Thomas Geha

Pépé est un Alone, survivant armé dans une France post-apo. Il lutte contre des sectes étranges et cherche Grise, la femme qui l'a élevé et qu'il aime.

Un monde post-apocalyptique plutôt intéressant, avec un goût d'inachevé quand même.

On découvre un récit écrit à la première personne dans un langage familier, souvent rude mais pas dénuer d'humour par moment malgré la dureté de la vie mené par le héros dans une France post-apocalypse où le danger est partout. Un excellent récit sous forme de road trip qui emporte le lecteur sur les pas du héros qui sans cesse doit faire face au danger mais qui malgré une vie solitaire connait la valeur de l'amitié

Très divertissant.

Dans une France post apocalyptique, Pépé est un Alone. Seul, il (sur)vie et il est plutôt doué pour cela. Ce qui ne l'empêche pas de faire des rencontres, amicales ou pas. D'autres groupes de personnes tentent de survivre en se rassemblant (les rasses) et ce n'est pas toujours pour le meilleur.

Intégrale composée des deux romans A comme Alone et Alone contre Alone paru initialement aux éditions Rivière Blanche, le roman est de l'aveu même de l'auteur un hommage à l'univers de Julia Verlanger alias Gilles Thomas : L'autoroute sauvage. Je n'ai pas lu, donc, simple information pour moi.

Une survie divertissante, dans un style simple, un poil édulcoré au niveau des descriptions. Un univers aux reflets fantastiques ou mutants et pouvoirs psy se côtoient allégrement.

J'ai réellement apprécié ma lecture pour son côté très accessible. Les personnages principaux sont agréables. C'est de la lecture un peu old school (bien que paru en 2005), c'est là qu'on sent l'hommage à Fleuve noir.

Entre deux bouquins pour intellectuels (pour mémoire, il me fallait bien ça après chroniques des années noires), cette intégrale remplie parfaitement son rôle et on en demande pas plus.

J'ai passé un agréable moment pendant la lecture de ce livre.

L'histoire se déroule dans le Chicago des années 20 où la mafia est plus que présente malgré la prohibition et que les hommes cohabitent difficilement avec les Fays.

J'ai apprécié l'ambiance sombre, tendu et illicite dans laquelle on plonge en participant à l'enquête que mène les No Ears Four afin de disculper Al Capone des meurtres commis pour le piéger.

Tout comme le côté étrange, mystérieux et sauvage de la Fayrie omniprésente.

Malgré tout il a fallu que j'attende d'avoir lu une douzaine de chapitre avant de vraiment accrocher à l'histoire et de la lire avec aisance.

En effet les premiers chapitres sont rempli de référence à la prohibition, à la mafia italienne d'Al Capone et tout ce que cela impliquait pour Chicago à cette époque : clairement je n'avais pas assez de connaissance à ces sujets et tous cela m'a perdu plus d'une fois.

Passé ça, l'histoire est captivante et nous donne envie d'en découvrir plus.

"Sous l'ombre des étoiles" c'est un "Planet opéra" qui en impose par son optimisme. En effet le lecteur ressent bien que la tolérance, la non violence, la cohabitation, voir le rapprochement de diverses espèces ou encore l'entraide sont affichés au premier plan.

Les personnages m'ont assez accroché pour certains (Le Salamandre et la Seinbeck en tête) qui sont pour le coup, vraiment originaux et avec des caractères borderlines pour l'un, bien trempé pour l'autre. Le personnage principal, "Kee Carson le naufragé" est plus discret mais intéressant.

Le scénario nous lance dans un road trip au milieu d'une tribu nomade, des colons échoués de plusieurs siècles sur une planète où ils ne sont pas les bienvenus mais où ils n'ont pas le choix de vivre.

La fin est bonne et assez ouverte sur le devenir de tout ce monde, le lecteur se fera sont propre avis.

https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2020/11/sous-lombre-des-etoiles-thomas-geha.html

J'avoue avoir acheté ce livre principalement pour sa couverture. Elle est juste magnifique et en rigide ce qui fait vieux livre et j'adore çà. Et puis, le résumé m'a convaincu aussi. C'est rare de trouvé des livres sur les fays. Alors rajouté ses créatures à l'époque d'Al Capone et le tours est joué.

