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Guy Gavriel Kay

Auteur

588 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Lilou 2010-02-17T22:05:28+01:00

Biographie

... est né en Saskatchewan en 1954. Après avoir étudié la philosophie au Manitoba, il a collaboré à la publication de l'ouvrage posthume de J.R.R. Tolkien, le Silmarillon. Ayant terminé son droit à l'université de Toronto, il a été scénariste de la série The Scales of Justice (1982-1989), produite par le réseau anglais de Radio-Canada, tout en publiant au même moment une trilogie de fantasy, la Tapisserie de Fionavar. Ont suivi Tigane, Une chanson pour Arbonne et les Lions d'Al-Rassan, trois romans de fantasy historique dont la toile de fond s'inspire respectivement de l'Italie, de la France et de l'Espagne médiévale, puis La Mosaïque Sarantine et Le Dernier Rayon du soleil.

Traduit en plus de vingt langues, Guy Gavriel Kay a vendu des millions d'exemplaires de ses livres au Canada et à l'étranger, ce qui en fait l'un des auteurs canadiens les plus lus de sa génération. Il réside depuis de nombreuses années à Toronto.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.76/10
Nombre d'évaluations : 288

0 Citations 126 Commentaires sur ses livres

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de Guy Gavriel Kay

Sortie France/Français : 2023-01-26

Les derniers commentaires sur ses livres

La Tapisserie de Fionavar, tome 1 : L'Arbre de l'été

J'ai dévoré cette série qui nous emporte dans un monde que l'on oublie jamais.

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La Tapisserie de Fionavar, tome 1 : L'Arbre de l'été

Premier et seul tome que j'ai lu de ce cycle de fionavar.

L'auteur plagie un peu tous les grands auteurs de Fantasy et pioche un peu aussi dans la SF.

Les personnages sont sans intérêt et l'intrigue a le goût de l'eau plate.

C'est peut-être une bonne porte d'entrée dans la Fantasy pour certains ados mais pas davantage.

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La Tapisserie de Fionavar, tome 1 : L'Arbre de l'été

Un premier tome assez mitigé en ce qui me concerne.

Ce qui m’a attiré, c’est d’abord ce concept de Tapisserie, dont les fils se tissent dans le temps, le tout manipulé par le tout puissant Tisserand : ça me fait fortement penser à la Trame et à la Roue qui tourne inlassablement dans la Roue du Temps.. Je voulais quelque chose dans cet esprit là, quelque chose qui deviendrait épique, et sur ce point là, je ne suis pas déçue, c’est effectivement en voie de le devenir.

La plume est très belle, c’est assez poétique et douce sans être trop lourde, et elle plaira surement aux amateurs de J.R.R. Tolkien et de S. Platteau. Le prologue, en particulier, était un petit coup de coeur. La mythologie n'est pas en reste, elle est très détaillée et souvent amenée au travers de chants ou de légendes. La carte aussi est très utile et très belle.

Au niveau de l’intrigue, je n’ai rien à redire : on est sur une histoire de fantasy assez classique (ça date quand même de 1984), et le classique, si on l’aime, c’est toujours une bonne chose. A noter : l’auteur à travaillé avec le fils de Tolkien sur les notes du Silmarillon, et cela se ressent, l’influence de Tolkien sur Fionavar est grande. On retrouve un anneau, un équivalent aux elfes et à leur île d’exil par delà les mers de l’ouest, une légende avec un Beren et une Luthien, une foret qui ressemble fortement à Fangorn, un peuple de cavaliers fidèle à ses voisins du sud, des nains qui creusent là où ils ne devraient pas, des frères qui ne sont pas aimés de la même façon par leur père, des légendes et des chants très travaillés… et je suis sure que j’en manque. Je note aussi quelques références à la Roue du temps (à moins que cela ne vienne en fait du Silmarillon que je n’ai pas encore lu). Donc oui, c’est inspiré, mais je vois ça comme un hommage, et j’apprécie.

Par contre, je trouve que ça pèche au niveau des personnages : pendant toute ma lecture, j’ai eu cette impression d’être « éloignée » des personnages : je ne me suis pas vraiment attachée, et je ne me suis pas du tout sentie concernée par certains.

En plus, j’ai toujours eu du mal avec les personnages qui passent d’un monde à l’autre, et cette fois ne fait malheureusement pas exception : que les personnages s’adaptent et acceptent l’idée de changer de dimension, ok, pourquoi pas. Qu’ils acceptent tout aussi vite : non. L’acceptation et l’adaptation sont trop rapides. En huit jours à peine, les protagonistes agissent comme s’ils avaient toujours vécu à Fionavar, comme s’ils avaient passé leur vie à se battre contre des monstres au côté d’autres guerriers aguerris, en faisant preuve d’un sang froid de soldat vétéran ! On ne devient pas un épéiste ou un guerrier avec une hache du jour au lendemain, comme ça, quand on est censé étudier le droit dans la vie de tous les jours, le nez dans des bouquins ou sur un terrain de basket !

