Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
722 089
Membres
1 045 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Stephen King

Auteur

Etats-Unis Né(e) le 1947-09-21 ( 76 ans )
19 958 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par angels_1 2011-03-03T13:38:17+01:00

Biographie

Stephen Edwin King, plus connu sous le nom de Stephen King, est un écrivain américain né le 21 septembre 1947 à Portland, dans le Maine (États-Unis).

Il a écrit plus de deux cents textes, dont plus de cinquante romans d'horreur ou fantastiques, qui ont été vendus à plus de 350 millions d'exemplaires[1] de par le monde. Il reçoit en 2003 la médaille de la National Book Foundation pour sa remarquable contribution à la littérature américaine[2] et, en 2007, l'association des auteurs de romans policiers américains Mystery Writers of America lui décerne le titre de « grand master ».

King possède une grande connaissance de la littérature d'horreur, comme on peut le voir dans son essai Anatomie de l'horreur qui retrace plusieurs décennies d'un intérêt prononcé pour l'épouvante à travers la littérature, le cinéma, la télévision et la radio. Il a aussi écrit des ouvrages appartenant à d'autres genres comme les recueils de nouvelles Différentes Saisons, ou Cœurs perdus en Atlantide, et les romans La Ligne verte, Les Yeux du dragon, et son magnum opus, la série La Tour sombre. Dans le passé, Stephen King a écrit sous les noms de Richard Bachman et John Swithen (une seule fois sous ce dernier pseudonyme pour la nouvelle le Cinquième Quart publiée par la suite dans Rêves et Cauchemars).

Jeunesse

Stephen King a deux ans lorsque son père, Donald Edwin King, abandonne le domicile conjugal. Sa mère, Nellie Ruth Pillsbury, élève seule Stephen et son grand frère adopté David, dans des conditions financières souvent très difficiles. La famille s'installe à Durham (Maine), ville d'origine de Ruth, mais passe aussi de courtes périodes à Fort Wayne (Indiana) et Stratford (Connecticut).

Enfant, Stephen King a été témoin d'un accident traumatisant - un de ses amis a été heurté par un train sur une voie ferrée. L'hypothèse a été émise que cet accident ait pu inspirer ses créations sombres et dérangeantes[3], bien que King lui-même ait réfuté cette idée[4].

King est allé à l'école élémentaire de Durham puis au lycée de Lisbon Falls. Jeune garçon, il était un lecteur assidu des bandes dessinées publiées par EC Comics et notamment des Contes de la Crypte qui furent à l'origine de son amour de l'horreur. Son scénario de Creepshow rendra plus tard hommage à ces bandes dessinées. Sa grand-mère, admiratrice d'Agatha Christie, lui inculque une façon très particulière de lire un roman : commencer par la fin. Ce qui lui évitait de lire l'intermédiaire entre l'introduction et la conclusion. C'est de cette méthode qu'il se servira pour écrire ses livres. Il brouille ainsi les pistes, rendant impossible la compréhension à quelqu'un qui essaierait de débuter par la fin.[réf. nécessaire] Il auto-publie ses premières nouvelles en 1962 à l'aide d'une machine à ronéotyper que son frère utilisait pour publier un journal Dave's Rag auquel King contribuait. King vendait ses écrits à des amis mais ses professeurs désapprouvèrent et le forcèrent à rembourser ce qu'il avait gagné.

Il travaille ensuite sur son premier roman, resté inachevé : The Aftermath (1965). La première histoire qu'il publie est In a Half-World of Terror qui paraît dans un fanzine publié par Mike Garrett de Birmingham, Alabama.

De 1966 à 1971, King étudie à l'université du Maine à Orono. Il y écrit des nouvelles dans une rubrique intitulée King's Garbage Truck dans le magazine de l'université Maine Campus, il en écrit trois en 1968 et trois en 1969. Il y rencontre Tabitha Jane Spruce avec qui il se mariera le 2 janvier 1971. Trois enfants naîtront de cette union. Sa vie au campus transparaît de manière évidente dans la deuxième partie de Cœurs perdus en Atlantide, et les boulots particuliers qu'il effectue pour payer ses études, dont un dans une laverie industrielle, inspireront plus tard certains de ses écrits, comme la nouvelle La Presseuse ou Chantier.

Il achève son roman Marche ou crève dès 1967 mais celui-ci ne paraîtra qu'en 1979, sous le pseudonyme de Richard Bachman.

