Catherine Leroux

Ce roman est une grande fresque familiale. On apprend à y connaître beaucoup de personnages, leur personnalités, leurs peines. On y fait une réflexion sur les liens dans une famille élargie et sur la façon dont chaque membre fait partie d'un tout.

J'ai aimé la progression de l'histoire, où l'on fait de constants allers-retours dans le temps, mais sans savoir en quelle année on se trouve précisément. Ce style rend le livre bien meilleur.

L'arbre généalogique présent au début du livre est d'une grande aide lors de la lecture des premiers chapitres, on s'y retrouve beaucoup plus facilement en s'y référant.

J'en ai entendu beaucoup de bien, et je compte l'acheter à ma môman pour son anniversaire.

Catherine Leroux partage avec nous quatre récits assez déstabilisants, écrits avec une jolie plume poétique et un style soigné et méticuleux. J'ai beaucoup apprécié ces petites histoires, pas très longues, mais étonnamment profondes.

Je pense que j'aurais vraiment aimé ce livre si les histoires n'avaient pas été entremêlées, à cause de cela, j'ai trouvé que Catherine Leroux mettait de la distance entre ses lecteurs et ses personnages. Moi-même, j'ai eu du mal à m'attacher à eux, bien que leurs histoires me touchaient toutes, d'une manière ou d'une autre.

Quelques points positifs, quelques points négatifs qui font de ce roman, une lecture mitigée, pas mauvaise, mais pas inoubliable.

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Ce roman est une succession de portraits de femmes qui auraient pu être Madame Victoria, ce squelette retrouvé dans le boisée près de l'Hôpital Royal-Victoria. À travers une multitudes d'autres thèmes, l'auteure nous fait entre autres vivre celui de la solitude. Ce que j'ai beaucoup aimé dans ce livre, c'est l'effet crescendo. Les premiers portraits auraient pu coïncider avec l'âge du squelette et leur ancrage dans la réalité. Plutôt on avance dans le livre, plus les portraits sont loufoques et imaginatifs et plus le lecteur est emporté loin dans l'univers des Victoria.

La structure du texte (l'enchaînement des Victoria) m'a plu, mais a aussi engendré des points négatifs. Ce que j'ai aimé, c'est la grande originalité avec laquelle l'auteure traite de la solitude et de plusieurs autre thèmes. C'était efficace et entraînant. J'ai moins aimé la formule par contre, car elle faisait en sorte qu'il n'y avait pas de personnages. Victoria n'est qu'une entité floue. Il est plus difficile pour moi d'apprécier une lecture ainsi construite.

Je voulais essayer ce roman, même si au départ je me disais que ce n'était pas mon genre.

Le roman présente plusieurs portraits de femmes qui auraient pu être Victoria, un squelette trouvé tout près de l'hôpital Royal-Victoria et qui n'a pas d'identité. J'ai adoré l'écriture de l'auteur à la fois poétique et touchante, plusieurs portraits m'ont beaucoup touché. Plusieurs destins de plusieurs femmes sont vraiment tragiques, tandis que d'autre sont plus surréalistes. Je les ai tous apprécié et j'ai passé un très bon moment de lecture.

Je n’ai vraiment aimé ce livre tellement que j’ai abandonné ma lecture au tiers du livre. Je n’embarque pas dans les nombreuses histoires sans lien entre elles et j’ai pas envie de finir le livre pour vérifier s’il y a.