Globalement sur les 5 points de vue principaux, il y en a 3 qui ne m’ont tout simplement pas intéressée : ceux qui acceptent tout sans broncher.

Parmi les deux autres, il y en a un autre qui ne bronche pas trop non plus, mais il a ses raisons : dans sa tête, ce personnage n’est déjà plus là, il regarde tout de loin, et comme j’ai pleuré avec lui ! C’est un personnage émouvant, je l’ai beaucoup aimé. Quand au second point de vue intéressant, et bien aux premières pages, je n’aurais pas parié sur lui : mais si, il m’a captivée pendant une partie tout entière : j’ai adoré son passage dans les plaines.

Les personnages secondaires, s’ils ne sont pour l’instant pas très poussés (5 protagonistes pour 380 pages, ça prend de la place), ils ont du potentiel, beaucoup plus que certains protagonistes, et sont attachants, eux : je pense notamment aux cavaliers. Par contre, un certain prince s’avère être une ordure monumentale pour rester polie, mais en même temps il a des circonstances atténuantes. L’accent est mis sur ce personnage, donc j’imagine qu’il jouera un rôle non négligeable par la suite… Le magicien est un peu en retrait : je m’attendais à ce qu’il joue un rôle plus important.

Autre bémol, les personnages féminins. Je sais bien que le livre date, mais je ne peux m’empêcher de remarquer que les femmes sont toutes plus belles et gracieuses les unes que les autres, à commencer par les protagonistes qui deviennent les coqueluches de la court en moins de quinze minutes. Tandis que les hommes ont le droit d’être trapus, trop grands ou passe partout (sauf le prince ordure qui est magnifique). Les seules qui trouvent grâce à mes yeux, ce sont Jaelle et Sharrah : ce sont des personnages secondaires, mais nuancés, qui font ce qui doit être fait pour arriver à leur but (soit dit en passant, pour que ce soit bien clair, elles sont extrêmement belles et magnifiques).

Pour terminer, je dirais que c’est vraiment une lecture orientée adulte : un certain nombre de thèmes assez durs sont abordés, et les personnages ne sont pas épargnés. Certains subissent, mais vraiment.

En résumé, tout me plait sauf le début un peu trop rapide et ces protagonistes peu attachants, parfois trop clichés.

J’attends d’en voir plus, mais pour un premier livre, c’est quand même un sacré travail et une sacrée oeuvre.

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Commentaire ajouté par ombe 2022-06-26T18:56:16+02:00
La Chanson d'Arbonne

Une nouvelle fois, Guy Gavriel Kay ne m'a pas déçu !

Ce roman m'attirait moins que ceux que j'ai lu auparavant de cet auteur car l'intrigue prend place dans une contrée inspirée de la Provence médiévale et me paraissait moins exotique que ses autres récits... mais quelle erreur d'avoir attendu si longtemps de le lire !

Les personnages sont comme d'habitude très détaillées, complexes et magnifiques.

Sa plume est toujours aussi agréable et poétique mais là où il réussit vraiment ce roman c'est dans la construction de l'intrigue politique passionnante qui naît des disparités culturelles de l'Arbonne et du Gorhaut et des ambitions et destinées de leurs dirigeants.

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La Tapisserie de Fionavar, Tome 2 : Le Feu vagabond

Un tome 2 plus prenant que le premier.

L’oeuvre est toujours très inspirée du Seigneur des Anneaux, tout en restant originale. Le combat contre le grand méchant (non ce n’est pas Sauron) commence enfin, les troupes se déploient. On a droit à de grandes batailles du côté de chacun des groupes de protagonistes, et comme dans les Deux Tours, c’est la bataille des Cavaliers qui m’a marquée. On a également droit à la disparition d’un certain personnage à la fin (non, ce n’est pas Frodo), et le retour d’un certain roi est imminent (non, ce n’est pas Aragorn).

Nouvel élément dans ce tome 2 : les légendes arthuriennes. On a donc de nouvelles références et de nouveaux personnages. C’est très intéressant de voir comment les légendes des mondes « secondaires » comme le notre se mêlent au worldbuilding déjà énorme du monde originel de Fionavar, même si tous les personnages ne sont pas intéressants et agréables à suivre.

Mon ressenti sur les personnages ne change pas vraiment. J’apprécie toujours Paul et Dave, et ce sont les parties qui leur sont consacrées que je préfère (en même temps, Dave passe son temps chez les Cavaliers, que j’adore tous). Gros + pour les histoires des enfants dans ce tome. Tabor, bien sûr, mais surtout Finn et Darien qui m’ont fendu le coeur tous les deux, et pourtant leurs histoires sont tellement épiques !

