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Claude Rodhain

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Note moyenne : 7.67/10
Nombre d'évaluations : 3

0 Citations 5 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Claude Rodhain

Sortie France/Français : 2022-06-22

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Lildrille 2020-04-22T16:51:23+02:00
Le parfum des poisons

Le parfum des poisons constitue une épopée historique fascinante, qui nous transporte dans le passé de notre pays, la France, à l’époque de Louis XIV, celui que l’on appelait le Roi Soleil. Le lecteur est immergé dans un autre temps, une période de l’Histoire qu’il croit connaître, notamment à cause, peut-être, de ses visites au château de Versailles, ou de ses cours à l’école, agrémentés des pièces de Corneille, Racine ou Molière. Une fois plongé corps et âme dans ce roman, on se rend compte de nos méprises et du fait que l’on ne savait finalement que peu de choses sur les conditions de vie des plus pauvres, la dure réalité de l’époque, les relations entre gens de cours, les préjugés ou les traditions d’un temps qui nous échappe encore.

Le parfum des poisons s’avère un roman historique de qualité qui, en plus de nous transporter dans un récit passionnant et empreint de vérité, nous enseigne le XVIIe siècle avec force et vivacité. Un cours d’Histoire efficace, une leçon de vie poignante, un partage de sensations et d’odeurs salivantes ou répugnantes, et une humanité émouvante.

Comme tout bon roman historique, Le parfum des poisons n’étale pas ses connaissances mais les transmet de telle sorte à ce qu’un lecteur non initié puisse tout suivre et tout comprendre. Ainsi, malgré des titres, noms et lieux qui ne cessent de s’enchaîner, l’auteur ne perd pas ses lecteurs. Au contraire, il les captive tout du long, grâce à un personnage principal atypique, quelques enquêtes alléchantes, des ragots bien épicés, des scènes dramatiques passionnées et une Histoire qui sent bon les trahisons, complots et intrigues farfelues. Celles-ci se suivent de manière intensive, une fois arrivé au milieu du roman.

Les chapitres sont bien divisés entre eux, ne portant que sur certains personnages à la fois, pour que nous puissions suivre et retenir les noms des nobles, ou moins nobles, mis en cause. L’auteur en profite alors pour nous les présenter de manière plus poussée, avec des portraits saisissants qui marquent les esprits. Une fois l’enquête en question expédiée, les personnages mis sur le devant de la scène disparaissent au profit d’autres figures. Le lecteur peut ainsi se débarrasser de toutes ces descriptions pour en absorber d’autres. Procédé efficace qui fonctionne à merveille sans que le lecteur ne se triture les méninges pour se souvenir de chaque personnage.

Fluide et rapide, la lecture du Le parfum des poisons est vive et rafraîchissante, usant d’un vocabulaire d’époque et d’expressions désuètes. Par contraste, la plupart des faits narrés apparaissent davantage comme des scènes sorties de films gores ou d’horreur. L’atmosphère sombre survole toute la lecture, marque une époque noire, aux conditions de vie misérables, aux morts violentes et aux possibilités moindres. Grâce à des détails poussés, l’auteur parvient à nous transmettre des odeurs, des images et des sons d’une époque révolue, d’un temps où il ne faisait pas spécialement bon vivre.

Cette ambiance obscure est accentuée par des décès cruels, des tortures abjectes, des actes de folie répugnants, des trahisons macabres et une éducation stricte à la dure. Heureusement, quelques passages positifs embellissent la lecture, mais ne sont pas majoritaires. Les lecteurs les plus sensibles devront s’accrocher pour tenir jusqu’au bout. En plus de tout cela, Le parfum des poisons nous plonge dans un système royal malsain, avide de pouvoir et de richesse, usant de procédés qui ne diffèrent finalement pas de notre époque. Les manipulations vont bon train, comme l’hypocrisie ou les mensonges, et la justice se montre très solidaire envers ceux qui montrent mains d’or et costumes riches. Bringuebalé d’horreur en horreur, le lecteur découvre un univers réaliste, loin des histoires des contes de fées. Certains noms bien connus de cette époque perdent de leur grandeur mais s’avèrent indubitablement humains.

