Ai Hibiki

▪️C'est un manga qu'on m'a proposé de découvrir et que la maison d'édition et l'application gleeph m'ont offert. Je savais que j'allais lire un manga mais après je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je me douté d'après le titre qu'on serait sur de la romance mais je ne pensais pas avoir affaire à un livre qui rentre plutôt dans la catégorie hentai, c'était donc une première pour moi. Quand on reprend l'habitude de la lecture à l'envers ce manga se lis très rapidement. On comprend bien où la dessinatrice veut nous mener avec des dessin bien précis et compréhensible. Il n'y a pas beaucoup de texte mais sa reste dans la normalité pour un manga. ​​​​​​​​

▪️ Pour ce qui est de l'histoire j'ai eu du mal à tout comprendre et je trouve que sa stagne vraiment dans ce premier tome. On va évolué avec 2 personnages qui vont avoir des comportements erotique suite à la demande d'une jeune femme envers un homme qu'elle dit détesté. Je doit dire qu'on est vite dans le cœur de l'histoire des les premières page car j'avoue avoir était perdu au départ pour en faite comprendre qu'on est au milieu de l'histoire et on reviens en arrière juste après. ​​​​​​​​

▪️J'ai dans l'ensemble apprécié ma lecture même si pour moi l'histoire n'avance pas à mon goût. Après sa plante un peut le contexte donc à voir se qui sera proposé dans les prochains tome, mais la lecture et agréable et la trame est logique. J'ai quand même pris plaisir à découvrir se manga et ne serait pas contre découvrir les autres tome de la série ​​​​​​​​

Public averti ! C’est une histoire assez banale qui se termine comme tous les shojo qu’on connaît. A lire pour surtout les scènes osées car si vous vous attendez à une histoire avec de la profondeur tant au niveau des perso que de la ligne éditoriale, il fait passer son chemin :)

Public averti ! C’est une histoire assez banale d’une jeune femme qui se sent « obligée » de rembourser les dettes de son père d’autant plus que sa mère est malade.. bref tout est à son mérite cependant elle va devenir une amante..,

A lire pour surtout les scènes osées car si vous vous attendez à une histoire avec de la profondeur tant au niveau des perso que de la ligne éditoriale, il faut passer son chemin. Mais c’était plutôt sympa à lire quand même.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/09/24/teach-me-more-t-1-ai-hibiki/

Teach me more est un josei en six tomes dans lequel Miku décide de devenir la maîtresse d’un homme qui a déjà prêté de l’argent à sa famille, afin d’éponger les dettes colossales que son père continue d’accumuler et d’offrir des soins décents à sa mère malade. Elle est cependant si inexpérimentée que le valet de la demeure doit s’occuper de son éducation.

Waouh ! Que c’est vide et affligeant ! Si ce manga vous attire pour ses scènes charnelles, passez votre chemin, à moins que vous ne fantasmiez sur le léchage d’oreille. Et s’il vous attire pour son intrigue, fuyez encore plus vite. Dans les deux cas, n’importe quel porno saura mieux répondre à vos attentes (oui, même en terme de scénario, c’est dire).

Quant aux personnages, s’ils doivent dévoiler de la profondeur par la suite, elle ne sera certainement pas psychologique. Miku est une godiche ingénue qui est prête à se prostituer, mais qui défaille dès qu’elle voit un homme torse nu, et l’intendant qui la prend en charge est aussi beau que sexuellement compétent (ça tombe bien, hein…).

Et quelle prise en charge ! Le Vicomte de Valmont est bien plus professoral dans une seule scène des Liaisons dangereuses que le valet dans tout ce tome. D’un autre côté, avec une héroïne qui a avant tout besoin d’apprendre à ne pas s’évanouir dès qu’un homme la frôle, ça limite le champ des possibles.

Pour ce qui est de ses motivations et de sa famille… Eh bien, je vous ai dévoilé tout ce qu’on en sait. Quelqu’un a dit « prétexte » ? Le seul point positif que je peux concéder à ce josei, c’est son graphisme irréprochable. Autant dire que sa note coule de source (comme Miku, qui porte d’ailleurs très bien son nom en français…).

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/09/30/teach-me-more-t-2-ai-hibiki/

Miku poursuit son éducation avec l’intendant dans ce deuxième tome de Teach me more, mais à force de contacts sensuels et de marques d’attention, elle commence peu à peu à développer des sentiments amoureux à son égard.

Enfin, quand je dis « à force », comprenez par là qu’ils se revoient pour la première fois au bout d’une semaine, et qu’elle est déjà sous son charme. Dans la catégorie « développement de personnages à coucher dehors », ce manga se place en assez bonne position.

Ce tome est malgré tout un tantinet moins mauvais que le précédent, déjà parce qu’il voit un peu plus loin que les attouchements auxquels se livrent les protagonistes (je reviendrai sur le « les », et sur les attouchements aussi, d’ailleurs).

On en apprend plus sur le quotidien de Miku, ses différents emplois et ses efforts désespérés pour rembourser les dettes de son père. Ça ne suffit pas à la rendre attachante, mais grâce à ça, elle gagne une part d’humanité, là où, jusqu’ici, une poupée gonflable aurait tout aussi bien pu tenir son rôle.

