Alex Parker

Je n’ai pas apprécié ce roman apocalyptique. Pourtant j’ai beaucoup aimé le tome 1.

Trop de description scientifique. Des scènes trop détaillée

Une planète, Tsahan, dotée d’une belle végétation. Deux peuples antagonistes. D’une part, les Egyssiens ou peuple du Dessous. Depuis le Grand Renversement, tout ce que produit la planète leur est devenu impropre à la consommation, sauf pour une poignée d’entre eux, les Elus, dont font partie Epoq, Cassion et Octavia.

L’autre peuple, les Elestiens, ou peuple du Dessus. Ils ne sont pas originaires de cette planète. Accueillis autrefois avec bienveillance par les Anciens, ils ne se sont pas révélés aussi amicaux que prévu. Les Egyssiens sont pour eux des sortes d’esclaves « donneurs d’années de vie supplémentaires. Ce « souffle de vie » est une monnaie d’échange, les Elestiens leur donnant des « miettes » en retour. Un groupe de soldats appelés les Révocateurs, fait la chasse aux Elus qui font des incursions dans leur domaine, incursions ayant pour but de récupérer du souffle de vie quasi-volé, souffle qui sera redistribué à ceux qui sont devenus des Sans Couleur. L’un de ces Révocateurs est le Primo Rean, craint de tous, Elus et Révocateurs compris.

Les deux peuples sont séparés par une barrière de microparticules, le Fréeï, mortelles pour ceux du Dessus qui se sont installés dans une zone qui en est dépourvue. Le Fréeï empêche également toute forme de technologie de fonctionner.

Qui va gagner cette « guerre » ? Pourquoi le nombre 77 est-il important pour les Elus ? Quel rôle Rean va-t-il jouer dans cette histoire ? Que vont-ils découvrir ?

L’univers de l’auteur est difficile à décrire en quelques mots. Il est complexe, mais tout s’installe, s’imbrique et finit par s’expliquer. Les personnages et l’histoire de ces peuples sont présentés petit à petit et on apprend au fur et à mesure de la lecture.

C’est un peu déstabilisant au début, parce qu’on rentre dans le vif du sujet sans aucune présentation. On n’a aucune base et on se demande où veut nous emmener l’auteur. Mais comme c’est bien écrit et que le style est agréable, on a envie de continuer. La curiosité est piquée au vif et on veut comprendre. Finalement on se laisse prendre au jeu et les pages défilent…

En bref : L’image de couverture est superbe et donne une idée très nette de cette planète ; l’accroche est très intrigante. Un aperçu extérieur tout aussi réussi que le roman. Une histoire que j’ai pris grand plaisir à lire et que je conseille aux amateurs de SF. Ambiance Avatar garantie !

Je découvre Alex Parker avec son dernier livre, Tsahan (prononcer Tsahane).

Ce roman de Science-Fiction se déroule sur la belle planète Tsahan. L’écriture très imagée au riche vocabulaire permet de la visualiser parfaitement.

L’auteur nous entraîne immédiatement au sein de l’intrigue et nous dévoile au fur et à mesure ce monde totalement inconnu. Les personnages portent des noms étranges aux belles sonorités ; la flore nous enveloppe de sa luxuriance ; les décors aux magnifiques arbres, multiples cascades et bassins sont majestueux.

Et pourtant…

À travers les aventures de deux peuples que tout oppose, Alex Parker invite à un questionnement fort intéressant sur la dignité, la transmission des savoirs, la pertinence des traditions ainsi que sur les limites du progrès.

Plusieurs scènes poignantes interrogent inévitablement sur la légitimation de l’évolution à tout prix.

Un très bon roman de SF à consommer sans aucune modération.

https://leschroniquesdecendrillon.wordpress.com/2020/07/26/chronique-litteraire-174-tsahan-de-alex-parker/

En attendant nous voici face à un réel coup de cœur comme je n’en avais pas eu depuis longtemps et sans doute le premier dans le registre science-fiction! Je dirai même que ce roman s’inscrit également dans la lignée fantastique tant son univers est complexe et magnifique à la fois. Tout est parfait! le rythme, la richesse de l’écriture, antithèse, métaphore, le fond autant que la forme nous emmène dans un autre univers celui de Tsahan qui à l’image du monde d’Avatar nous subjugue du début à la fin.

