, se fourre souvent dans des situations un peu improbables (et qui de toute façon, finissent toujours par dégénérer). En plus, il a une sacrée grande gueule et un culot monstre.

N°6 : le Loup-Garou

Probablement celle qui m'a le moins plu depuis le début. Miki m'a laissé perplexe alors qu'au premier abord, je me serais attendue à très bien comprendre ce manque de confiance en lui. Mais encore une fois, il y a beaucoup de choses passées tues et beaucoup de non-dits présents, donc tous ces demi-mots n'aident pas à comprendre et à apprécier le personnage.

Ceci est d'autant plus vrai avec Diego, qui à part huit inspirations profondes et trois grognements, doit émettre à peu près cinq phrases et demi dans toute la nouvelle. Pourtant ce ballet de deux aurait pu être mignon et tendre.

Ce qui sauve l'ensemble étonnamment, c'est Kaz, qu'on retrouve ici à la fin de sa vie. J'ai été touchée d'apprendre à demi-mots ce qu'il est advenu de Jacob, et touchée aussi par ce côté protecteur qu'il a développé envers Miki. Le regard extérieur du lecteur permet de comprendre toute la pertinence, la douceur et la bienveillance de ses conseils (même si ça passe bien au-dessus de la compréhension de Miki). Je regrette par contre que ce qui arrive à Kaz ne soit pas plus traité, notamment par Miki.

N°7 : le Dragon

On retrouve un certain dragon de notre connaissance, en compagnie de son trésor, et d'une petite surprise. J'ai adoré voir comment s'en sortent Arthur et Bertie depuis le tome 2. J'ai aimé voir leurs doutes quant à la situation dans laquelle ils se trouvent présentement et leurs capacités à gérer. Et je rêverais d'une petite suite (où elle les tyrannise ^^), ça serait trop mignon !

J'ai eu beaucoup de difficulté à terminer. J'ai survolé l'histoire, et éprouvé une certaine difficulté à me concentrer durant ma lecture.

Le speech de départ est pourtant prometteur, avec une sorte d'amour impossible entre un loup-garou et un fae. Et si le fond est globalement intéressant, trois gros défauts ont gâché ma lecture.

1- Un problème de contextualisation:

- Aucun contexte spatio-temporel vraiment introduit, ce qui a savamment entretenu le flou. Je ne savais pas où on était, à quelle époque, dans quelle société, dans quel pays…

- Pas d'antécédents des personnages, de leur rencontre, bref aucune scène rétrospective nous permettant de nous attacher à cette histoire d'amour et d'en comprendre l'essence. Ce qui fait que j'ai eu l'impression cruelle de prendre en route un train en marche, sans les informations nécessaires.

2- Un problème de construction.

- la syntaxe : les phrases, notamment les répliques de dialogues en pdv externe sont trop ambiguës, et équivoques. Les tirets et guillemets sont trop mal utilisés et j'ai donc eu du mal à identifier l'émissaire ou le destinataire de la réplique.

3 - Un problème de clarté : tout est sous-entendu. Rien d'expliqué, ou d'explicité, soit par les personnages, soit par l'autrice, qui compte beaucoup trop sur le lectorat : des répliques à moitié finies, des omissions, énormément de scènes réflexives, qui faute de compréhension de ma part, morcèlent le discours. J'ai l'impression d'avoir été face à une tablette égyptienne, à tenter de comprendre et déchiffrer l'état d'esprit et ce que voulaient dire les personnages tout du long.

Au final, seul le dialogue "important" de la déclaration entre Cal et Ray à la fin m'a paru normal et cohérent. Et encore, pour 15 lignes grand maximum, puisque nous avons la scène de leur rencontre détaillée. Ce dont je me fiche pas mal, car c'est la seule scène qui avait déjà été montré auparavant.

Bref. En conclusion, une œuvre pas aboutie, à l'univers très étriqué et sous-développé comparé à ce que je m'attendais à y trouver. Les seuls points qui trouvent grâce à mes yeux sont cette idée d'intégrer des fae, trop peu rencontrés en Fantasy urbaine MM, ainsi que la personnalité de Ray, que j'ai trouvé très juste et poignante dans sa lutte contre lui-même et ses sentiments qu'il ne souhaite pas imposer. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé sa nature lupine, que j'aurais aimé plus apercevoir.

Mais je ne vous conseille pas ce livre si vous souhaitez un univers très riche et développé. Peut-être pour un petit frisson et encore.

Encore une fois R. Cooper nous plonge presque dans une romance pure, même si oui il y a du paranormal. Oui, les humains côtoient les Êtres : des fées, des trolls, des dragons, des métamorphes, des elfes, des diablotins... Et pourtant il ne faut pas chercher ici autre chose que de la romance. Point d'action donc, d'aventures ou de quête cachée si ce n'est celle de l'amour.

🧚‍♂️ David, jeune professeur assistant, se noie dans le travail pour oublier l'absence d'amour dans sa vie. Il fait preuve de tant d'abnégation qu'il préfère étouffer ses sentiments envers Tulipe, cette fée plus calme que les autres qui a décidé de ne jamais sortir avec un humain. Alors tanpis s'il souffre quand il croise Tulipe, il préfère continuer comme l'ami fidèle qu'il est.

🧚‍♂️ Comme très souvent avec R. Cooper, je me suis délectée de ce slowburn, de voir David et Tulipe s'emmêler dans les quiproquos, ces si tristes clichés que les humains ont pour les Êtres ou encore cette méfiance que les fées ressentent après avoir été souvent injustement traitées.

En définitive, un tome très agréable pour cette saga particulière, qui peut dérouter parfois et ne pas plaire, je le conçois.