On ne s’ennuie pas tant les évènements s’enchaînent. Les enquêtes ne durent jamais bien longtemps et se voient résolues plutôt rapidement. Cela permet d’en accumuler plusieurs, sans que cela de devienne une liste exhaustive. En parallèle des affaires de crimes, le roman s’intéresse à plusieurs personnages récurrents, et nous conte leurs histoires.

Certains personnages traversent le roman, comme un ministre important, un lieutenant magnanime et un major sympathique, qui encadrent notre héros. Ce dernier se nomme Pontus, et est un jeune garçon à qui la vie ne fait pas de cadeaux. Sans parent, et recueilli par une marâtre peu aimable, Pontus possède un nez déformé qui lui vaut d’être insulté à longueur de journée. Contre mauvaise fortune bon cœur, Pontus se voit doté d’un don rarissime, qui lui permet de se rappeler puis de reconnaître les odeurs de tout ce qui lui passe sous le nez. Un cadeau inestimable que saura utiliser Louis XIV pour se prémunir contre ses ennemis, versés dans l’empoisonnement.

Les intrigues les plus intéressantes, notamment celles se passant à la cour du roi, tardent à venir. En effet, le roman nous conte d’abord la jeunesse de Pontus, ses égarements et ses premiers jours à la capitale. Traité de sorcier, d’être infâme ou de suppôt du Diable, le jeune garçon doit faire preuve de patience pour se sentir accepté et être traité comme il le mérite. Pour nous faire patienter, l’auteur agrémente les premières pages d’anecdotes et d’explications sur les plantes, substances et liquides utiles en empoisonnement. Tels des alchimistes, les lecteurs s’entourent de décoctions en tous genres, d’ateliers clandestins de qualité et de matériels de professionnels. Le ton est donné.

Le parfum des poisons nous enseigne des faits réels à travers une histoire palpitante, sombre et cruelle, qui débute dans la souffrance et qui se termine dans la solitude et l’injustice. Une histoire de vie à la fois malheureuse et touchante, celle d’un jeune garçon au talent dément, malmené par la vie mais qui essaiera de n’en retenir que les côtés positifs. Une leçon de vie poignante, une leçon d’Histoire perturbante.

L’auteur nous expose ses talents de conteurs, mais aussi ses talents d’historien.

[Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=47808

J'ai mis la note de : 17/20]

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Commentaire ajouté par Lildrille 2022-02-21T00:14:40+01:00
Déviances

Un roman indescriptible

Claude Rodhain nous offre ici un ouvrage particulier, entre mystères, illusions, troubles et enquête endiablée. Une lecture qui se veut également perturbante ; les côtés les plus malsains de l’humain ressortent, le noir et le cruel nous sautent à la figure, portés par un personnage principal auquel il est difficile de s’attacher.

Pourtant, malgré ses nombreux défauts et excès, Vincent finit par nous toucher, aussi incompréhensible que cela paraisse. Entre deux mondes, il navigue en eaux agitées, parfois fou amoureux et tantôt violent et froid. Avec Déviances, l’auteur nous plonge dans un quotidien qui ne laisse pas de marbre et au sein d’une atmosphère déconcertante.

Près de deux cents pages qui vont à cent à l’heure, mais qui laissent l’intrigue de fond s’étioler sur les derniers chapitres. Une fois les secrets révélés, l’intérêt du lecteur décroit, au même titre que les déboires du héros disparaissent. Moins enfiévré, plus lucide, le héros n’en devient que plus dur et effrayant. Une fin en demi-teinte, même si la conclusion se veut plutôt encourageante. Comme le souligne le titre, le narrateur se cherche et se perd : c’est dans cet état qu’on apprend à l’aimer. Il galère, fait des erreurs, aussi perdu qu’à tout un chacun.

Des personnages difficiles à estimer mais efficaces

Le vocabulaire souvent cru et vrai marque et plaît ; le narrateur nous bouscule, alors que la vie ne lui fait pas de cadeau. Même si le lecteur apprend à le connaître au fur et à mesure, Vincent n’entre pas tout à fait dans son cœur, comme tous les autres personnages de ce roman, qui manquent de lumière pour nous emporter totalement.

