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Benoît Dellac

Auteur

116 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par JaxAvolltech 2014-06-11T12:57:46+02:00

Biographie

Né en 1982, dans un petit village prés de Toulouse. Pendant mon enfance, je berce mon imagination avec Tintin, Astérix, les Schtroumpfs comme beaucoup d’entre nous. Puis à l’âge de 11 ans, je tombe sur mon premier comics dans le grenier, anciennement à mon père. Je découvre le mensuel Strange avec ces histoires de Spider-man ou bien encore Iron Man et les Vengeurs. Depuis ce jour, ce plaisir de lire des comics perdure. La vie continue et mon rêve de faire de la BD ne cesse de grandir mais reste un rêve inaccessible.

Ensuite en 2004, je fais mon entrée dans l’Ecole Pivaut à Nantes. Après 2 ans et demi de cours, j’arrête le cursus pour me lancer dans des projets divers. En 2008 , je rencontre Thierry Gloris grâce à un ami et collègue, Jean Paul Bordier (dessinateur de « Souvenir d’un Elficologue » avec Thierry au scénario aux éditions Soleil Celtic). De cette rencontre naîtra "Missi Dominici" (aux éditions Vents d’Ouest), ma première BD et mes premiers pas dans le monde de la bande dessinée.

Enfin en Avril 2009, je suis contacté par Nicolas Jarry qui me propose de mettre en scène l’œuvre de Roger Zelazny," Les princes d’ambre". Ne connaissant pas encore cette œuvre, je suis intrigué et je me plonge dans cet univers si particulier. Et me voici aux commandes d’une nouvelle aventure !

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Note moyenne : 7.85/10
Nombre d'évaluations : 61

0 Citations 16 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Benoît Dellac

Sortie France/Français : 2022-05-11

Les derniers commentaires sur ses livres

Sonora, Tome 1 : La Vengeance

La ruée vers l’or ! Un épisode important dans l’Histoire des États-Unis mais je ne l’avais jamais vu traité que de manière drôle, à la manière de Picsou ou de Lucky Luke.

Cet album avait titillé ma curiosité et vu qu’il était en seconde main pour pas cher, je ne risquais rien à l’acheter.

Dans le pire des cas, je l’aurais donné ou, avec un peu de chance, j’allais découvrir une nouvelle saga western pour mon plus grand plaisir.

Pas de déception, le plaisir fut au rendez-vous ! Bon, pas eu niveau des dessins des personnages, là, j’ai un tout petit peu moins aimé car il y a peu de plans larges, le dessinateur ayant préféré les plans serrés donnant peu de place aux décors environnants.

Dommage, j’apprécie toujours les plans plus larges mais sans doute le dessinateur (ou le scénariste) a préféré se concentrer sur les plans resserrés et les physionomies des différents visages.

L’album nous offrira tout de même quelques plans larges qui seront bien exécutés, que ce soit au niveau du trait ou celui des couleurs.

Du point de vue de l’histoire, il est simple : la vengeance ! Je ne spolie pas, tout est dans le titre. Maximilien Bonnot (sans sa bande – mdr) rêve de se venger et pour cela, il n’hésitera pas à passer du côté obscur, sans jamais vraiment franchir la ligne rouge tout à fait.

Prêt à tout pour assouvir sa soif de vengeance, mais il reste tout de même humain pour le reste. Le personnage n’est pas tout blanc ni tout noir mais oscille entre le gris clair et le gris foncé.

Sur un scénario classique, éculé, vieux comme le monde, les auteurs arrivent tout de même à nous servir un bon western, comme je les aime, avec des personnages intéressants, mystérieux, des lieux mal famés, des voleurs et des salopards, des magouilles en tout genre et la folie du métal jaune qui fait que les Hommes sont prêt à tout pour lui.

Mais il y a toujours la petite histoire insérée dans la Grande et c’est là que ça devient intéressant car en plus de vivre en partie la Ruée vers l’Or, nous aurons aussi un épisode de la révolution française de 1848…

Un western qui a potassé ses classiques mais qui nous les sert avec un autre sauce spaghetti qui ne manque pas de piquant.

J’ai hâte d’acquérir le suivant afin de voir ce que nous réserve l’histoire de vengeance de Maximilien Bonnot.

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Serpent Dieu, Tome 1 : Les Larmes d'Odin

Prévisible et peu intéressant. Dommage, il était prometteur.

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Sonora, Tome 2 : Lola Montez

L’Histoire est un éternel recommencement et ceux qui fustigeaient les comportements des uns, s’empressent toujours de faire comme ceux qu’ils vilipendaient avant de les chasser. Un clou chasse l’autre et notre Maximilien Bonnot a tout du marteau.

1850. Nos mineurs français grognent, la Californie vient d’être nommée 31ème états des États-Unis et le mot "impôt" les fait grimper au mur.