Nous suivons les aventures de Odd, chef des No Ears Four, Bix, jeune trompettiste à la solde de Odd pour rembourser une dette, Bulldog, garde du corps de Odd et de Jack the Crap, assassin à ses heures perdus. Ces 4 hommes suivent les ordres d'Al Capone. Alors que des partisans de la prohibition se font assassinés dans toute la ville. Les No Ears Four, doivent remettre de l'ordre dans la ville. Ils vont devoir à leur grand désarrois, faire affaires avec les fays.

Odd, a cause de son passé, se retrouve allergique à tous ce qui touche au fays. Ce qui peut être à la fois une bénédiction et une malédiction. Odd, est une homme cynique, parfois dur et il a souvent un humour noir. Son boulot et l'époque n'aide pas non plus.

Bulldog, est une personne simplette mais avec un grand cœur. Son seul soucis est de protégé Odd et de lui faire plaisir.

Bix, qui ne vit d'ordinaire que pour la musique, se retrouve à travailler pour Odd. Ce jeune homme essaye de garder un maximum ses valeurs malgré son boulot.

Jack the Crap, est un homme mystérieux et son rôle dans le quatuor est surtout l'assassinat. On ne sait pas grand chose de lui.

L'histoire est bien menée. L'écriture de l'auteur est fluide et agréable à lire. Cependant bien que le roman soit bien dans l'ensemble et que je n'ai eu aucun mal à le lire, je n'avais pas spécialement envie de connaitre la suite avec impatience. J'avais meme hate que le lire se termine à certain moment.

Une histoire originale, des personnages symphatique, des faes en tout genre.

Un recueil de nouvelles sympathiques, Certaines valent vraiment le détour, d'autres restent plus anecdotiques à mes yeux. En tout cas c'est bien écrit, toujours très inventif et original.

Une lecture sympathique, malgré une intrigue que j'ai trouvé un peu prévisible.

L'univers est intéressant : j'ai bien aimé le mélange entre l'ambiance du Chicago des années 20 avec le jazz, les gangsters et les bars et des créatures fantastiques, même si je trouve que cet aspect aurait tenu à être plus développé. Mais le plus gros point fort du roman est sans aucun doute l'écriture. Elle est dynamique, vive et donne beaucoup de rythme à l'intrigue. J'avais plus l'impression de regarder un film hollywoodien que de lire un roman

Pour ce qui est des personnages, ils sont agréables à suivre même s'ils rentrent un peu dans les clichés. J'ai bien aimé la relation entre Bix et Old Odd, mais j'aurais bien aimé que Jack the Crap ou même Bulldog soient un peu plus mis en avant.

Quand aux personnages féminins, ça aurait été bien qu'elles aient d'autres rôles que celui de prostituée, de jeune fille en détresse ou de faire-valoir pour les personnages masculins. Je sais que c'est une histoire de contexte historique, mais les auteurs auraient pu prendre des libertés sur ce point-là.

Une roman de fantasy urbaine divertissant, si on recherche une lecture légère. Mais, il m'a quand même manqué un petit truc pour m'y plonger complètement.

Un roman qui ce laisse lire.

Les deux personnages principaux sont intéressants, l'idée du sorcier au ruban est bien mais il manque quelques choses pour rendre ce livre plus accrocheur.

Avec ce titre et cette couverture, je ne m'attendais pas du tout à un livre de science-fiction sur l'(in)tolérance entre diverses espèces.

Le récit est très bien écrit, l'auteur a fait preuve de créativité et j'ai été totalement immergée dans son univers sur cette planète imaginaire, avec sa faune et sa flore totalement inédites et bien décrites (sans tomber dans les longues descriptions rébarbatives).

J'ai apprécié le héros ainsi que les divers personnages, surtout son amitié avec Sirval ; cette relation véhicule un beau message de tolérance, d'acceptation, de remise en question et d'ouverture aux autres. Toutefois, si l'histoire est belle avec une fin émouvante, le scénario manque d'intérêt et souffre de facilité et de prévisibilité.

La nouvelle en bonus m'a laissée indifférente : bien que le concept est intéressant, je me suis ennuyée et je n'ai pas compris l'intérêt de l'inclure à ce livre, tant elle diffère du roman principal.