Lorelei Martin

Je dois dire que j’avais un peu du mal au début de ma lecture à cause du temps utilisé. Mais tout ça s’est très vite évaporé quand j’ai commencé à rentrer dans le vif du sujet !

Un sujet qui me tient particulièrement à cœur, car je suis une grande fan des États-Unis. Cet événement tragique du 11/09/2001, je ne l’oublierai jamais, alors que j’avais tout juste 11 ans et que je rentrais du collège.

Tout au long de ce roman, j’ai senti mon coeur cogner très fort à travers ma poitrine. Même si je savais ce qui allait se passer, je n’ai pas pu m’empêcher de lire avec une espèce d’angoisse et d’appréhension, mais en même temps l’envie de continuer l’histoire.

Nous faisons la rencontre de Penny, et de nombreux personnages que j’ai adoré. Ils ont tous un petit quelque chose bien à eux. Je n’en dévoile pas plus, volontairement, sur les personnages pour ne pas vous spoiler !!!

Je voudrais dire un grand BRAVO à @lorelei.martin et souligner son implication et ses recherches liées aux attentats de New York. Honnêtement, c’est comme si j’y étais, et je ne vous parle même pas du mal être que j’ai ressenti (team hypersensible).

Une plume addictive, une plume qui se lit avec une facilité déconcertante et une légèreté, malgré les sujets difficiles abordés tels que le deuil, la reconstruction, la peur…

C’est un roman que j’ai adoré lire, un roman qui m’a secoué et qui m’a fait pleurer et que je relierai sans hésitation. Un roman où l’on ressort grandit et avec une sensation de « je veux profiter À FOND de la vie ».

Un bel hommage aux victimes, aux rescapés et à toutes les personnes ayant eu un rôle important avant, pendant et après…

Tout d’abord, je tiens à remercier Lorelei Martin pour sa confiance pour le service-presse.

Préparez vos mouchoirs avant de commencer cette lecture … 

Une histoire si bouleversante, si puissante du début à la fin. Elle relate cet événement si tragique du 11 septembre 2001.

Tout au long de ma lecture, j’ai l’impression de lire un journal intime, un témoignage si poignant, si bouleversant. Tous ces détails, toutes ces descriptions sont si réels, si authentiques. Cela m’a prise aux tripes. J’étais carrément au coeur du drame. Après un tel drame, comment peut-on survivre avec ce traumatisme ?

J’ai tellement envie d’en dire plus, mais je n’en rajouterai pas, je ne spoilerai pas.

La fin, cette fin, mon dieu ! Elle est tellement magnifique si poignante. J’en suis sortie totalement retournée, bouleversée.

La plume de Lorelei est si addictive et captivante, une page-tuner même si c’est si dur à lire, si poignant. J’ai versé tant de larmes pendant ma lecture. En plus de ce drame, un nouveau s’est déroulé pendant ma lecture… une attaque terroriste contre les deux Suédois. J’étais si choquée et cela me fait réaliser qu’il faut vraiment profiter de la vie à pleine dent.

Encore merci à Lorelei pour ta confiance et pour ce magnifique roman. C’est un très bel hommage aux victimes, aux rescapés et à tout ceux qui étaient présents.

Voici une romance tout à fait particulière. Dans un genre sursaturé et qui peine à se renouveler, Lorelei Martin arrive avec un postulat puissant : croiser la petite histoire, celle de Penny, New Yorkaise d'adoption, et la grande Histoire dans tout ce qu'elle a pu faire de plus noir et de plus terrifiant, les attaques du 11 septembre 2011. Force est de constater qu'elle parvient à écrire une histoire riche, poignante, mais qui tend vers la lumière. Un récit de la résilience et de la bienveillance, même dans les pires instants de l'humanité.