Et donc, pour ce qui est de son apprentissage de future maîtresse… J’ai mal à mon exemplaire d’Histoire d’O. Et pour la poitrine de l’héroïne, aussi. Car oui, à deux-trois détails près (qui consistent essentiellement à savoir comment savourer une coupe de champagne), ses leçons se terminent souvent coincée contre un mur, avec l’intendant qui lui pétrit les seins. Que d’érotisme !

Et elle, qu’est-ce qu’elle fait ? Rien. Absolument rien. Alors, peut-être que c’est la culture japonaise qui veut ça, que les filles se laissent toucher sans jamais qu’il soit attendu qu’elles rendent la pareille, mais Miku n’en paraît que plus passive et inintéressante à mes yeux.

J’ai encore un tome dans ma PAL, qui sera le dernier que je lirai. Et si j’en crois l’extrait de Teach me love présent à la fin du volume, il vaut mieux que j’évite également cette série, qui m’avait pourtant attirée à première vue. Les œuvres de cette mangaka ne sont vraisemblablement pas faites pour moi.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2023/10/04/teach-me-more-t-3-ai-hibiki/

L’intendant veut que Miku renonce à ses petits boulots pour se ménager et surtout se consacrer entièrement à sa formation de maîtresse dans ce troisième tome de Teach me more. Comme l’argent est la principale préoccupation de la jeune fille, elle est désormais considérée comme une stagiaire rémunérée, et hérite de sa première mission.

Ou comment balayer en l’espace de quelques chapitres les seuls points pas trop négatifs que j’avais relevés dans le tome précédent. Miku est de nouveau réduite à sa condition de future amante, mais quoi qu’elle prétende, elle en perd totalement de vue son objectif pour les beaux yeux de l’intendant devant qui elle se pâme (de moins en moins secrètement).

Un passage était prometteur, pourtant, celui où elle demande à son mentor de lui apprendre à donner du plaisir, elle aussi, adressant ainsi un pied de nez bienvenu à ma dernière chronique et ma remarque sur le sujet… sauf que ça se termine en pétrissage de seins. Encore. L’intendant a dû être boulanger dans une autre vie.

Et par conséquent, ça se termine pour moi aussi. Trois tomes n’auront pas réussi à changer mon opinion initiale : les personnages sont inintéressants, le scénario vide au possible, et les scènes de sexe se répètent quasiment à l’identique. Je ne recommande vraiment pas ce manga.

Franchement c'était chaud, la façon dont Fin s'assume et incroyable et Satoshi se découvre un fétichisme c'est dingue, j'adore.

Une couverture qui tient toutes ses promesses! XD

Une histoire d'amour mignonnette mais avec le petit côté malsain qu'aime bien les japonais.

Assez sympa.

« Mahiro » s'explique « Désolé, je ne le fais qu'une fois avec la même fille » ça ressemblerait pas à « How I meet your mother » par exemple ? (Même si je n‘ai vu que des extraits). Un Don Juan, j'espère qu'il y aura son équivalent Féminin. (NB : Oui !).

J'ai failli acheter ce Livre mais je le retrouve ici donc c'est bien.

Mahiro s'interroge sur la nature du sexe. Qu'est-ce que c'est réellement à part de façon très concrète ? ….

« Une grosse déprime dont je ne peux parler à personne » à Cause de Rei…

La mère de Rei Sadaoka et le Père de Mahiro se marient…

« Ne m'approche pas trop, sale racaille »…

« Je ne me vois pas vivre… avec un type qui ne pense qu'au sexe. »

« Si vraiment … Je ne pense qu'à ça… Alors c'est normal que ça se finisse comme ça, pas vrai ? » Ils couchent. Sans aller jusqu'au bout.

« J'ai toujours eu envie… Que tu me prennes sauvagement » C'est pour ça qu'elle essayait de le provoquer. On parle de « Vrai Visage » « Je refuse de me renier » Obsédée sexuelle assumée.

Il y a du bondage… C'est une Livre qu'on peut utiliser pour se faire plaisir et/ou pour sa qualité Littéraire. Il n'est pas dangereux pour la conscience comme certains…

Ça reste correct…

Mahiro a pour principe de ne coucher qu'une seule fois avec la même fille mais Rei cette vicieuse lui fera transgresser cette règle.

A l'attaque !

« L'amour n'est rien de plus… Qu'un jeu où on se met en valeur… Pour attirer l'autre. »

J'ai eu un rire franc quand les Lycéennes trouvent les deux héros un peu déshabillés et y a un genre de « c'est pas ce que tu crois » trop rigolo x--) …

« Je vais finir par te trouver mignonne… Même si je sais que tu es perverse »

« Teach me Love » vient du fait que Rei & Mahiro connaissent très bien le sexe mais très peu l'amour, alors ils vont apprendre car ils se ressemblent…

La fin m'a (agréablement) surpris.

Un très bon manga à Lire sans hésiter.

Phoenix

++