Michael Gerard Bauer

Posé, sur les étalages de la bibliothèque municipale, il m'a donné envie. J'ai aimé, mais le récit traîne un peu en longueur, et j'ai trouvé la fin décevante.

C'est une petite perle!

Fantastique. J'ai énormément ri que ce soit devant les répliques de Scobie face à Barry, celles qu'Ismaël n'osait énoncer à voix haute ou les commentaires du Razzman.

Je ne sais pas, ce livre n'a probablement rien de totalement exceptionnel, mais il m'a tellement fait rire qu'il était obligé d'être classé diamant!

J'ai hâte d'aller emprunter la suite à ma bibliothèque et de rire de nouveau face aux rebelles de Saint-Daniel! :D

Ah! Une petite merveille...

Comme j'ai ri! Je suis fan de Razza, d'Ismaël et de Scobie, même si ce dernier est un peu moins présent dans de tome. Même Ignatius me fait délirer!

Vraiment, il y a tant de petits moments hilarants, j'adore!

Les maladresses constantes d'Ismaël sont énormes et je n'ai pas pu m'empêcher de penser "Non! Non! Mais c'est pas possible, pas le retour du syndrome d'Ismaël Leseur!" et d'en rire quand même.

Bref, un super bon moment à passer avec ces personnages... Fou rire assuré!

Pendant ces vacances, notre professeur de francais nous à demander de choisir deux livres que l'ont devait lire puis resume celui que l'on a preferer ne savant pas vraiment pas quoi choisir je mis ma mains dans une rangée de livre au hasard et comme vous l'aurez sans doute deviné :) jetais tombé sur "appelez moi Ismaël " le deuxieme livre que javais avait choisi fut lui même le fruit du hasard.

Je decida de commencer a lire le premier livre que javais choisi, les premieres page pour tous dire me fesais un peu peur (javais peur que tous tourne autour de son prenoms), mais au fil de la lecture jappreciais le livre de plus en plus les personnages devenaient attachant et puis les fous rires que j'ai eu :D. Ce qui m'étonna le plus cest que jai tous lu en trois jours, moi qui naime pas la lecture je crois que ce livre la jai juste adorer le lire. Je nai pas eu besoin de lire le deuxieme livre pour choisir lequel jalais resumé :) ce livre est sans doute le meuilleur livre que je n'ai jamais lu je vais prochainement lire le tome 3 :)

Un joli bouquin, dont malgré le contenu épuré et l'histoire toute simple, a réussi à me charmer dès le deuxième "chapitre". L'histoire des vers à soie ainsi que ce portrait "fantôme" est magnifique et d'une grande symbolique tel que mentionné ci-bas. Coup de coeur pour moi! Je trouve malgré tout dommage que l'auteur n'est pas élaboré une meilleure fin, nous laissant sur notre faim.

J'ai parfois un peu de mal lorsque les personnages se ridiculisent vraiment (je suis gênée pour eux...!) donc j'avais un peu d'appréhension... Mais finalement il est très plaisant à lire et aussi à plusieurs moments très drôle (mon prof de maths de licence en est témoin, il me regardait un peu de travers quand je me marrais toute seule à la pause...!!).

C'était exactement le genre de livre qu'il me fallait : pas trop addictif pour que je puisse l'arrêter (il faut bien travailler de temps en temps) mais vraiment bien histoire que ce ne soit pas une corvée à lire!

Un deuxième tome dans la veine du premier et toujours aussi bien!! Je pense même que je le préfères. L'histoire avec les Dugongs permet d'ajouter des personnages.

Je n'ai pas vraiment apprécié ce livre, pour moi il y avait trop de détails inutiles et je n'ai pas vraiment été emballée par l'histoire générale... Mais bien que ce ne soit pas mon genre je le conseille tout de même parce que ça peut plaire aux personnes qui aiment ce genre de récit.

Une histoire curieuse, poétique. On y parle des apparences, des préjugés,.. Un jeune garçon ose faire le portrait de son voisin qui le terrifie .... On raconte tant de choses sur cet homme qui personne ne connaît.

En parallèle les vers à soie, le cycle de la vie.... une belle métaphore

Elle c'est Caroline. Voisine de l'un, sœur aimante de l'autre. En les réunissant au prétexte d'un portrait, elle va provoquer l'étincelle de vie qu'aucun ne possédait.

L'un c'est Joseph.

Adolescent doué en dessin, il a peur de son ombre.

Élevé dans un cocon, il a du mal à en sortir. C'est confortable et sécurisant un cocon. Et puis dehors il y a le croquemitaine, mais est-ce l'homme qui court ou Tom Leyton ?

Les deux l'effraient par son imaginaire et les récits racontés.

L'autre c'est Tom.

Adulte traumatisé, survivant de la guerre du Vietnam, il a peur de l'extérieur et de ce qu'il regorge.

Touché jeune par le malheur, les voisins par préjugé

ont fait de lui un « monstre sans visage » aux mille facettes...un mythe mystérieux que personne n'a jamais vu puisque jamais il ne sort.

Eux, c'est un lien fragile comme celui d'un fil de ver à soie dont on suit l'évolution, et pourtant bien tangible.

C'est un regard peu à peu ouvert qui les relie.

Des paroles à la voix enrouée échangées.

Une amitié surprise libératrice pleine de poésie, où le silence est autant respecté que les mots lourds de sens.

Mon cœur a crié « aux larmes », et j'ai finit par pleurer comme une madeleine.

Un roman fort en intensité qui déchire l'âme, mais la fait grandir aussi.