Le style de l'autrice est fluide, permettant de rentrer dans le roman très facilement, et très agréable à lire, grâce une narration de première personne efficace et riche en émotions, et une belle maîtrise de la création des personnages. Penelope porte en elle une signature proche du rituel de passage de la jeune femme qui passe de sa ville native à la capitale, sans pour autant tomber dans le cliché "country girl". Elle trouve en New York une maison, et on découvre une vraie volonté de dépeindre l'humanité dans l'inhumanité : les personnages sont, majoritairement, animés par une véritable envie de prendre soin les uns des autres, créant de ce fait une forme de cocon rassurant pour le lecteur, et qui permet de désarmer la brutalité de l'attaque du World Trade Center.

L'histoire de Penny joue avec les archétypes du post-coming of age, le passage de la fin de l'adolescence aux responsabilités de la vie d'adulte. Lorelei entraîne le lecteur dans une mise en contexte plutôt rapide, aisée et néanmoins complète, plaçant au coeur de cet incipit la relation renversante entre la jeune femme et l'amour de sa vie. Le sentiment amoureux quand il est à son paroxysme est merveilleusement capturé par l'autrice, sans jamais tomber dans les grandes lignes élimées du genre. Lorelei fait appel à un souvenir commun, celui des premiers émois, et de cette façon qu'à l'amour de nous rendre joyeux sans raison. La relation entre Penelope et Brody est comme un merveilleux tourbillon dans lequel nous tombons avec délectation.

C'est plus qu'une évidence narrative que de placer cette relation dans l'optique de l'amour fou, c'est aussi une nécessité pour maximiser l'impact de la totalité du récit. Quand le pire arrive, Lorelei s'est assurée d'avoir déjà facilité la création de liens entre lecteurs et personnages.

Le pivot du roman demeure dans l'instant où l'histoire de notre protagoniste et celle de Brody se téléscopent dans la grande histoire, et dans ses heures les plus sombres. Lorelei prend le parti de placer les personnages au centre névralgique de cette catastrophe, mais elle décide surtout de ne pas rester dans une forme de généralité. Grâce à un travail qui est sans aucun doute colossal, elle reproduit les détails des tours, des travaux de déblayage, des fumées, des cris et de la stupéfaction première. Elle fait appel à une mémoire commune, a des éléments que nous avons tous vu, et elle y ajoute une peinture saisissante et spectaculaire de toute ce que la télévision ne pouvait pas transmettre, jusque la peur sans nom qui s'empare de tous les habitants de la capitale américaine.

En plus de cette capture sidérante de réalisme, l'autrice examine en profondeur et intègre dans le contexte global de la romance les conséquences dont on a moins, voire pas du tout parlé : les syndromes de choc post-traumatiques, les affections pulmonaires dues au retombées des fumées et des débris, l'impossibilité d'oublier quelque chose qui est rappelé sans cesse aux familles des disparus...

Cependant, et malgré l'évidente noirceur de ces évènements, jamais le lecteur ne risque de tomber dans le désespoir, bien au contraire. Le parti pris de Lorelei, c'est aussi de prouver que partout, tout le temps, les gens sont capables du pire et du meilleur dans le même espace narratif. Les petits actes d'humanité protègent Penny même quand elle est au plus mal, et l'aident à se reconstruire. C'est un roman qui éclate de vie, et qui défend une vision des gens qui fait du bien.

Enfin, comment ne pas évoquer cette romance bittersweet qui examine et retranscrit le cœur de Penny, ainsi que cette fantastique possibilité : et si nous n'avions pas qu'un seul grand amour dans une vie ? On virevolte, on s'éveille et on s'enflamme avec Penelope, et je me suis surprise plus d'une fois à donner des conseils amoureux tout haut à notre héroïne ! Au final, elle s'en sort très bien toute seule, héroïne forte et fragile, mais toujours touchante et juste, jusqu'à cette fin ronde, parfaite et rassurante.

Pour terminer, A N'avoir Que Toi D'horizon est un roman beau et tragique, sans jamais être plombant. Une romance idéale pour nous rappeler, en ces temps troublés, que le pire et le meilleur du monde sont souvent entrecroisés, et que même quand il nous semble que tout espoir est perdu, il ne faut pas s'avouer tout de suite vaincu.