Le récit est dynamique, mystérieux, les personnages attachants, le suspens omniprésent, les retournements de situation pertinents, l’intrigue complexe, bref tout est savamment dosé pour nous faire passer un bon moment! De même, l’auteur développe son univers avec poésie sans lourdeur ni descriptions qui n’en finissent pas. On ne s’ennuie pas une seconde durant cette lecture vivifiante. C’est un réel bonheur qui se déguste lentement pour faire durer l’immersion dans cet univers et en même temps rapidement tant on est avide de connaître le fin mot de l’histoire.

C’est sans aucun doute une perle de l’autoédition qui montre bien que les auteurs auto édités gagnent à être connus et à avoir leur place en librairie! Comme je le disais tout y est, l’aventure est entraînante, le récit ne se construit pas sur un approfondissement d’un personnage en particulier mais plutôt sur la mise en avant non d’un individu mais d’une cause tout entière, un univers même. Tsahan est vivante, elle est maîtresse du début à la fin. Les guerriers Titans sont un vrai souffle épique dans le roman et j’ai apprécié le lien entre les élus et leurs « liaisons ».

Les personnages des Sages font froid dans le dos et nous poussent à nous interroger sur les conséquences d’une course effrénée au progrès et à l’évolution qui semble ne se faire qu’au détriment des « faibles ». Une vraie réflexion est proposée au lecteur qui ne se contente pas de réfléchir passivement durant sa lecture. Je vous conseille vivement de découvrir ce roman qui vous fera découvrir un univers merveilleux au mille couleurs!

Un grand merci à l’auteur pour sa confiance et sa gentillesse.

Je ne vais pas tenter de vous donner un aperçu de cette histoire autre que le résumé ci-dessus. Non pas qu’il n’y ait rien à raconter, bien au contraire la planète Tsahan est un monde si riche, si exotique et si étranger qu’il faudrait un roman pour cela et ça tombe bien l’auteur le fait beaucoup mieux que moi !

Je vais vous parler d’une fiction où « personne n’est condamné à l’erreur » c’est l’essentiel du message distillé par l’auteur, à savoir qu’on peut à tout moment changer de voie pour s’améliorer ou réparer une erreur.

C’est une des leçons que je retire de cette lecture, il y en a d’autres liées à la nature elle-même, qui si elle n’est pas sans rappeler celle du film Avatar, semble vouloir nous murmurer des choses à l’oreille.

L'auteur choisit d'élever la planète au rang de héros car les protagonistes forment deux camps séparés mais Tsahan est à la fois le trophée à gagner et l'arbitre de cette bataille, et c'est dans l'unité qu'est la victoire.

Pour tout vous dire ce roman m’a fascinée, l’action est forte, les questionnements permanents, le langage est précis et souvent poétique, dans des descriptions très détaillées au point qu’il faut se concentrer pour ne pas perdre le fil.

L'univers d'Alex Parker est à lui seul porteur de leçons et mériterait un et/ou autres tomes, les images qu'il nous offre feraient un beau scénario de film, en attendant son livre est une réussite.

Je remercie Alex Parker pour m'avoir proposé de lire son nouvel univers. J'avais déjà eu l'occasion de découvrir l'auteur avec un autre de ses livres que j'avais bien aimé (le premier tome de la Liturgie des anges) et c'est tout naturellement que j'ai accepté. La couverture est magnifique est montre une partie de cette planète, une partie insoupçonnée par la plupart de ses habitants, un véritable paradis pour ceux qui peuvent y aller sans craindre quoique ce soit.

Tsahan est une planète qui vit, qui s'impose, qui essaye de survivre aux deux mondes qui s'affrontent. Un jour, un peuple est venu sur cette terre et a réussi à obtenir des secrets que les anciens n'auraient pas dû dire. Ces nouveaux arrivants sont devenus ceux du dessus, avec leurs propres règles, leurs façon de commander les autres et de réussir à prendre le souffle de vie des habitants du dessous. Quant à ceux d'en bas, ils sont obligés de les écouter, ne pouvant plus survivre avec une terre qui ne leur apporte plus rien. Les années ont passé tout comme les siècles et l'espoir semble être devenu juste un mot écrit sur un mur quelque part.