De manière plus globale, j’arrive bien à me sentir proche de certains personnages, mais d’autres me semblent vraiment lointains, tant que je n’arrive pas du tout à m’inquiéter pour eux, comme Jennifer et Kevin qui ne me font ni chaud ni froid.

Enfin, comme je lis la version intégrale, j’ai repéré régulièrement, comme pour le tome 1, un certain nombre de tournures de phrases étranges et une ponctuation parfois étonnante. Les traductions et leurs relectures…

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La Tapisserie de Fionavar, Tome 3 : La Voie obscure

Un tome 3 que j’ai trouvé bien meilleur que les deux précédents, particulièrement émouvant.

Kay a bellement tramé ce dernier tome, qui a su répondre à mes attentes. La high fantasy classique comme celle-ci, j’aime ça, et je la recommande donc aux amateurs du genre. De plus, ceux qui auront aimé Le Seigneur des Anneaux et le style poétique et lent de Tolkien devraient être comblés.

Malgré les nombreuses références à la Terre du Milieu et à son histoire, Fionavar a su se détacher : descriptions de paysages à couper le souffle ou à fendre un coeur, mythologie et Histoire riches, belles et tragiques, le tout écrit dans un style très poétique, c’est une oeuvre à découvrir.

Le seul point faible que je trouve à ce livre, c’est le même que pour les tomes précédents : les personnages. Même au bout de trois tomes, je serai finalement restée insensible à une bonne moitié d’entre eux.

Si les passages dédiés à Paul et Dave, deux des cinq protagonistes de départ, m’ont bien plu, ainsi que les Cavaliers, ce sont des personnages secondaires que je me souviendrai, à savoir Tabor, Darien et Finn, bien qu’ils interviennent au final assez peu.

Si je compare, je reprochais un peu la même chose aux personnages de Tolkien : un manque d’attachement pour ses protagonistes.

La conclusion est donc : La Tapisserie de Fionavar mérite autant que Le Seigneur des Anneaux d’être connu, et c’est bien dommage que cette trilogie soit un peu « tombée dans l’oubli » chez les francophones (du moins c’est mon impression).

Pour une première oeuvre, je dis chapeau, et j’ai hâte de découvrir les autres livres de Kay, que j’espère tout aussi poétiques (et tragiques) !

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La Tapisserie de Fionavar (Intégrale)

Intégrale

Une trilogie que les amateurs de Tolkien ou de fantasy poétique sauront apprécier.

Je voulais découvrir Kay avec sa première série, La Tapisserie de Fionavar, mais après avoir lu Le Seigneur des Anneaux, les deux histoires étant liées (Kay a travaillé avec le fils de Tolkien sur les notes du Silmarillon, il a baigné dans la Terre du Milieu et a voulu rendre hommage à Tolkien en écrivant La Tapisserie de Fionavar). L’ayant enfin lu en début d’année, c’était l’occasion, et c’est une belle découverte. Les allusions au monde de Tolkien sont nombreuses, et en tant que lecteur averti, j’ai pris beaucoup de plaisir à faire des parallèles entre les deux oeuvres.

Et c’est assez drôles, car une fois la lecture terminée, je pense que les deux récits ont les mêmes points forts et les mêmes points faibles.

Commençons par les points forts. Le worldbuilding. La mythologie. L’histoire est extrêmement riche en légendes (dont une part non négligeable dédiée aux légendes arthuriennes), et en personnages historiques. Tout cela est expliqué par les personnages, mais aussi chanté. Les chants sont donc importants, et participent au devoir de mémoire autant qu’à toute fête digne de ce nom. Tout est tellement développé qu’on peut s’y perdre ou oublier des choses importantes en cours de route. Sauf qu’ici, point d’annexes pour remettre les choses au clair ! Je pense qu’une relecture s’impose pour tout intégrer et tout comprendre.

Le style de Kay est très poétique. Il a parfois réussi à me faire pleurer avec quelques phrases, même courtes, tant c’était beau, tant c’était tragique, tant ses mots étaient porteurs d’espoir. C’est donc une plume à découvrir, et à apprécier en prenant son temps.

Au niveau de l’intrigue, on est sur de la high fantasy très classique : on a d’un côté les héros, de l’autre le grand méchant et sa clique qui menacent le monde. Rien de nouveau, mais c’est bien fait et ça m’a plu.

