Fabrice Midal

Un livre facile à lire. mais j'aurais aimé plus de conseils pratiques.

Aujourd’hui, je vais vous parler de lecture un peu différente puisqu’il ne s’agit pas de romance, mais d’un livre philosophique. Il s’agit des princesses sont toujours raison de @fabricemidal publié, chez @flammarionlivres.

J’en ai entendu parler sur France 2 il y a quelques semaines et ce livre m’a tout de suite attiré.

J’ai beaucoup aimé cette lecture, A travers 40 des contes et légendes de notre enfance, l’auteur nous présente des leçons de vie. Si certains comptes sont connus (la belle et la bête, peau d’âne et bien d’autre encore), d’autres le sont moins (les 6 cygnes, les habits neufs de l’empreur …).

Ces analyses sont très rapides puisqu’elles font chacune 3 ou 4 pages. A chaque chapitre on se plonge avec plaisir dans l’histoire et les leçons à en tirer. Ses morales de vie sont sommes toute assez prévisibles pour la plupart mais permettent quand même de nous faire réfléchir. L'auteur nous présente une lecture différente et originale des contes de fée, en nous montrant comment ils peuvent nous aider dans nos vies au quotidien.

J’attendais tout de même une analyse un peu plus poussée de ce livre en tant donné ça catégorie. Cela reste tout de même une très bonne lecture qui permet de nous faire réfléchir.

En dépit des bonnes intentions de ce recueil, j'ai trouvé cette compilation de lettres peu originale. De rares récits sortent vraiment de l'ordinaire, comme ceux de Sophie Blandinières, Rokhaya Diallo, Mathias Malzieu ou encore Thibaud de Montaigu, mais beaucoup demeurent hélas sans surprise ni grande émotion.

Ce livre enfonce des portes ouvertes. Malgré tout, je l'ai apprécié car un rappel ne fait pas de mal. Le lien systématique avec la méditation me laisse un peu perplexe dans la mesure où il aborde une "autre" manière de méditer. Globalement, un livre qui fait du bien, dans les périodes compliquées.

Un livre de développement personnel parmi tant d'autres.

Pas grand chose à dire sur ce bouquin si ce n'est que je l'ai trouvé plutôt redondant. Je m'attendais à autre chose de la part de ce livre, j'ai compris les messages envoyés, mais il ne m'a pas marqué plus que ça.

Lecture très surprenante.

Au départ je me suis littéralement barbée. Je piquais du nez, fort peu intéressée par tous ces concepts philosophiques. Ensuite je me suis fais la réflexion qu'il y avait beaucoup de "j'enfonce les portes ouvertes". Étant positive de nature, les choses suggérées, pour le mieux-être, je les ai mises en pratique depuis belle lurette dans ma vie, sans avoir eu besoin de Fabrice Midal (ne lui en déplaise).

Puis sensation de malaise car a contrario j'ai reconnu quelques-uns de mes proches dans certains de ses tristes exemples...et là ça fait mal.😓 Et oh Stupeur j'ai aussi retrouvé la "moi du passé" dans d'autres contextes mis en avant. 😳 Donc Aoutch...et en même temps ça me conforte dans le chemin parcouru.😊

Donc si ce ce petit livre n'a pas eu grand effet moteur sur moi, je ne doute pas qu'il peut être un boost pour d'autres. 😉

D'autant qu'il y a un côté éclairant par les référence citées. Et aussi une bienveillance sincère de l'auteur qui y partage une part de son cheminement par son vécu.

j'ai décidé que je ne lirais que les lettres dont l'auteur m'intéressait. D'où une première fournée.

Albert Algoud, ancien prof, pour évoquer une coïncidence inattendue.

Jul (je ne sais pas qui c'est précisément), pour la meilleure des lettres que j'aurais lues dans cet ouvrage. Elle n'est pas construite puisque c'est une énumération, mais elle est tellement attachante et nous montre quelqu'un qui s'attache.

Plantu, pour ses planches vivifiantes.

Sylvie Testud : l'exposé sur le chewing-gum et ce prof inventif qui distribue, comme d'autres les remarques, des exposés à faire en 48 heures (c'était signifiant avant Internet).

Bernard Werber : lettre trop courte et trop auto-centrée.

J'en avais fini de mes choix, et me suis dit qu'il fallait faire un second round. D'où :

Charles Berling : gros bof.

Nicolas Beuglet : enfant, il lisait des livres dont vous êtes le héros !

Nicolas Mathieu : lettre pas vraiment passionnante.

Peut-être ferai-je bientôt un 3ème round, pour les auteurs qui suscitent le moins ma curiosité...

très intéressent a lire

Lecture rapide car les chapitres sont courts. Une façon rapide et un peu ludique de revoir les contes sous un aspect plus psychologique. Cela reste cependant assez superficiel, peu creusé, je pense que c'était le but.

C'est rafraichissant !

C’est un ouvrage très intéressant qui propose de réfléchir au lien avec sa mère, que l’on s’entende ou non avec elle d’être critique vis-à-vis de ce lien, d’être plus objective sur cette dernière, soumise elle aussi notamment au patriarcat.

J’ai trouvé que l’autrice laissait de la place à la réflexion personnelle, tentait d’aborder des questions pour traiter au mieux et de façon complète cette information. C’est un ouvrage qui à mon sens est introductif à la question de la transmission générationnelle.

Ici, l’autrice aborde ce qu’est la blessure maternelle, la façon dont elle va s’exprimer, mais aussi de pistes de résolutions pour aller au-delà de cette dernière. Elle insiste sur l’importance de s’interroger sur cette blessure, que l’on soit une femme ou un homme. La mère étant une figure très importante, il est intéressant de s’interroger sur sa propre personnalité et construction notamment via le prisme du patriarcat qui a pu influencer, par ses attentes sur les femmes, ses comportements, y compris vis-à-vis de son enfant.

On sent que Bethany Webster est informée et spécialiste sur le sujet, sa plume est très agréable, et j’ai apprécié les pistes suggérées à la fin de chaque chapitre permettant de réfléchir à côté de sa lecture. Les exemples sont clairs en tout cas et sont libérateurs parfois.

C’est une lecture de développement personnel qui est donc une lecture encore plus une expérience unique, selon chacune et chacune. Personnellement, j’ai trouvé que c’était introductif à la question, m’ai permis de permettre des mots sur des maux, des sensations. M’intéressant au féminisme, j’ai trouvé aussi des pistes intéressantes sur la transmission, sur la famille.

Pour moi, c’est donc une lecture qui est pertinente, consciencieuse dans son travail et permet un premier travail, une compréhension de cette blessure.