Les descriptions de l'auteur sont pointues sur les lieux, la végétation, les liens entre les élus et les animaux. (Je parlerais des élus plus tard) Je ne me souviens pas avoir vu une seule faute dans le texte, une tournure de phrase bizarre, le texte est (sans entrer dans l'histoire) parfait à mes yeux. Les mots choisis sont imposants, laissant une grande part de complexité dans le texte. La plume est travaillée, les décors aussi. Le texte est complexe et je dois admettre que j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Du départ nous suivons Octavia qui voit sa mère mourir sous ses yeux. Le souffle de vie n'est pas arrivé à temps pour lui redonner quelques mois, voire quelques années de plus. Ce fameux souffle qui est au coeur du problème des deux mondes. Celui du dessus n'hésite pas à le marchander pour le récupérer en échange de nourriture, et ceux du dessous vont jusqu'à offrir celui des enfants pour tenter de survivre, devenant ainsi des sans couleurs. Des hommes, des femmes, des enfants dont la couleur des cheveux disparaissent pour être blanche.

Un combat entre les deux mondes dur, difficile, allant jusqu'à tuer pour obtenir leur dû ne laisse pas indifférent. Nous suivons donc Octavia, qui va découvrir autre chose, un monde à part, celui des élus. Ils sont différents de part un certain nombre d'éléments. Les élus sont capables de beaucoup de choses, de voir au-delà, de se connecter avec la nature et bien d'autres encore. Et puis il y a également ce Féeï, un moyen de protection de ceux d'en dessous qui est à la fois une bénédiction et une malédiction. L'un ne va pas sans l'autre dans cette histoire, à quelque chose de bon, un malheur survint. Le fait de récupérer le souffle des voleurs apporte paix aux Egyssiens (ceux du dessous) et mauvaises nouvelles aux Elestiens (au dessus donc). Epoq est un des élus, nous le savons de suite et capable de grandes choses. Il est une sorte de chef des élus, une poignée d'hommes et de femmes qui se battent pour leur peuple.

Epoq, Cassion, Octavia, Tiko sont prêts à tout, ou presque pour obtenir gain de cause contre les sages, les Révocateurs, le Primo. Des personnages qui se battent pour leur cause, qu'ils pensent juste chacun de leur côté. Aucun des deux ne regarde réellement ce qui peut se passer une fois le souffle repris ou volé. Il faut vivre d'une manière ou d'une autre et les conséquences même connues ne peuvent pas être ignorées longtemps. La planète risque de se rebeller et elle va nous le prouver au fil du temps et du récit. Rean est le Primo, celui par qui il faut passer pour atteindre les fameux sages, celui qui est le garant de la sécurité de son peuple Elestien. Il est très présent dans le récit et apporte la part de mystère qui entoure un autre personnage.

L'échange entre les deux peuples est risible dans le sens où ceux d'en dessous n'ont le droit à quasiment rien. Deux mondes qui s'affrontent sans cesse. La technologie est très présente au dessus alors qu'elle est inexistante en bas. Le fameux Féeï empêche ce qui n'est pas "nature" de descendre. C'est une guerre des nerfs qui s'ajoute à celle de l'humain journalière. Les fameuses vagues donnent un peu d'espoir, mais pour combien de temps ? Ce progrès semble de trop pour les uns qui ne cessent de vouloir plus, toujours plus et même au-delà de l'imaginable. L'impensable semble être de mise, les sages sont au-dessus de tout soupçon et pourtant... pourtant il se trame des événements que nul n'aurait pu prédire. Est-ce que vivre sans cette connaissance serait mieux ? Seuls les personnages peuvent nous le dire. C'est l'arc et ses flèches contre une machine de guerre, un Robin des Bois des temps modernes qui à un côté sombre qu'on en peut pas nier.

En conclusion, l'écriture est vraiment travaillée, malheureusement trop pour moi. Trop de descriptions des lieux, le début est très lent pour mettre en place les personnages, ce qui se passe vraiment et le pourquoi cela se passe ainsi arrive tardivement. Je n'ai pas réussi à ressentir quelque chose pour les personnages qui ne sont pas détaillés en comparaison du décor. Le récit est riche en événements, en action, en scènes particulières. Je ne m'attendais pas à une histoire si complexe où je me suis perdue, je dois bien l'avouer. Je pense être passée à côté de pas mal de visions de l'auteur et je le regrette sincèrement.

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/tsahan-alex-parker-a202158236

Le monde des récits fantastiques est un domaine que je ne lis quasiment pas car c'est beaucoup trop compliqué pour moi mais qui malgré tout m'intrigue. La curiosité étant un vilain défaut, je me suis dit "allez en route vers une nouvelle lecture".