Après avoir obtenu sa Licence en littérature anglaise en 1970, King enseigne l'anglais à l'école secondaire de Hampden (plus ou moins l'équivalent du lycée en France), Maine. Lui et sa famille vivent alors dans une caravane et il écrit des nouvelles fantastiques, qu'il publie principalement dans des magazines masculins. Pour boucler ses fins de mois, il est contraint de retourner travailler à la laverie. Ces problèmes, alliés à ses difficultés à se faire publier, le conduisent à chercher un réconfort dans la boisson, créant une dépendance qui durera plusieurs années.

C'est dans ces conditions difficiles qu'il commence à écrire Carrie. Mais, doutant de son talent, il jette les trois premières pages à la poubelle. Sa femme les trouve et les lit. Enthousiasmée par ce bon début, elle le pousse à achever le roman.

Début de la célébrité

King présente Carrie à un éditeur en janvier 1973. L'éditeur Doubleday programme la publication du roman en 1974 et cède les droits pour l'édition en livre de poche, générant 200 000 dollars de revenus pour Stephen King dès mai 1973. Ce dernier décide alors d'arrêter sa carrière d'enseignant et de se consacrer uniquement à l'écriture. Carrie est finalement publié le 5 avril 1974. Peu après la publication de son livre, sa mère meurt d'un cancer de l'utérus. Sa tante Emrine lui fait la lecture du roman avant qu'elle ne meure. Après la mort de sa mère, King et sa famille déménagent à Boulder, Colorado, avant de revenir s'installer définitivement dans le Maine en 1975.

Dans Écriture : Mémoires d'un métier, King admet qu'à cette époque-là il était souvent ivre ou sous l'emprise de drogues, comme ce fut le cas par exemple lors de l'oraison funèbre de sa mère. Il raconte également que c'est ce qui l'a inspiré pour le personnage du père alcoolique dans Shining, l'enfant lumière même s'il ne l'admettait pas à l'époque, pas même à lui-même[4].

Peu après la sortie de Les Tommyknockers, sa famille et ses amis interviennent pour lui faire prendre conscience de sa dépendance aux drogues en vidant devant lui ses poubelles qui contiennent des canettes de bière, des mégots de cigarettes, de la cocaïne, du Xanax, du Valium, du Nyquil, du dextromethorphan et de la marijuana. Selon ce que King a relaté dans ses mémoires, il a alors cherché de l'aide, a arrêté toute forme de drogue dans la fin des années 1980 et est resté sobre depuis.

King ne dédicacera jamais de photos en personne car à ses yeux c'est quelque chose qui est réservé aux stars de films. Cependant certains de ses fans ont reçu des photos dédicacées rien qu'en le demandant.

En jouant sur les peurs primaires des gens, il enchaîne les romans à succès, dont les plus connus sont Ça, Simetierre, Shining, l'enfant lumière, Le Fléau, Carrie, Christine, Misery et le cycle de la Tour sombre. La plupart de ses écrits appartiennent au registre de l'horreur et du fantastique, souvent intimement mêlés dans son œuvre. Toutefois, il n'hésite pas à s'éloigner à plusieurs reprises du genre qui a fait sa renommée (citons ici Différentes Saisons, Cœurs perdus en Atlantide ainsi que la plupart de ses romans parus sous le pseudonyme de Richard Bachman).

Adaptation :

Sur le modèle de Carrie, Stephen King a inspiré bon nombre de réalisateurs de cinéma, en particulier Brian De Palma (Carrie au bal du diable), Stanley Kubrick (Shining), John Carpenter (Christine), David Cronenberg (Dead Zone), Rob Reiner (Stand by me, Misery), Frank Darabont (Les Évadés, La Ligne verte, The Mist) et George Romero (la Part des ténèbres), étant d'ailleurs ami avec ce dernier. Il a déclaré que ses trois adaptations préférées étaient Stand by me, Les Évadés et The Mist[5]. Le seul qu'il a totalement désavoué est Le Cobaye, allant même jusqu'à intenter un procès pour que son nom soit retiré de l'ensemble du matériel publicitaire, associé au film, lorsqu'une suite fut réalisée.

