Frank Martin Jr.

Un bon tome, qui nous en apprend un peu plus sur le rôle de l'enfant de Mort. Néanmoins l'avancement de l'histoire est plutôt lente.

Un bon comics assez sympathique, avec pas mal d'action et de violence. J'ai bien aimé le scénario qui mélange les genres, entre western, science-fiction et marche vers l'apocalypse, ainsi que les personnages qui sont franchement agréables quoiqu'un peu morbide pour la plupart.

Pour ce qui est du dessin, je l'ai trouvé particulièrement propre et soigné, suffisamment détaillé sans être surchargé. A ceci s'ajoute une très bonne coloration qui m'a bien mis dans l'ambiance. J'ai hâte de lire la suite.

Ce second tome est tout aussi bien que le précédent, même si les changements de décors et de personnages sont plus fréquents et rendent l'intrigue un peu plus difficile à comprendre.

Le dessin est toujours aussi agréable, et les couleurs m'ont plongées dans l'ambiance particulière de ce comics.

Comme le tome précédent, les épisodes et les différentes intrigues se suivent très rapidement, il faut rester bien concentrer pour comprendre les enjeux de l'histoire.

Malgré tout, j'ai encore beaucoup aimé l'histoire de ces différents personnages, ainsi que les dessins et couleurs qui sont toujours aussi magnifiques, en tout cas à mes yeux.

Au début, j'ai eu un peu de mal à situer l'histoire, mais en fait c'est vraiment dans la continuité du tome précédent.

J'ai eu également l'impression que dans ce tome il y avait un peu plus d'action, en tout cas j'ai eu l'impression que la lecture était plus fluide.

Il n'empêche que je trouve cette série très sympathique, que ce soit au niveau de l'univers, de l'intrigue, des personnages, ou des dessins et des couleurs. Pour moi, c'est une grande réussite, et j'ai hâte de lire la suite.

Hickman fait du Hickman et plonge le lecteur dans la perplexité et l'expectative, ne lui donnant les clefs de compréhension de l'univers créé que par petites touches, au compte-gouttes, et presque à regret. On se demande parfois s'il ne prend pas un malin plaisir à refuser l'évidence de la narration, par effet de style, de mode ou snobisme. Il est certain qu'on n'hésite guère à revenir en arrière pour relire certains passages éclairés d'un jour nouveau par des informations fournies ultérieurement, lorsque des personnages énigmatiques commencent enfin à avoir une épaisseur, une raison d'être, voire une simple identité. De tels procédés peuvent agacer, et ce fut encore le cas, mais l'histoire comporte suffisamment d'éléments captivants pour qu'on accepte de s'y accrocher.

Cette fois, on est à la fois dans l'uchronie et le post-apo, genres auxquels Hickman se fait un malin plaisir d'orner de nombreuses références mythiques et occultes. Le bougre connaît son affaire, et cette saga aux allures de western biblique finit par aiguillonner notre appétit de lecture.

Imaginez donc un futur proche dans lequel les Etats-Unis n'existent pas : le Destin, ou la Main de Dieu, a infléchi le cours de l'Histoire et une comète s'est écrasée sur l'Amérique du Nord à la fin du XVIIIème siècle, mettant fin à la Guerre de Sécession et engendrant les Sept Nations, unies par un pacte secret. Un pacte lié au Message, une prophétie apocalyptique propagée par trois grands hommes et annonçant tout simplement une fin du monde et l'arrivée des Quatre Cavaliers. Le tome un s'ouvre sur l'irruption de ces fléaux bibliques... sauf que l'un d'entre eux manque à l'appel : Mort. Car Mort a d'autres chats à fouetter que tuer le monde : il veut retrouver une femme. Le voilà donc sur la piste de cette créature qui a su lui ravir son coeur, ravageant cités et dirigeants qui se risqueraient à lui faire obstacle, tandis que ses trois anciens acolytes sont à ses trousses et que les Nations cherchent un moyen d'accomplir le Message divin.

Même si de nombreux mystères sont levés à la fin du premier volume, de nombreux autres demeurent, faisant de cette saga quelque chose d'aussi dense que SHIELD, la Confrérie du bouclier. Les illustrations claires de Dragotta donnent du tonus au récit qui alterne les points de vue mais demeure suffisamment concentré pour qu'on ne se perde pas en route, et qu'on se régale des très nombreuses références ou clins d'oeil. Il y a une atmosphère rappelant la Tour sombre de Stephen King et quelques personnages fascinants qui en savent trop ou pas assez.

Malgré quelques tournures pompeuses ou grandiloquentes, le scénario fait son effet.

Les Avengers au coeur d’une histoire temporelle, dû à l’évènement Original Sin.

Le sujet est intéressant, et bien traité.

A priori, cela va durer sur 4 parutions normalement…

On continue l’aventure débuté dans le numéro précédent.

Les cases sont sombres, les dessins de personnages sont précis, et les visages contrariés.

L’histoire est bien mise en valeur avec ce type de dessins.

La fin de cette événement lié à Original sin….

Mais on sait bien que chez Marvel, toute fin est un nouveau commencement…

Je n'ai pas aimé cette histoire, je ne vois pas où cela peut nous mener. Même si dans les premières pages, le sujet semblait prometteur, un mélange de Science-Fiction, de fantastique et de thriller, avec des cow-boys, des indiens, des robots.

Mais je n'ai pas réussi à accrocher.

Les dessins et dialogues sont très réussis tout de même

Bonne lecture pour les persévérants.