Secondaires ou plus présents, ils semblent apparaître sous leurs pires aspects ; le mal humain assombrit tous ces caractères, qui penchent vers le noir même s’ils gardent tous du blanc en leur cœur. Imparfaits, menteurs, trafiquants, trompeurs, manipulateurs… Les qualificatifs mélioratifs se font rares au fil des pages. C’est le talent, la plume et l’imagination de l’auteur qui nous poussent à aller plus loin, qui nous aident à entrer plus profondément dans cette histoire pour en démêler tous les rouages.

Dans Déviances, on ne s’appesantit pas sur le superflu et les bons sentiments : ce roman constitue un thriller psychologique et sombre qui plaira certainement aux amateurs du genre. Cependant, il manquerait d’une figure ensoleillée pour contrebalancer, ainsi que d’une morale plus marquée. Malgré cela, les personnages restent efficaces dans leur proposition et description, on les imagine sans peine et on les observe d’un œil attentif, curieux et assoiffé. La réalité dépeinte effraie par certains côtés, d’où le malaise ressenti : l’humanité dans toutes ses ténèbres.

Une intrigue captivante

Vincent semble en proie aux pires angoisses et, en même temps, à l’entourage le moins compréhensif du monde. Du moins, au début. On cherche à déceler le vrai du faux, à démêler tous les mensonges et les illusions. Les peurs du personnage se mélangent aux faits réels, les angoisses vibrantes accompagnent tous ses efforts pour revenir à une vie « normale ». Cette perdition fascine, irrémédiablement. Ses questions deviennent les nôtres, il nous agace, nous énerve, nous frustre, tout à la fois.

Outre le héros, les méandres de l’enquête qui est menée prennent de l’ampleur, s’intensifient pas à pas. Le partis pris infraction financière intrigue, les scènes graveleuses révulsent et attirent, les défaillances de Vincent questionnent et les faux semblants s’enchaînent. Les apparences n’ont jamais été aussi trompeuses que dans ce roman, l’auteur joue de nous et avec nous. Un plaisir et des surprises garantis ! Même la narration étonne par ses tournures et sa construction unique, surtout quand certains points de vue se mélange sans pour autant nous perdre. Claude Rodhain possède une plume qui se remarque et qui mérite d’être lue.

En bref

Un roman qui détonne et étonne : une enquête bien menée et qui ne souffre pas de temps mort.

Une intrigue captivante mais qui s’étiole sur la fin : le héros perd de son côté mystérieux et viscéral, notamment quand tout est révélé.

Des personnages qui fascinent mais auxquels il est difficile de s’attacher : peu de lumière, et trop de vices, même si le roman se veut réaliste, peut-être un peu trop.

Une atmosphère suffocante et des apparences trompeuses : une fin satisfaisante dans la résolution de l’enquête.

Une plume qui marque : des dialogues au langage cru, une narration qui mélange les points de vue.

[Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : https://www.lavisqteam.fr/?p=62282

J'ai mis la note de : 15/20]

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Commentaire ajouté par martine8 2022-07-14T16:21:30+02:00
Le temps des orphelins

Mais peut on oublier le passé, même si Il est enfoui, au plus profond?

Ce que j'ai aimé sans ce livre, c'est l'émotion qu'il dégage, au fil des pages, de la lutte quotidienne de ces enfants abandonnés, mais qui qui ne rêve que de retrouver leurs parents bons ou mauvais, peu importe, nous avons tous besoin de savoir d'où nous venons et quelles sont nos racines!

C'est ce que Charles a cherché tout le long de sa vie!

L'auteur avec sa plume, nous l'a raconté avec son coeur, son écriture pleine d'émotions, et de sensibilité!

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Commentaire ajouté par Lildrille 2022-08-29T18:11:31+02:00
Le temps des orphelins

Une histoire prenante dans sa globalité mais qui s’étiole sur la fin

Le temps des orphelins nous embarque dans une histoire mouvementée, auprès d’un jeune garçon que l’on a abandonné après la seconde guerre mondiale. Il nous touche par ses rêves et ses envies, il nous prend par sa force et ses brisures. Sa mère est constamment dans sa tête, d’ailleurs il fera tout pour elle, jusqu’à gâcher sa propre vie, oublier les autres – ceux qui l’aiment, et regretter ses idées fixes.