En 1986, il a dirigé son propre film, Maximum Overdrive, et en 1997 a co-écrit le scénario d'un épisode d'X-Files, la Poupée. Il a aussi produit la minisérie Kingdom Hospital dans laquelle il joue un petit rôle. Il a également souvent interprété de petits rôles dans des films ou des feuilletons adaptés de ses histoires (dans Creepshow, Simetierre, la Tempête du siècle, le Fléau, Shining, les Langoliers, la Nuit déchirée et Rose Red notamment).

Style littéraire :

Stephen King est réputé pour son sens du détail et pour toutes les interactions qu'il a créé entre ses livres où certains faits, certains personnages se croisent (Dolores Claiborne et Jessie sont un exemple flagrant ainsi que le diptyque Désolation et Les Régulateurs). Ses œuvres ont également beaucoup de cadres en commun, la majorité se situant dans le Maine (la ville fictive de Castle Rock en étant l'exemple le plus célèbre). Des histoires semblant souvent n'avoir aucun lien entre elles sont en fait liées par des personnages secondaires récurrents ou des références à des événements s'étant déroulés dans une histoire précédente (par exemple, le personnage de Cynthia reliant Rose Madder à Désolation).

La Tour sombre, constitué de sept volumes, est un cycle qui lui permet de lier tous ces romans à une seule réalité, plutôt que de considérer ses crossover comme anecdotiques. Bon nombre de ses romans font référence au cycle de la Tour sombre ou vice-versa, souvent à travers des détails plus ou moins mineurs mais parfois de façon beaucoup plus essentielle (les connexions avec Insomnie, Cœurs perdus en Atlantide, Salem et Territoires étant les plus flagrantes). L'un des personnages de King qui revient le plus fréquemment est Randall Flagg, qui est une des incarnations du mal dans plusieurs de ses œuvres ; il est ainsi l'homme en noir dans la Tour sombre, le démon dans Territoires, le sorcier maléfique dans les Yeux du dragon ainsi que le principal antagoniste du Fléau.

Les livres de King sont parsemés de références à l'histoire et à la culture américaines, et particulièrement leurs côtés les plus sombres. Elles apparaissent le plus souvent dans les histoires de ses personnages, étant un facteur d'explication de leurs peurs les plus primaires. La violence (en particulier la violence au sein de la cellule familiale), le racisme et la guerre (spécialement celle du Vietnam) sont des thèmes récurrents dans ses œuvres.

Par ailleurs, le style narratif familier de King contraste avec le contenu horrifique d'une grande partie de ses écrits. Il utilise beaucoup les flash-backs, notamment pour illustrer les comportements et le cheminement de pensée de ses personnages principaux. Ceux-ci sont très souvent eux-mêmes des écrivains (Ben Mears dans Salem, Bill Denbrough dans Ça, Paul Sheldon dans Misery, Mike Noonan dans Sac d'os...). L'enfance est également un thème majeur de l'œuvre de King et les enfants jouent fréquemment des rôles essentiels dans ses histoires (Shining, l'enfant lumière, Charlie, Le Talisman, Ça, Désolation...).

Quand on lui demande pourquoi il écrit, Stephen King répond : « la réponse est assez simple - il n'y a rien d'autre que j'étais capable de faire. J'étais fait pour écrire des histoires et j'aime écrire des histoires. C'est pourquoi je le fais. Je ne peux m'imaginer faire quelque chose d'autre comme je ne peux imaginer ne pas faire ce que je fais »[13]. On lui demande aussi souvent pourquoi il écrit des histoires aussi terrifiantes et il répond par une autre question : « Qu'est-ce qui vous fait penser que j'ai le choix ? ».

Il a une formule très simple pour apprendre à bien écrire : « Lisez et écrivez quatre à six heures par jour. Si vous ne pouvez pas trouver le temps pour cela, vous ne pouvez espérer devenir un bon écrivain. » Lui-même s'est fixé un quota journalier de deux mille mots et ne s'arrête pas d'écrire tant qu'il ne l'a pas atteint. Il a également une définition assez particulière de ce qu'est le talent dans l'écriture : « Si vous écrivez quelque chose et que quelqu'un vous envoie un chèque pour cela, si ce chèque n'est pas sans provisions, et que vous pouvez payer la facture d'électricité avec cet argent, je vous considère comme talentueux »[15].

Influences Dans Écriture :

Mémoires d'un métier, Stephen King a appelé Richard Matheson, « l'auteur qui m'a influencé le plus en tant qu'écrivain ». Les deux auteurs, entre autres parallèles stylistiques, intègrent régulièrement les pensées d'un personnage dans une narration à la troisième personne.