Pourtant, ces gens creusent sur une terre qui n’est pas la leur et n’apprécieraient qu’on vienne creuser dans leur jardin… Mais ce qu’on aime pas que l’on fasse chez nous, on le fait chez les autres.

La politique et toujours la politique, c’est le maître mot de cet album, avec l’élite au pouvoir et les damnés de la terre qui, tout comme Tuco dans "Le bon, la brute et le truand", creusent car c’est une élite qui a le pouvoir (et des revolvers chargés).

N’oublions pas, dans ce tableau qui n’a rien de socialiste, la vengeance que Max (Maximilien Bonnot) voudrait assouvir sur l’homme qui lui a fait vivre l’enfer durant la révolution française de 1848. Il connait son nom, mais pas sa gueule et un nom, ça se change.

Heureusement que la belle Lola n’a pas que des charmes de chair mais aussi un petit talent d’enquêtrice… Elle va lui trouver, le nouveau nom.

Dans ce deuxième et avant-dernier album, tout le monde évolue : Tortillard devient un porte-flingue fou, sans pitié, loin du gamin sages des premières pages, Lola nous montre ses charmes (oups, elle ne change pas), Max se rend compte que ceux qui ont chassé les Hounds qui faisaient vivre l’enfer aux placers, sont devenus comme eux, le général de Freney a des encore plus hautes ambitions qu’avant et les mineurs français pensent qu’après avoir foutu la raclée aux soldats américains, ceux-ci n’y reviendront plus.

Les dessins sont toujours dans les tons chauds, bien esquissés, sauf parfois les têtes des chevaux, on évolue dans le scénario, on change aussi de place puisque nos amis vont quitter la Californie pour le Sonora et la politique fait une entrée tonitruante dans le récit. Elle n’est jamais bien loin, elle.

On a du rythme, de l’action, de la violence, de l’Histoire, des gens qui rêvaient d’un monde meilleur, d’un monde plus juste et qui ont trouvé pire que ce qu’ils ont quitté en France.

La fameux Monde Libre n’est pas aussi libre qu’on le pense… D’ailleurs, il est né sur des vols, des spoliations, des massacres, des guerres et ses nouveaux habitants ne sont jamais que des Hommes qui ont quitté leurs pays respectifs, de gré ou forcé (Europe, Asie, Afrique).

Au final, que l’on soit miséreux aux States ou en France, on se fait toujours exploiter par les autres, ceux d’en haut et ce sont toujours les petits qui pâtissent en cas de coups durs, pas le puissant en haut de son trône, caché derrière ses sbires qui ont tout d’assassins patentés.

On veut la Liberté pour soi, pas pour les autres, en ce qui concerne l’Égalité, si on n’est pas dans les Hauts du Tiroir, on la revendique, mais si on est en Haut, l’Égalité, on s’en branle…

Pour la Fraternité, on repassera car si on veut être accueilli correctement ailleurs, nous sommes de piètres hébergeurs, tout le contraire de Nausicaa, celle qui vêtit et nourri le naufragé que fut Ulysse.

Un très bon tome que j’avais lu début d’année mais pas encore chroniqué. Le relire m’a fait du bien, cela permet toujours de se remettre les faits en place et quand la bédé est bonne, pourquoi s’en priver ?

Dommage que le tome 3 clôtura la série car il y avait encore moyen d’aller plus loin, d’explorer plus le coeur des gens, leurs rêves, leurs utopies, leurs idéalismes et de nous montrer que tout cela, c’est du vent et que les politiciens feront vite retomber le soufflé de l’espoir.

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Nains, Tome 13 : Fey du temple

Quelle est la place des bavettes (femmes) chez les Nains ? Simple : pondre des marmouses et faire la cuisine, c’est tout ce qu’elles peuvent faire, elles n’ont pas d’autre place dans la société horriblement machiste des Nains.

Fey ne m’étais pas inconnue… En effet, elle appartient à la terrible Légion de Fer du seigneur Bram que j’ai retrouvé dans le tome 14.

Mais Fey, je l’avais croisé dans « Jorun de la Forge » et dans « Torun de la Forge » où Brum promenait encore sa grande carcasse et Fey sa poitrine. Torun est là aussi dans cet album, avant qu’il ne devienne forgeron… J’étais avec des vieilles connaissances, moi.

On allait enfin en savoir plus sur ce personnage féminin qui était tout de même dans la Légion de Fer où elle savait tenir le rang et se battre.

Sa mère est mourante et on ne peut pas dire que tout était rose entre elles. Tiens, dans les albums des Nains, on a souvent des conflits entre père et fils et maintenant, on ajoute entre mère et fille. Un classique, vous me direz.

La fille cachée est aussi un classique car Fey a pour père Aral du Temple. Décidément, tout se tien bien dans les Nains, tout comme dans les Elfes et il me faudrait relire tout ça cul-à-cul pour tout remettre dans le bon ordre.