En cela, le roman s’avère intéressant car il essaie de nous dépeindre un portrait saisissant autant du point de vue historique que psychologique. Tout s’emboîte plutôt bien pendant les trois quarts du roman. Quand le personnage grandit, l’auteur accélère le rythme sans que l’on y soit préparé. Comme dans un autre de ses ouvrages, Le destin d’une enfant violée, Claude Rodhain enchaîne les ellipses. Le héros mûrit et évolue mais le lecteur ne s’en rend pas compte, et c’est dommage. Son caractère est bien moins développé, le personnage perd alors en substance.

De plus, on passe d’un thème assez émouvant à un autre qui l’est bien moins. Dans les premiers chapitres, on suit un jeune orphelin qui se cherche et qui essaie de trouver sa place, dans la suite, on suit un adulte qui multiplie les erreurs et qui paraît sans cœur. Son comportement avec ses propres enfants nous perturbe ; le lecteur qui appréciait le petit garçon courageux se rend compte qu’il est finalement devenu une personne sans attrait et même mauvaise, qui trompe et ment, qui distribue souffrance et malaises à ses proches et ses pairs. Ses traumatismes ne l’ont pas quitté – comment auraient-ils pu ? En cela, le héros continue de nous toucher malgré ses actions qui laissent à désirer. On comprend ce qui l’anime, le roman appuie bien dessus, et on comprend en partie ses émotions difficiles et délicates.

Une narration qui manque d’incarnation mais qui transporte

La plume de Claude Rodhain, avec son vocabulaire travaillé et ses phrases recherchées, nous aide à plonger dans ce passé trouble. On découvre les pensionnats, les orphelinats, les familles d’accueils, l’injustice, les jugements, des pratiques douteuses, des idéologies qui ont mal vieilli ou qui perdurent, des paysages ravagés par la guerre et des familles brisées. Il connait son sujet, cela se sent. L’immersion fonctionne !

Elle se retrouve néanmoins malmenée par une narration particulière. En un sens, celle-ci s’avère novatrice, du moins originale : celui qui observe notre héros s’exprime parfois par le « je ». Pourtant, il ne représente personne de connu, personne de l’histoire. Le ton de l’observateur intrigue et amuse, attriste et perturbe. Parfois, il est en accord avec le petit garçon, parfois non. Quand le héros grandit, la patte narratrice se montre davantage absente, c’est dommage. Ce jugement extérieur disparaît au profit d’une observation plus classique, sans teinte. Cela manque.

Cet écart avec les héros amène le lecteur à s’en montrer aussi éloigné. L’auteur a choisi de ne pas incarner ses personnages, de fait tous leurs états d’âme ne nous touchent pas suffisamment pour nous accrocher jusqu’à la fin ou pour nous émouvoir suffisamment quand les évènements tournent mal. Les scènes de son enfance nous émeuvent, pas les autres. On pardonne à un petit garçon ses égarements, pas à un adulte, même si l’on sait ce qui le pousse à agir de la sorte.

De la réflexion

Malgré cela, l’auteur nous amène à réfléchir sur notre humanité, sur nos propres imperfections. Comme l’existence de notre héros, notre vie ne suit pas un chemin tracé d’avance ni bien lisse. Il chute et trébuche mais se relève et apprend de ses erreurs. Il énerve, il perturbe et agace mais il se rachète tant bien que mal. Il est quand même dommage que les dernières pages s’intéressent davantage à ses déboires sentimentaux qu’à ses problèmes personnels.

Pourquoi lire Le temps des orphelins ?

Pour se plonger dans la France d’après-guerre et se dépayser.

Pour s’attacher à un petit garçon à qui la vie n’a pas fait de cadeaux.

Pour apprécier la plume atypique de l’auteur Claude Rodhain et ses recherches historiques.

Pour suivre un parcours imparfait, pour se rendre compte de l’humanité et de la force du héros.

[Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : https://www.lavisqteam.fr/?p=65398 J'ai mis la note de : 14/20]

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Editeurs

City : 2 livres

Spinelle éditions : 1 livre

L'Harmattan : 1 livre

Le Sémaphore : 1 livre