“𝑵𝒐𝒔 𝒎𝒐𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒋𝒐𝒍𝒊𝒔 𝒂̀ 𝒆𝒏 𝒎𝒐𝒖𝒓𝒊𝒓.”

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Si vous pensez être prêt à plonger au plus près de ce drame qui s’est produit le 11 septembre 2001, non vous ne l’êtes pas. Vous n’allez pas lire mais vivre et ressentir la perte d’un amour et la reconstruction d’une vie. C’est beau, c’est triste, c’est une leçon de vie, c’est Loreleï Martin.

Énorme coup de cœur pour le titre qui renvoie d’ores et déjà à quelque chose de nostalgique et à un amour profond. Les protagonistes ont bel et bien aimé a en perdre la raison

Vous êtes plongé directement dans l’histoire en tant que personnage diététique. Penny nous écrit une lettre à cœur ouverte afin de nous partager son traumatisme et sa perte. Cette lettre nous oblige en réalité à prendre la place de Brody, puisqu’elle s’adresse directement à lui. Ce choix à été très intéressant puisqu’il nous ancre dans ces événements tragiques.

Le livre n’évoque pas uniquement la perte et le drame. C’est une réelle ode à la vie, un message d’espoir laissant entrevoir la lumière future dans ces moments sombres et douloureux du quotidien, dont la perte d’un proche.

J’ai adoré le fait d’avoir autant de détails et de précisions sur ce qui s’était passé, on voit que des nombreuses recherches ont été faites et c’est très plaisant. Nous vivons un amour perdu en même temps que Penny.

Ce livre fait partie de ceux dont vous ne ressortez pas indemne. C’est une pépite, un encouragement à vivre la vie chaque jour comme si c’était le dernier, de le savourer pleinement, car on ne sait pas de quoi sera fait demain.

A tous ces Brody Jack Cooper, ces anges gardiens qui ont pris leur envole bien trop tôt.

Lorelei m'a offert un moment fort en émotion avec ce titre qui nous replonge en 2001, au moment des attaques des deux tours jumelles.

Penny, notre personnage principal, témoigne de sa vie d'avant, et de sa (sur)vie après cet événement tragique qui laissera des blessures profondes.

J'ai eu le sentiment qu'elle se racontait à moi parfois, comme si nous étions amies.

La narration est majoritairement présente avec des temps différents. Au début c'est assez déroutant mais au fil de la lecture, on comprend que l'émotion est décuplée grâce à son récit où elle se livre à cœur ouvert.

La première partie du livre est celle que j'ai préféré car je l'ai trouvé très réelle. On sent qu'il y a un travail de recherche en amont.

La seconde partie est moins réaliste sur les évènements qui se produisent consécutivement (a mon sens).

Un nouvelle fois merci pour ce livre et pour cette piqure de rappel sur ce que la vie nous réserve - ou pas et sur l'importance de vivre pleinement

Ce livre est la suite du roman « Backstage ». Il y a toujours autant de personnages, on passe de l’un à l’autre sans transition au sein d’un même chapitre. Il se passe trop de choses, et on y reste en superficie, on y passe beaucoup trop vite. Beaucoup de thèmes sont abordés, mais peu développés (attentat, maladie, PMA, harcèlement …). Je me suis un peu perdue au fil des ces paragraphes très longs. Je n’ai toujours pas réussi à m’attacher aux personnages malgré la lecture des 2 tomes.

Une histoire réaliste, douce, évidente avec sa dose d’émotions.

Clara a un fort caractère, elle est solitaire, impulsive, elle a tendance à surreagir et à avoir du mal à redescendre pour prendre du recul. Elle est aussi un peu perdue après un événement tragique.

Baptiste est pausé, attentif, patient. Il a des valeurs fortes.