Il admire le travail de H. P. Lovecraft et se réfère à lui plusieurs fois dans Anatomie de l'horreur. Son influence se ressent dans le travail de King par l'invention d'anciennes et étranges divinités et l'insertion dans le récit de coupures de presse ou d'autres documents comme instruments de narration. Sa nouvelle Crouch End est un hommage non déguisé au Mythe de Cthulhu. D'autres de ses histoires font des références aux créations lovecraftiennes, notamment la nouvelle Mémé. Cependant, King met l'accent sur les dialogues et la représentation des personnages, deux éléments notablement absents chez Lovecraft. Dans Écriture : Mémoires d'un métier, il critique d'ailleurs ouvertement cette pauvreté des dialogues chez Lovecraft, prenant comme exemples des passages de la Couleur tombée du ciel.

Edgar Allan Poe a exercé lui aussi une influence majeure sur le style de King. Il lui rend hommage dans Shining, l'enfant lumière (avec une référence au Masque de la Mort Rouge) et surtout dans sa nouvelle la Cadillac de Dolan dont l'intrigue reprend celle de la Barrique d'amontillado.

Bram Stoker fait partie des influences de King, particulièrement dans Salem qui est une sorte de vision moderne de Dracula[16].

Il a déclaré son admiration pour Shirley Jackson. Salem s'ouvre sur une citation de son roman Maison Hantée, et une scène décisive de la Tempête du siècle s'inspire de la Loterie.

Il a dédicacé sa nouvelle le Molosse surgi du soleil à John D. MacDonald qui, pour sa part, a écrit la préface de Danse Macabre.

J. R. R. Tolkien, Robert Heinlein, Elmore Leonard, William Golding (Sa Majesté des mouches), James M. Cain (le facteur sonne toujours deux fois) et Peter Straub (avec qui il est ami et a collaboré à déjà deux reprises) font également partie des auteurs favoris de Stephen King.

Il voue également une grande admiration au romancier et scénariste de comics britannique Neil Gaiman, dont il a d'ailleurs préfacé le tome 8 de la série Sandman, Au bout des mondes.

Afficher en entier

Livres de Stephen King

Classement dans les bibliothèques

Diamant
19 008 lecteurs
Or
27 297 lecteurs
Argent
19 599 lecteurs
Bronze
12 494 lecteurs
Lu aussi
18 870 lecteurs
Envies
26 679 lecteurs
En train de lire
1 955 lecteurs
Pas apprécié
2 375 lecteurs
PAL
34 689 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.85/10
Nombre d'évaluations : 20 442

26 Citations 10 246 Commentaires sur ses livres

Alias et noms de plume

  • Richard Bachman

Dernier livre
de Stephen King

Sortie France/Français : 2024-02-28

Sortie Canada/Français : 2024-02-29

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Grisou00 2024-06-01T14:25:54+02:00
Carnets noirs

Une excellente suite. Difficile de lâcher ce roman. J'ai bien hâte de lire la suite.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MaitreMuseau 2024-06-02T15:51:03+02:00
Billy Summers

Passé le premier tiers du livre qui est un peu long, le rythme s'emballe. Les personnages sont vraiment excellents et très attachants. Ancré dans l'Amérique de Trump, le roman oscille entre roadtrip et récit de guerre, basculant volontiers dans le thriller. Se permettant même des références à son propre travail, King nous embarque dans l'histoire de Billy Summers. Ce n'est pas mon King préféré, car j'ai trouvé le rythme trop inégal. En revanche j'ai adoré la fin.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Leel18 2024-06-02T23:00:00+02:00
Marche ou crève

Quand j'ai lu le résumé, je me suis demandé ce que Stephen King avait bien pu écrire d'intéressant après dix pages sur des enfants qui marchent. Et bien, je fus étonnement surprise !

Marche ou crève est un livre très psychologique. A chaque fois que je me disais que cela ne pouvais pas être pire, l'auteur semblait le prendre comme un challenge ! On est complètement dans la tête de notre personnage principal, et on le voit évolué, kilomètre après kilomètre, ticket après ticket... Les personnages secondaires sont beaux, forts et tout aussi jeune et inconscient que notre protagoniste. Leur descente en enfer n'en que plus crue et désolante à lire.

