Killoffer
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Note moyenne : 7/10Nombre d'évaluations : 18
0 Citations 10 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Une BD intéressement qui nous apprend des chose !
des dessins bien réaliser !!
Afficher en entierRupture assez brutale avec les Donjons auxquels j'ai été habituée... Ici, point d'humour, mais terreur et désolation.
Cette histoire est tout bonnement effroyable et porte un regard glaçant sur l'univers du Donjon qui n'était jusque là que pitreries et joyeux lurons un peu crétins.
Les dessins m'ont un peu déstabilisé, mais s'adaptent plutôt bien au thème aquatique de ce volume.
Afficher en entierAlors certes, on est loin du Donjon, des références aux personnages que l'on connaît. On n'est pas non plus au début de l'ambiance Zénith... Le Grand Khan est au pouvoir, et ses troupes font régner la terreur. C'est un tome sombre, dur, glauque et violent - la scène du viol m'a marquée. Mais indispensable pour l'univers global.
Afficher en entierUne BD qui nous apprend beaucoup !
Afficher en entierSans aucun doute une fin à la hauteur de mes attentes.
Elle a d'une part un côté complètement jubilatoire, car on reprend absolument tous les éléments sympas des tomes précédents. La SF, l'ambiance rétro, l'humour, toutes nos héroïnes, tous les personnages qui ont marqué d'une façon ou d'une autre cette saga, les combats spectaculaires et un poil gores, le côté buddy movie du tome 7 avec le duo Hal (aaaaaaah vraiment je l'adore ce personnage !) - Lieutenant Reffo (qui de mieux que lui pour finir la saga ? Et ça m'a bien fait rire qu'on ce soit rattrapé pour son machisme des autres tomes),.. Non, vraiment, tout est là.
Mais là où bien d'autres se seraient contenté de cela, et auraient déjà fait un final pas mal, on va ici plus loin. On continue de créer de l'histoire, et quelle histoire. On continue de complexifier le scénario, à travers le passé des Tonn Shärs, et ce qu'il implique dans cette intrigue. L'ensemble est vraiment bien trouvé, bien ficelé, tout trouve son sens et son intérêt au final. Jusqu'à la chute, simplement topissime. Spoiler(cliquez pour révéler)Quand je parle de chute, je ne parle pas de l'urgence 8, qui était un peu la solution de facilité. Mais je parle bien de ce très fin retournement de situation final est juste PARFAIT, et laisse en plus une vraie ouverture sur la suite (une autre guerre intergalactique avec les robots ?).
J'ai bien aimé le style des dessins, très "cartoonesque". C'est un peu déroutant au départ, mais ça colle finalement assez bien à ce tome, qui comprend de nombreuses actions. Le style des planches "paysages" est également très beau et graphique.
Afficher en entierhttps://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2021/12/mille-nuits-plus-une-de-victor-pouchet.html
La couverture est sublime et au touché, on sent les reliefs. C'est hyper agréable. Toujours concernant l'esthétique, les illustrations que l'on trouve au fil des pages sont sublimes. L'illustrateur utilise beaucoup les mêmes couleurs que sur la couverture. On y voit plus des ombres que les personnages.
Maintenant parlons de l'histoire. On a le sentiment de lire un conte au début mais en se mettant dans la peau du prince obligé de choisir une épouse sous peine de se retrouver à se marier avec une femme choisie par son père. Il n'a que seize ans et ne s'intéresse pas du tout à ça. Il préfère ses chevaux à son statut de prince mais n'a pas le choix. En voyant Shakti, fille de jardinier, il sait que ce sera elle. Seulement, elle ne connait rien à la vie de princesse. Elle va vite s'apercevoir qu'entre le rêve et la réalité, il y a un gouffre.
Shakti est une femme libre. Elle a toujours vécu dehors, cheveux détachés habillé d'un legging. Du jour au lendemain, la voilà à apprendre les protocoles, à se maquiller, s'habiller et à comment de maintenir en autre choses. En vous écrivant ça, vous pensez probablement que le roman est détaillé. Pas du tout. On vous l'explique rapidement. Le but de l'auteur est de montrer que la vie de princesse ressemble plus à une prison qu'à une vie de rêve.
En ce sens c'est réussi. Cependant, je regrette les répétitions dans le textes. Ça donne l'impression, en tant que lecteur, d'être prie pour un imbécile. On comprend que l'auteur souhaite insister sur la différence entre avant et après le statut de princesse mais j'aurai préféré que ce soit fait différemment. Par contre, on s'amuse à reconnaître les différentes références culturelles dans les histoires que racontent Shakti. C'est génial.
La thématique abordée est assez évidente : la place de la femme et le féminisme. On a une héroïne qui sait ce qu'elle accepte ou pas. De la femme libre, on voit que la princesse a un statut de femme prisonnière. Il faut oser bousculer les codes.
En bref, ce roman ne m'a pas touché plus que ça. Il est destiné à un public âgé de treize ans. Je ne sais pas si cela plaira ou pas à ces lecteurs. Néanmoins pour un public plus jeune, ça peut être génial.
Afficher en entierOn ne rit plus du tout dans cet épisode, peut-être le plus trash de toute la série. On est d'ailleurs assez loin de l'univers de Donjon, dans un lieu tout à fait inexploré et sans aucun personnage ayant déjà apparu en dehors de Herbert, dont c'est la première apparition en tant que Khan. Certes, on retrouvera Papsukal et Shiwomizh par la suite, mais c'est quand même un épisode fort à part, qui nous plonge déjà dans l'univers très noir de Crépuscule. Spoiler(cliquez pour révéler)A noter que l'album se termine sur un bon gros cliffhanger auquel il ne me semble pas qu'il ait été donné suite.
Afficher en entierUn livre court et excellent en même temps par les sujets traités et les idées de liberté, d'ouverture d'esprit amenés. Facile et agréable à lire. Très intéressant.
Afficher en entierDédicaces de Killoffer
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Editeurs
L'Association : 2 livres
Planète Energie : 1 livre
Rue de Sèvres : 1 livre
L'Ecole des loisirs : 1 livre
Delcourt : 1 livre
Thierry Magnier : 1 livre
Biographie
Patrice Killoffer dit Killoffer (né le 16 juin 1966 à Metz en Lorraine) est dessinateur et scénariste de bande dessinée et illustrateur. Fondateur en 1990 de L'Association, Killoffer fait également partie de l'Oubapo depuis sa création en 1992.
Il a étudié à l'École supérieure des arts appliqués Duperré à Paris au début des années 1980. Ses professeurs furent entre autres Georges Pichard, et Yves Got. Ce dernier l'aurait influencé à ses débuts.
www.wikipedia.org
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