Tsahan est une planète à l'opposée de la nôtre: elle a une nature luxuriante, vivante et diversifiée. Les animaux qui y vivent sont tout aussi particulier. L'auteur a donné tellement de détails qu'il est facile de pouvoir l'imaginer en fermant les yeux et nous ferait presque rêver. Mais au-delà de cette beauté naturelle et de ses animaux originaux, nous nous retrouvons en face de deux mondes que tout sépare. Nous avons les gens du dessus et les gens du dessous.

En tournant les pages les unes après les autres, j'ai eu l'impression de retrouver les traits de notre chère planète et de ses habitants. Les 2 extrêmes: les riches et les pauvres. Les uns profitent des autres. Un combat inégal qui s'engage pour la domination. Mais dans Tsahan, on découvre Epoq, Cassion et Octavia qui sont les élus, les meneurs et qui la particularité de pouvoir communiquer par l'esprit avec leur animal.

Il est vrai que j'ai rencontré quelques difficultés à m'imprégner de l'histoire car tout est très complexe (ou semble l'être pour une personne comme moi). Beaucoup de détails que j'ai eu du mal à retenir et pourtant à un moment la connexion s'est faite. J'ai réussi à comprendre leur vision, leur but et leur choix. Vouloir rétablir l'ordre et équilibrer les choses. Tout ce qui est de plus naturel. Tout ce qui dans cette histoire, on pourrait presque retrouver les mêmes critères dans notre monde. Mais au-delà de ce combat concernant l'équilibre se cache un commerce bien plus vicieux. Mais pour savoir de quoi il s'agit, il faudra lire ce roman. La description de ce type de commerce me fait froid dans le dos car parfois ce qui n'est qu'une histoire pourrait apparaître dans la réalité. Ne dit-on pas que souvent la réalité dépasse la fiction.

Alex Parker a une imagination débordante et précise. Il sait ce qu'il veut faire comprendre et utilise un vocabulaire adapté, recherché. Il donne presqu'envie de vivre sur cette planète. Les actions sont soutenues et très précises et surtout il ne laisse pas le lecteur s'endormir et des surprises apparaissent ça et là. Même si pour moi, ce type de roman est vraiment compliquée, les amateurs du genre vont être ravi. Immersion totale dans un autre monde, sensations en tout genre.

Je tire mon chapeau au travail fourni par l'auteur pour attirer le lecteur dans son monde. On ressent son envie que l'histoire plaise aux lecteurs. Même si je ne suis pas fan du genre, j'ai passé un bon moment de lecture.

Salut, j'avais beaucoup aimé le premier tome, l'histoire est juste dingue ! Je suis une fana des histoires pleines de surprises. Niveau rebondissements, je suis servie ! Bon, l'écriture est pas mal pointue, j'ai quelques fois du prendre le dictionnaire mais je préfère cela que de lire un roman écrit dans le langage de tous les jours .

Ce deuxième tome vire complétement dans la science-fiction, je ne m'y attendais pas, mais c'est top. Beaucoup de choses scientifiques apportent du crédit à l'histoire... Et la fin, juste impossible à prévoir.

Pour finir, cette lecture est quasi philosophique.

Je découvre Alex Parker avec son dernier livre, Tsahan (prononcer Tsahane).

Alors déjà cette couverture magnifique m'avait intriguée, et je trouve qu'elle est vraiment représentative de l'univers dans lequel l'auteur nous fait plonger.

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Tsahan, une planète avec une végétation luxuriante, des paysages sublimes, presque irréels et magiques, des cascades, des lacs... L'atmosphère du "Dessous" est hyper bien décrite et, pour moi qui suis très sensible à tout ce qui touche à la nature, j'ai trouvé ça juste magnifique.

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Mais tout n'est pas tout beau tout rose, sinon ça ne serait pas drôle...

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L'envers du décor : les Elestiens, peuple venu d'une autre planète et ayant envahi Tsahan, font tout pour s'emparer d’une terre qui leur résiste, quitte à massacrer tous ceux qui se mettent en travers de leur route. Se considérant comme une race supérieure et œuvrant pour leur propre évolution, vont-ils parvenir à leurs fins ?

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J'ai adoré ma lecture : la plume de l'auteur, les personnages, le monde de Tsahan, les rebondissements, les parallèles qui sont faits avec notre monde actuel, les émotions et les messages que l’auteur a voulu faire passer au lecteur (encore une fois, ce sont des messages auxquels je suis sensible et auxquels j’adhère totalement !)

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Si vous aimez la science-fiction et les mondes mystérieux où s’entremêlent nature et enchantements, n'hésitez pas, vous allez adorer !