J'ai adoré cette lecture. D'une part parce que je ne m'attendais pas à un livre aussi bon, et de l'autre parce que j'apprécie grandement les intrigues où l'on observe clairement la psychologie des personnages évoluée, changée du tout au tout, etc.

Ce livre est vraiment bon et très prenant, dans tous les sens du terme.

Je le recommande très fort !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MarjorieCFerryn 2024-06-04T00:47:55+02:00
Misery

En dehors des autres livres de Stephen King que j’ai lu, qui étaient plus destinés à un jeune public ; il s’agit ici du premier roman d’horreur que je lis. Et comment dire ? Putain, qu’est-ce que j’ai aimé ! J’ai pris tout mon temps pour le dévorer parce que je voulais savourer cette lecture pleinement. J’ai passé mon temps à avoir peur pour le personnage principal ; s’en sortira-t-il, ne s’en sortira-t-il pas et quelles en seront les conséquences ? Le suspense est là, du début jusqu’à la fin ; parce que oui, Stephen King ne nous laisse aucun répit. On me l’avait conseillé à une époque où je cherchais encore par quel roman commencé du Stephen King. Tout comme fait, j’ai commencé par des romans plus "soft". Quoi qu’il en soit, Misery est vraiment une pépite et pour débuter fort... je pense que c’est le roman idéal.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Pouasson34 2024-06-04T11:43:04+02:00
Simetierre

J’étais convaincue qu’aucun livre au monde ne pourrait me faire plus peur que Shining… et puis j’ai lu Simetierre.

C’est un livre que je n’oublierai jamais, et duquel j’ai eu du mal à sortir. Il m’aura fallu pas moins de 10 mois pour trouver les mots.

Une critique qui revient souvent à propos de ce récit est la longueur pas forcément nécessaire. Je pense au contraire que c’est elle qui fait toute la différence.

Je mets le reste de ma critique en spoiler car je ne voudrais pour rien au monde gâcher le plaisir de quelqu’un qui en saurait plus qu’il n’en faut en commençant ce livre.

Si vous ne l’avez pas lu : découvrez-le, absolument, mais préparez-vous à être secoué.

C’est un roman d’horreur brillamment réussi qui démontre encore une fois les talents de King pour déceler les peurs les plus profondes de l’être humain pour nous les renvoyer en pleine figure.

Spoiler(cliquez pour révéler)On met du temps à entrer dans le récit car on apprend longtemps à connaître les personnages, comprendre les enjeux de leur vie, ce qui pourrait arriver… Et au milieu du livre, cet événement décisif arrive. Immédiatement, on sait quelle sera la fin du livre. On a tant envie de la voir arriver et en même temps, on prie pour qu’elle n’arrive pas car on sait à quel point ce serait abominable à la fois pour nos héros et pour nous lecteurs, tant cette éventualité est effrayante.

Spoiler(cliquez pour révéler)Le livre a réussi à m’embarquer complètement à partir de cet événement capital, et j’ai été tenue en haleine jusqu’à la fin inéluctable, dont je savais qu’elle arriverait, mais que j’imaginais cent fois moins horrible, mon esprit ne pouvant certainement pas envisager le festival de l’horreur qui s’en suivit. Je me souviens encore de la sensation de terreur intense qui m’assaillit en lisant les derniers chapitres, et j’étais pourtant sur la plage, entourée de ma famille. Ces instants ont scellé en moi des décennies de cauchemars et de terreurs nocturnes.

Spoiler(cliquez pour révéler)Les toutes dernières lignes arrivent même à rivaliser avec Shining, terrifiant à souhait lui aussi mais finissant plutôt bien, au moins pour les “gentils” de l’histoire. Dans Simetierre, c’est le mal qui gagne. Et il continuera de gagner, car plus personne n’est là pour l’arrêter…

Afficher en entier
Commentaire ajouté par pusul 2024-06-05T00:11:34+02:00
Sac d'os

Une histoire prenante et poignante. le tout enrobé de fantastique et d'horreur.

Malgré le nombre de page, je ne me suis pas ennuyé une minute.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par NicolaK 2024-06-05T10:35:43+02:00
Holly

C'est les rotules en compote que j'arrive au bout de mon mini-marathon Stephen-Chou & Holly.

Je sais bien que je n'avais pas la tenue adaptée pour entreprendre ce périple, j'ai d'ailleurs explosé ma tong droite sur la dernière ligne droite.

