Gô Nagai

Hé bien, Devilman ce n'était pas mauvais du tout ! Ce dernier tome était un peu décevant, un peu trop rapide dans son développement je trouve, mais dans l'ensemble ç'a été une bonne série. C'est tout de même assez violent (même si le dessin assez ancien adoucit un peu ce qu'il se passe) donc attention si vous avez l'âme sensible, mais sinon ça peut être une lecture intéressante !

Le couple Alcor-Actarus se bat bec et ongle pour bouter hors de la Terre les forces de Véga. Puis arriveront les filles et ce sera une sacrée équipe !!!

Une histoire captivante et superbement dessinée, malgré les différences un peu trop grandes pour les personnages comme Actarus, Procyon et Phénicia. Mais c'est comme ça au Japon, on adapte !!!

Rien que la couverture avec tous les méchants, on a envie de savoir ce qu'ils vont mijoter et la branlée qu'ils vont prendre.

Astérohache !!! Il va en avoir besoin Goldorak parce que le prince d'euphor et ses amis, luttent sans merci contre les forces de véga, commandées par le grand stratéguerre, désirant conquérir la terre.

ça alors. Ce n'est pas la même fin que dans l'anime. Un dénouement inattendu. Fin du manga de Go nagai, celle-ci vous surprendra si vous êtes fans du dessin animé, car elle est complètement différente. Et c'est tant mieux !!!

Roman culte de Go Nagai qui fut l'un des précurseurs à l'apparition de personnages féminins forts en tant que héros de shōnen avec son héroïne androïde Honey qui occupe le devant de la scène et le personnage principal masculin occupe lui la place de demoiselle en détresse. C'est aussi l'un des premiers mangas mettant en scène une magical girl (ou du moins s'en approchant) avec Honey qui utilise son collier pour changer de costumes et pouvoirs, avec un passage de nudité plus ou moins long.

L'histoire reste classique (Honey devra faire face à des ennemies toujours plus fortes) mais c'est intéressant de découvrir ce monument ayant forgé l'histoire des mangas et de découvrir les récits érotico-humoristique de Go Nagai qui, on le voit dans le récit, aime jouer avec la nudité, le BDSM, la sexualité (et plus spécifiquement le lesbianisme ici) et le grivois.

C'est un peu innocent de voir Dante demander à Virgile si tel ou tel péché est une faute aussi grave.

Jusqu'à saintement, c'est la version la plus fidèle des vers originaux de Dante que j'ai lue. J'aime comment le dessinateur s'est inspiré des différents tableaux peints au fil des siècles pour illustrer son manga.

J'ai beaucoup aimé cette adaptation, même si parfois, je trouvais qu'il y avait des problèmes d'angle et de perspective dans le tracé des personnages.