J’ai beaucoup aimé leur relation. J’ai eu un peu peur à un moment avec un sujet parce que c’est quelque chose qui a tendance à m’énerver mais comme Clara était énervée à ma place, ça ne m’a finalement posé aucun problème.

Pour ma deuxième lecture de cette auteure c’était une nouvelle fois une très bonne lecture, pleine d’émotions.

Avant de commencer, je tiens à remercier Lorelei Martin pour sa confiance pour le service-presse.

C’est une histoire à deux voix. Ils sont Clara et Baptiste. Deux protagonistes diamétralement opposés qui ne se connaissent pas et pourtant leurs routes vont se croiser.

Clara est très impulsive avec un caractère assez fort. Elle réagit au quart de tour sans vraiment prendre du recul. Baptiste est un infirmier en or, si attentif envers les autres et qui a une telle patience.

J’ai apprécié le dénouement de l’histoire, même si je trouvais la réaction de Clara un peu exagérée. J’aimerai bien dire un peu plus mais c’est à vous de découvrir par vous-mêmes.

La plume de Lorelei est fluide, agréable et ponctuée de différentes émotions.

Baptiste, un infirmier dévoué à sa vocation en pédiatrie, trouve dans son travail et son engagement en tant que pompier bénévole une véritable raison de vivre. Sa vie prend un tournant inattendu lorsqu'il décide de s'inscrire sur une application de rencontres, espérant trouver l'amour à 32 ans. C'est là qu'il rencontre Clara, une jeune femme au cœur meurtri par la perte de son frère jumeau. Devenue froide et distante envers ses parents, Clara trouve en Baptiste une épaule sur laquelle s'appuyer.

C'est l'histoire de deux âmes marquées par la douleur, mais unies par une connexion indéniable.

Leur rencontre résonne comme une évidence. Malgré les tourments passés et les défis à venir, leur lien se tisse avec une intensité singulière. Au-delà des mots, c'est dans le silence de leurs regards qu'ils trouvent l'écho de leurs âmes blessées.

Au fil des pages, l'amour se déploie dans toute sa complexité, révélant les fissures et les failles, mais aussi la force insoupçonnée qui réside en chacun de nous.

J’ai aussi aimé que l’auteure aborde la dualité du métier de pompier, entre héroïsme et vulnérabilité. Derrière l'uniforme, se cachent des familles anxieuses, des cœurs qui battent au rythme incertain des missions périlleuses. L'angoisse de l'attente, l'incertitude du retour, peignent le tableau réaliste de leur quotidien.

Je vous conseille fortement cette histoire qui résonne comme un hymne à la résilience et à la puissance de l'amour, rappelant que même dans les décombres de la souffrance, une étincelle peut rallumer le feu de la vie.

direction le sud ouest car cette histoire se déroule en France 🇫🇷 ✈️

C’est celle de Clara et Baptiste, deux personnes totalement opposées. L’une est impulsive, l’autre est patient et raisonnable. Ils vont se rencontrer sans se douter un instant qu’ils ont un point en commun..

peut être auraient-ils voulu démarrer leur relation d’une façon différente ?..

Si je devais qualifier cette histoire, je dirais : 𝓡𝓮𝓪𝓵𝓲𝓼𝓽𝓮.

Les personnages ont des noms communs, l’histoire se déroule en France ce qui nous permet de visualiser les lieux et de faire aller notre créativité.

L’intrigue aussi est travaillé autour d’un événement qui nous a tous touché de près ou de loin : le deuil.

Les personnages ne sont pas des sauveurs ou des badboys mais bien des personnes humaines avec des qualités et des défauts mais surtout des émotions qui nous animent au quotidien.

Le seul petit couac, j’aurais aimé qu’il y ait plus de temps entre la découverte de Clara et la naissance de la relation pour approfondir l’attachement aux personnages

Si vous voulez lire une vraie romance, proche de la réalité. Ton petit cœur à la traîne est pour vous