Et ce petit pincement au coeur à l'arrivée... mais ça, c'est parce que je quitte ces personnages attachants.

Je vais tenter d'écrire un petit topo qui ne spoile ni sur ce roman, ni sur ceux qui précèdent.

Le COVID occupe une place prépondérante dans le récit, puisque lorsque nous retrouvons Holly, elle revient tout juste de l'enterrement de sa mère qui en est morte.

Par ailleurs, son associé, Pete Huntley, est rétamé par le variant Delta, version longue; ce qui fait que Jerome étant plongé dans l'écriture de son livre, Holly se retrouve seule à l'agence d'enquêteurs.

C'était déjà le cas dans la nouvelle Si ça saigne, pour d'autres raisons.

J'avoue avoir préféré les 'aventures" qu'elle menait à plusieurs, mais Stephen a oublié de me demander mon avis.

Puisqu'on en parle, l'auteur dit dans une note que Si ça saigne précède de très peu dans le temps (2020) les événements qui se produisent dans Holly, mais qu'il n'y mentionne pas le virus parce qu'il a écrit la nouvelle en 2019.

Bah oui, forcément...

Bref, Holly est harnachée de la tête aux pieds : masque FFP2, gants en je ne sais plus quoi, vaccins, et quand elle rencontre les gens, la discussion commence par la marque des injections qu'on leur a faite, encore que bien souvent, son chemin croise des AntiVax comme sa mère.

Mais revenons à nos moutons.

Après le décès de Charlotte, Holly découvre d'autres aspects de la personnalité, pour ne pas dire perfidie, de sa génitrice, suivie de près par son oncle.

Effondrée, trahie, elle décide de mettre les activités de son agence en pause pour une période indéterminée.

C'était sans compter sur un appel qu'elle se décide à prendre après en avoir ignoré beaucoup.

Il émane d'une femme désespérée par la disparition de sa fille.

Holly ne peut rester insensible à sa détresse et faisant fi des conditions sanitaires, de sa fatigue et de sa solitude, vole à son secours.

Mais c'est l'arbre qui cache la forêt, ainsi que le découvre notre héroïne lorsqu'elle s'approche d'un peu plus près.

Que dire ? C'est du bon Stephen King, on n'a pas le temps de s'ennuyer.

On croise des personnages plus qu'adorables, notamment du côté de Barbara (soeur de Jérome et amie de Holly) et d'autres plus qu'infâmes, comme vous le verrez par vous-mêmes.

J'ignore de quoi sera fait son prochain roman, le dernier bouquin sorti étant un recueil de nouvelles, mais un petit retour au fantastique ne me déplairait pas.

Mystère, mystère...

..

.

.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Kitsunyo 2024-06-05T22:57:36+02:00
Conte de fées

La première moitié est sympathique bien que traînant un peu en longueur. La suite, quant à elle, est passable et anecdotique (est-ce que King savait où il se dirigeait ? Je n'en suis pas certain)

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Pouasson34 2024-06-06T17:48:12+02:00
Cujo

Je retrouve dans Cujo tout ce que j’aime dans les livres de Stephen King.

Un suspense à couper le souffle. Un style littéraire hyper efficace qui offre des moments percutants. Des personnages très riches, dépeints avec beaucoup de réalisme.

Et enfin le MAL, menace sous-tangible mais inéluctable, auquel aucun personnage ne peut échapper, conférant au récit une atmosphère terrifiante qui nous prend à la gorge.

Ce King a la particularité - contrairement à d’autres - de ne pas me faire peur. Cela ne m’empêche aucunement de l’adorer et d’être complètement prise dans l’action et le suspense.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Cenedra78 2024-06-09T15:03:44+02:00
L'Institut

Un grand King où l'on retrouve ses sujets de prédilection qui lui réussissent si bien. La série Stranger things est dans la mouvance de ce roman. . Personnages attachants, suspense. Livre que je n'arrivais pas à lâcher et qui m'a laissé un vide une fois terminé.

Afficher en entier

On parle de Stephen King ici :

[Challenge] Les 26 livres (2018)
2018-12-31T16:07:28+01:00

Dédicaces de Stephen King
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

J'ai lu : 183 livres

Albin Michel : 104 livres

LGF - Le Livre de Poche : 83 livres

France Loisirs : 76 livres

Pocket : 25 livres

Librio : 18 livres

Editions de la Seine : 12 livres

Scribner : 11 livres