Et pourtant, je n’étais pas forcément fan de speech de départ, avec des héros qui arrivent de notre monde. J’ai toujours cet a priori, parce que bon, notre monde ne fait pas tellement rêver. Vous voyez un avocat qui change de dimension pour brandir une hache de maitre et partir sauver un autre monde moyenâgeux à cheval ? Et bien moi, ça ne me fait pas rêver (désolée, Dave).

J’en arrive donc aux personnages… le gros hic.

Sur les cinq protagonistes de départ, deux m’ont intéressée, j’ai nommé Paul et Dave. J’ai trouvé leurs parties particulièrement intéressantes et agréables à lire. Quand aux autres, bof. Si j’ai compati avec Jennifer, dès le tome 2, je ne l’appréciais plus du tout, tant elle était distante et froide. Kevin, lui, ne m’a fait ni chaud ni froid, du début à la fin. Quand à Kim… pourquoi ne l’ai-je pas apprécié ? C’est une personnalité agréable, une figure importante, et je dirais même une femme forte, mais je n’ai tout simplement pas accroché avec elle.

Puis Kay a amené et creusé des personnages secondaires, et si certains me semblaient « lointains », émotionnellement  inaccessibles, comme Kim ou Kevin, il y a une bonne partie que j’ai adoré suivre, ou que j’ai adoré détester. Les cavaliers, en particulier, étaient passionnants (plus que les Rohirrims pour moi). Lévon, Torc, Ivor, Géreint… étaient géniaux. De même pour le Guerrier et son bras droit, Jaëlle et Sharrah. Et parmi les personnages que j’ai d’emblée détesté (malgré de nombreuses circonstances atténuantes, que j’ai bien vu passer, mais elles n’ont fait que passer et repartir les pauvres), le destin de certains m’a déchiré le coeur. Je les tolérais tout en les détestant pour leurs actions passées, et pourtant comme ils m’ont fait pleurer à la fin !

Et au final, ce sont des personnages secondaires, pas si présents que cela pourtant, que je retiendrai de cette série : Tabor, Darien et Finn.

Ah, et bien évidemment, parce qu’il s’agit de fantasy, que ça date des années 80, et que seuls les hommes savaient lire à l’époque, toutes les femmes sont plus belles, plus gracieuses, plus royales les unes que les autres. Les hommes eux ont le droit d’être plus communs, même si au final, ils auront tous une fière allure. Heureusement qu’au niveau intellectuel et tactique, ces dames ont le droit de s’exprimer, voire d’agir pour les élues (merci Kim et Jaëlle). Mais passons sur cet aspect de la fantasy qui m’agace terriblement, car l’auteur a quand fait des efforts sur ses personnages féminins.

La différence majeure entre Kay et Tolkien, c’est celle-ci : Kay n’épargne aucun de ses personnages, homme ou femme, adulte ou enfants. C’est d’ailleurs intéressant de constater que les destins des enfants sont les plus cruciaux, les plus décisifs pour l’avenir de Fionavar. On peut le dire, Kay manie à la perfection la tragédie et l’inéluctabilité.

Le tome 1 ne m’avait pas enchantée et j’avais peur de lire la suite. Et heureusement (et nouveau point fort) les tomes montent chacun en puissance par rapport au précédent, le rythme s’accélère, et le sentiment d’imminence avec.

Pour une première oeuvre, le travail de l’auteur est dingue (à noter qu’il y a quelques fautes de typos, je pense, dans la version intégrale française). J’ai hâte de découvrir ses livres suivants, que j’espère tout aussi poétiques (et tragiques).

Un récit « bellement tramé », comme diraient les natifs de Fionavar !

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La mosaïque de Sarance, Tome 1 : Le chemin de Sarance

Un mosaïste entame une errance dans une Antiquité fantasmée, jusqu'à atteindre la ville entre les villes, Sarance - reflet de Byzance.

De sublimes passages sur l'art, le mystère, le lien profond entre humains.

Mais, ce qui m'a beaucoup gênée, c'est que les personnages féminins sont très peu crédibles, voire agissent de manière incohérente. Cela m'a beaucoup arrêtée dans ma lecture.

Peut-être certains lecteurs ne rencontreront pas cet obstacle ?

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La Tapisserie de Fionavar, tome 1 : L'Arbre de l'été

un vrai coup de coeur , plein de poésie et un monde de fantasy génial

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Comme un diamant dans ma mémoire

Un roman excellent ! Il est porté par des personnages fascinants, que ce soit Monticola et Folco bien sûr mais également Adria, Jelena et évidemment Guidanio. Je ne suis pas prête des les oublier, ni cette intrigue qui nous fait passer entre tous ces personnages, dans des jeux de pouvoirs passionnants et un duel entre deux esprits brillants. Le tout dans un univers très plaisant inspiré de l'Italie de la Renaissance. J'adore définitivement cet auteur !

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On parle de Guy Gavriel Kay ici :

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