Dick Rivers le chantait : ♫ faire un pont, pour de bon ♪ et c’est ce que Fey va faire : reconstruire le pont de Karz’Karn qui a été détruit il y a des lustres et qui simplifierait la vie de toute la vallée.

Pourtant, vu d’ici, le truc paraît impossible et il y a toujours le problème des portances, comme le disait si bien François Pignon dans le Dîner de Cons.

Fey était de la Légion de Fer, la voici se transformant en Fey du Temple et revenant sur les traces de son passé qui n’était pas tendre car quand on a une belle paire de fesses et de loches, ça attire les mains d’homme, pardon, de Nains concupiscents profitant de leur pouvoir pour vous tripoter. #BalanceTonNainPorc.

Faire un pont, c’est relier les gens, les populations, c’est faire un passage entre deux vallées, c’est faire gagner du temps à tout le monde, c’est montrer les prouesses techniques dont une femme est capable, surtout quand Fey se fait aider par toutes les bavettes du coin. WonderWoman ou WonderNaines ?

Dans cette aventure plus qu’épique, on retrouve un peu d’amour, mais en touche légère, sans que cela ne vienne parasiter l’album, c’est très ténu, tendre, et le triangle amoureux ne dégénère pas comme on aurait pu le craindre.

Les bâtons dans les roues ne manqueront pas, les Nains mâles n’aimant jamais qu’une pisseuse leur montre qu’elle est plus forte, plus maline qu’eux et certains préfères même voir tout s’écrouler dans leur Monde que d’accepter qu’une femme ait raison et pas eux.

Un bel album, un bel hommage à nous les femmes et au fait que nous pouvons accomplir de grandes choses, même sans les hommes, ces mêmes hommes qui s’empressent de récupérer leurs prérogatives une fois revenu du front… Des fois qu’on voudrait garder le pouvoir ou continuer de bâtir sans eux…

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Commentaire ajouté par Teslha 2020-01-10T15:33:56+01:00
Nains, Tome 13 : Fey du temple

De ce que j'ai lu jusque là, c'est le tome que j'aime le moins. Pour dire, je le trouve un peu inutile ^^ je vais pas spoiler mais l'histoire de Fey n'est pas très intéressante (ce n'est que mon avis personnel). On en apprend un peu plus sur ses origines, ce qui lie ce tome au précédent, mais ça ne va pas plus loin. Perso je la trouvait très bien dans la légion de fer.

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Nains, Tome 13 : Fey du temple

Fey est sûrement un des personnages les plus admirables de la série Nains. Elle est fort, déterminée et inflexible. Et comme quoi même les plus grandes guerrières peuvent connaître les joie de la maternité.

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Commentaire ajouté par bourguip 2022-06-12T11:46:39+02:00
Nains, Tome 13 : Fey du temple

Fey est l'un des personnages centraux de la sage "nains", c'est une guerrière hors pair. Dans ce tome, c'est son origine du temple qui est mise en avant, on découvre un pan de sa vie "d'avant". Une excellente lecture !

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Pendragon, Tome 1 : L'Épée perdue

Une excellente lecture. Les dessins sont tout bonnement à coupé le souffle. Vraiment j'ai passé de longue minutes devant chacune des planches. Et l'histoire n'est pas en reste. Les dialogues sont écrit avec une superbe plume plume et l'histoire est prenante. D'autant plus quand on connait mon amour inconditionnel pour tout ce qui traite des légendes arthuriennes. Je vous le recommande chaudement.

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Hawkmoon, Tome 1 : Le Joyau noir

Fan de Michael Moorrcock à travers le cycle d’Elric, j’avais dans ma PAL des tomes de la série Hawkmoon que je n’ai jamais commencée. L’occasion d’une rencontre avec le dessinateur Benoît Dellac m’a donné l’occasion d’avoir un aperçu de cette saga. Et je ne suis pas déçu, par le fond mais aussi par la forme de cette bande dessinée. Déjà une chose certaine le premier roman d’Hawkmoon ne va pas rester longtemps dans ma pile à lire.

Les Granbretons dévastent l’Europe par le feu et le fer. Dorian Hawkmoon, jeune duc de la cité de Köln résiste bravement aux forces dévastatrices. Trompé par le chef des armées adverses, il finit dans les geôles de Londra. Les forces maléfiques vont le marquer d’un joyau noir pour le contrôler et conquérir le reste des royaumes adverses.

❓Avez-lu la saga Hawkmoon de Michael Moorcock ?

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Pendragon, Tome 1 : L'Épée perdue

Un premier tome intriguant ; les dessins sont splendides et la réécriture de la légende est originale (en tout cas c’est la première que j’en lis une comme cela).

Vivement la suite !

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Editeurs

Soleil : 7 livres

Delcourt : 6 livres

Glénat BD : 4 livres

Vents d’Ouest : 3 livres

Glénat : 3 livres

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